Une baie au bord du désastre écologique
La Baie de Hann, autrefois réputée pour sa beauté naturelle, a subi des décennies de pollution due aux rejets industriels et domestiques. Face à cette dégradation alarmante, le gouvernement sénégalais, avec l’appui de partenaires internationaux comme l’Agence Française de Développement (AFD), l’Union Européenne, l’Agence Néerlandaise Invest International Public Project et la China Development Bank (CDB), a mobilisé 184,5 millions d’euros, pour restaurer cet écosystème essentiel.
Un projet aux enjeux multiples
Le PDBH vise à améliorer directement les conditions de vie de plus de 300 000 habitants, répartis dans neuf communes autour de la baie. En plus de répondre à une urgence environnementale, ce projet revêt une dimension économique et sociale majeure pour la région de Dakar.
Cependant, malgré les avancées enregistrées, le projet souffre de retards causés par des litiges juridiques et des difficultés financières. « Une année de retard, c’est totalement regrettable. Nous devons adopter une nouvelle démarche, pour que chaque partie prenante joue pleinement son rôle. Je veillerai à ce que les choses soient diligentées. C’est un nouveau départ », a déclaré le Ministre avec fermeté.
Des progrès notables mais encore insuffisants
Selon Dr. Dièye, le projet affiche des taux d’exécution encourageants pour certaines composantes, notamment 78 % pour la station d’épuration, 97 % pour la conduite de refoulement, 57 % pour l’intercepteur et 20 % pour les travaux de raccordement des industriels. Il a toutefois appelé à redoubler d’efforts, pour achever l’ensemble des travaux dans les meilleurs délais.
Une vision pour l’avenir
Une fois achevé, le PDBH devrait transformer la baie en un espace propre et attractif, apte à accueillir des activités économiques et touristiques. Ce projet symbolise également l’engagement du Sénégal dans une transition écologique et durable, avec des répercussions positives pour toute la sous-région ouest-africaine.
Le Ministre a rappelé l’urgence de mener à bien cette initiative, soulignant que sa réussite est capitale pour le pays. La Baie de Hann pourrait ainsi redevenir un joyau naturel, au service de l’environnement et des générations futures.
La Baie de Hann, autrefois réputée pour sa beauté naturelle, a subi des décennies de pollution due aux rejets industriels et domestiques. Face à cette dégradation alarmante, le gouvernement sénégalais, avec l’appui de partenaires internationaux comme l’Agence Française de Développement (AFD), l’Union Européenne, l’Agence Néerlandaise Invest International Public Project et la China Development Bank (CDB), a mobilisé 184,5 millions d’euros, pour restaurer cet écosystème essentiel.
Un projet aux enjeux multiples
Le PDBH vise à améliorer directement les conditions de vie de plus de 300 000 habitants, répartis dans neuf communes autour de la baie. En plus de répondre à une urgence environnementale, ce projet revêt une dimension économique et sociale majeure pour la région de Dakar.
Cependant, malgré les avancées enregistrées, le projet souffre de retards causés par des litiges juridiques et des difficultés financières. « Une année de retard, c’est totalement regrettable. Nous devons adopter une nouvelle démarche, pour que chaque partie prenante joue pleinement son rôle. Je veillerai à ce que les choses soient diligentées. C’est un nouveau départ », a déclaré le Ministre avec fermeté.
Des progrès notables mais encore insuffisants
Selon Dr. Dièye, le projet affiche des taux d’exécution encourageants pour certaines composantes, notamment 78 % pour la station d’épuration, 97 % pour la conduite de refoulement, 57 % pour l’intercepteur et 20 % pour les travaux de raccordement des industriels. Il a toutefois appelé à redoubler d’efforts, pour achever l’ensemble des travaux dans les meilleurs délais.
Une vision pour l’avenir
Une fois achevé, le PDBH devrait transformer la baie en un espace propre et attractif, apte à accueillir des activités économiques et touristiques. Ce projet symbolise également l’engagement du Sénégal dans une transition écologique et durable, avec des répercussions positives pour toute la sous-région ouest-africaine.
Le Ministre a rappelé l’urgence de mener à bien cette initiative, soulignant que sa réussite est capitale pour le pays. La Baie de Hann pourrait ainsi redevenir un joyau naturel, au service de l’environnement et des générations futures.