« Depuis la mort de l’étudiant Balla Gaye, ça fait 17 ans, nous restons toujours à notre faim. Parce que jusqu’à présent on n’a pas une information claire et fiable sur sa mort. Nous continuerons à réclamer justice. Nous aimerions bien être édifiés sur les auteurs de cet acte criminel, sur les raisons. Une indemnisation, nous ne le demandons plus. Ce serait tout à fait normal, mais nous ne pouvons plus continuer à réclamer ce qui nous appartient. C’est un droit. Et il faut respecter le droit et surtout la mémoire de Balla Gaye », a dit devant les journalistes le frère de feu Balla Gaye, Pape Momar Gaye.
Il a applaudi les deux mains ce que les étudiants font pour la mémoire de Balla Gaye et il en est reconnaissant. Il s’explique : « les étudiants ont voulu conserver dans leurs cœurs la personne de Balla Gaye, dont peut-être, la disparition a apporté beaucoup d’acquis. Ce que les étudiants font aujourd’hui, est salutaire ».
Il ajoute : « Balla Gaye a toujours été un bon étudiant, un jeune très brillant. Je demande que cette personne soit prise comme symbole, comme référence, comme un symbole du sacrifice. Grâce à sa mort, nous savons que beaucoup de choses ont changé à l’Université ».
Thierno Malick Ndiaye
Il a applaudi les deux mains ce que les étudiants font pour la mémoire de Balla Gaye et il en est reconnaissant. Il s’explique : « les étudiants ont voulu conserver dans leurs cœurs la personne de Balla Gaye, dont peut-être, la disparition a apporté beaucoup d’acquis. Ce que les étudiants font aujourd’hui, est salutaire ».
Il ajoute : « Balla Gaye a toujours été un bon étudiant, un jeune très brillant. Je demande que cette personne soit prise comme symbole, comme référence, comme un symbole du sacrifice. Grâce à sa mort, nous savons que beaucoup de choses ont changé à l’Université ».
Thierno Malick Ndiaye