La caractéristique majeure du Pouvoir de Sonko, est la Violence intégrale comme mode de présence politique et socle de son discours.
Aujourd'hui, nos Compatriotes voient, avec effarement, qu'il " invisibilise" le président de la République, mais aussi et surtout, qu'il écrase toutes les Institutions de la République. Déjà, ses prises de décision plurielles et absolument illégales, avaient ému nos Compatriotes et toutes les Organisations politiques et de la Société Civile.
Aujourd'hui, comme hier, c'est par le mensonge permanent, la manipulation la plus sordide et le discours distuptif qui se nourrit d'injures et d'invectives, que sa dynamique a prospéré. A l'instar des " Démagogues" de l'Antiquité, des fascistes italiens et allemands qui ont martyrisé leurs peuples et précipité le monde dans la Guerre, c'est par la propagande de masse et la mobilisation des foules, que Ousmane Sonko compte asseoir son autorité politique.
Pourtant, c'est dans sa dernière et pitoyable prestation politique du 9 Juin 2024, que M. Ousmane Sonko a étalé toute la panoplie de sa Vision et de la pratique du pouvoir. Sous les atours d'un guide enivré plastronnant devant une foule acquise, Ousmane Sonko a commis des fautes d'une extrême gravité, indignes d'un politique majeur, de surcroît Premier Ministre du Sénégal. Il assume avoir "ringardisé" ses Ministres, vassalisé son Ministre de la Justice, avant de piétiner des pans entiers de l'Etat de Droit. Il admet avoir dévitalisé les Institutions de la République, en injuriant les piliers de notre Système Judiciaire (que sont les Magistrats) et en ravalant la Presse, au rang de pâquerette !
Sans doute aucun, Ousmane Sonko confirme sa volonté de " Pastefer" l'Etat du Sénégal, dans une " Sous - République ". Pis encore, il s'autorise la possibilité de modifier nos Lois ( la ridicule "Offense au Premier Ministre "), de décider de qui emprisonner (Bah Diakhaté) et de qui libérer (Alassane Fall). Il lance des anathèmes contre tous les critiques et autres pourfendeurs, dans la claire intention de bannir toute Opposition à son pouvoir, ou, au mieux, de n'accepter qu'une Opposition de confort!
Dans son infecte monologue du 9 Juin, Ousmane Sonko a édifié les Sénégalais sur la faiblesse de son niveau politico - intellectuel et sur son statut d'homme politique de seconde zone, loin de la carrure d'un vrai homme d'Etat. La légèreté et le dilettantisme avec lesquels il a abordé publiquement, des questions d'Etat, d'une extrême sensibilité, font froid au dos.
Il a osé, demander, ou plutôt enjoint, le président de la République, de s'impliquer fortement sur la crise Israëlo- palestinienne. Au-delà de la forme et du lieu, il s'est incrusté dans un domaine régalien relevant des pouvoirs exclusifs du président de la République. Il s'est fait plaisir en démontrant qu'il est le maître du pouvoir d'Etat, que c'est lui qui ordonne et que le Président exécute ses ordres !!!
Aujourd'hui, notre pays amorce un tournant décisif de son histoire. Le nouveau pouvoir surfe sur la nécessaire reddition des comptes, pour occulter son incurie et son incapacité à diriger le Sénégal, pour le mener à l'Emergence, puis au Développement.
Pour toutes les raisons précitées, les Forces démocratiques, républicaines et authentiquement patriotiques, doivent se mobiliser pour vaincre et effacer cette parenthèse de notre histoire.
La CAVE (Cellule d'Appui et de Veille Stratégique) de l' APR
Aujourd'hui, nos Compatriotes voient, avec effarement, qu'il " invisibilise" le président de la République, mais aussi et surtout, qu'il écrase toutes les Institutions de la République. Déjà, ses prises de décision plurielles et absolument illégales, avaient ému nos Compatriotes et toutes les Organisations politiques et de la Société Civile.
Aujourd'hui, comme hier, c'est par le mensonge permanent, la manipulation la plus sordide et le discours distuptif qui se nourrit d'injures et d'invectives, que sa dynamique a prospéré. A l'instar des " Démagogues" de l'Antiquité, des fascistes italiens et allemands qui ont martyrisé leurs peuples et précipité le monde dans la Guerre, c'est par la propagande de masse et la mobilisation des foules, que Ousmane Sonko compte asseoir son autorité politique.
Pourtant, c'est dans sa dernière et pitoyable prestation politique du 9 Juin 2024, que M. Ousmane Sonko a étalé toute la panoplie de sa Vision et de la pratique du pouvoir. Sous les atours d'un guide enivré plastronnant devant une foule acquise, Ousmane Sonko a commis des fautes d'une extrême gravité, indignes d'un politique majeur, de surcroît Premier Ministre du Sénégal. Il assume avoir "ringardisé" ses Ministres, vassalisé son Ministre de la Justice, avant de piétiner des pans entiers de l'Etat de Droit. Il admet avoir dévitalisé les Institutions de la République, en injuriant les piliers de notre Système Judiciaire (que sont les Magistrats) et en ravalant la Presse, au rang de pâquerette !
Sans doute aucun, Ousmane Sonko confirme sa volonté de " Pastefer" l'Etat du Sénégal, dans une " Sous - République ". Pis encore, il s'autorise la possibilité de modifier nos Lois ( la ridicule "Offense au Premier Ministre "), de décider de qui emprisonner (Bah Diakhaté) et de qui libérer (Alassane Fall). Il lance des anathèmes contre tous les critiques et autres pourfendeurs, dans la claire intention de bannir toute Opposition à son pouvoir, ou, au mieux, de n'accepter qu'une Opposition de confort!
Dans son infecte monologue du 9 Juin, Ousmane Sonko a édifié les Sénégalais sur la faiblesse de son niveau politico - intellectuel et sur son statut d'homme politique de seconde zone, loin de la carrure d'un vrai homme d'Etat. La légèreté et le dilettantisme avec lesquels il a abordé publiquement, des questions d'Etat, d'une extrême sensibilité, font froid au dos.
Il a osé, demander, ou plutôt enjoint, le président de la République, de s'impliquer fortement sur la crise Israëlo- palestinienne. Au-delà de la forme et du lieu, il s'est incrusté dans un domaine régalien relevant des pouvoirs exclusifs du président de la République. Il s'est fait plaisir en démontrant qu'il est le maître du pouvoir d'Etat, que c'est lui qui ordonne et que le Président exécute ses ordres !!!
Aujourd'hui, notre pays amorce un tournant décisif de son histoire. Le nouveau pouvoir surfe sur la nécessaire reddition des comptes, pour occulter son incurie et son incapacité à diriger le Sénégal, pour le mener à l'Emergence, puis au Développement.
Pour toutes les raisons précitées, les Forces démocratiques, républicaines et authentiquement patriotiques, doivent se mobiliser pour vaincre et effacer cette parenthèse de notre histoire.
La CAVE (Cellule d'Appui et de Veille Stratégique) de l' APR