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[Dernière minute] Les policiers sérieusement malmenés à Sandaga par les manifestants

LERAL.NET- Les policiers sont-ils fatigués? Sont-ils dépassés par les évènements? N'ont-ils pas assez de munitions pour faire face aux manifestants? En tout cas à Sandaga, les forces de l'ordre sont sérieusement malmenées par ces jeunes toujours aussi déterminés à en découdre avec Wade et son pouvoir. Ici, les manifestants ont pris l'ascendant sur des policiers en difficultés.


Rédigé par leral.net le Dimanche 19 Février 2012 à 16:49 | | 23 commentaire(s)|

[Dernière minute] Les policiers sérieusement malmenés à Sandaga par les manifestants

[Dernière minute] Les policiers sérieusement malmenés à Sandaga par les manifestants



1.Posté par schwarzeraal le 19/02/2012 17:49 (depuis mobile) | Alerter
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il faut ouvrir beaucoup de fronts,pour disperser les services de l'ordre quitte ace l'armee sorte de ses casernes.le pouvoir appartient au peuple.pas aux wadene.

2.Posté par Patisco le 19/02/2012 17:55 | Alerter
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Il y a certes une différence entre le brusque accès de colère qui retombe assez vite et vous laisse honteux de vous être laissé emporter, et la haine qui entretient le ressentiment, nourrit dans la pensée l’intention de nuire

vive wade et ses alliés 75% au premier tour

3.Posté par Mbour le 19/02/2012 17:56 | Alerter
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Mais le fait même de laisser la violence s’emparer de soi, c’est aussi se perdre soi-même. Que la colère soit déjà une folie, cela se montre dans le déchaînement qui s’empare du corps : « La violence suppose un échappement au contrôle : l’explosion émotive se libère en déchaînements paroxystiques, cris et gesticulations, qui atteste l’échec de toutes les disciplines personnelles. Le violent, incapable de se contenir, recherche dans sa propre frénésie une sorte d’apaisement

Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour

4.Posté par Ndiaganiao le 19/02/2012 17:56 | Alerter
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Il est au plus mal car il ne parvient plus à se retrouver, il est emporté par une tempête émotionnelle. S’il peut décharger son affectivité, il regrettera pourtant de s’être conduit comme un enfant. Il aura besoin du pardon pour lever sa culpabilité.

wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek 75% au premier tour

5.Posté par Ouza 2012 le 19/02/2012 17:57 | Alerter
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On pourrait même aller plus loin et dire que la surabondance de spectacles violents aurait pour effet non pas de nous exciter mais de nous accoutumer à la passivité du spectateur. Deux conséquences découlent de ce qui vient d’être dit : d’une part, on se trompe lorsqu’on accuse la télévision d’inciter à la violence. Je pense que c’est tout le contraire qu’il faut dire : elle nous accoutume à n’être jamais que des spectateurs passifs de la violence

wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek 75% au premier tour

6.Posté par Sandiara le 19/02/2012 17:58 | Alerter
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La violence est rarement spontanée. En règle générale, une personne a un comportement violent lorsqu’elle est privée de quelque chose, lorsqu’elle doit renoncer à la réalisation d’un de ses désirs. Par exemple, un jeune enfant à qui on refuse une friandise de plus risque fort de piquer une colère, ou à tout le moins d’exprimer son mécontentement.

wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek 75% au premier tour

7.Posté par Youssou 2012 le 19/02/2012 17:59 | Alerter
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Il n’est pas possible d’être non-violent, si l’on n’a pas au préalable compris en profondeur ce qu’est la violence. La non-violence elle-même ne se comprend pas comme une manière de fuir la violence. Toute la question est de savoir si la non-violence est seulement un héroïsme de la volonté ou si elle correspond à un état d'être naturel

vive wade et ses alliés 75% au premier tour

8.Posté par PRESSS le 19/02/2012 18:22 | Alerter
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les pyromane du senegal
Barra GAYE PDS
Ousmane sene walf
birahim toure zik
ndiaye doss zik
maodo faye sud fm
djamil sy marre a bout
fadel barro yen a marre de lui
serigne mbacke ndiaye porte malheur
khalifa diakhate futur media
pape ngagne futur media
pape thiarre sud fm
awa diop ndiaye walf
dr correa mpcl
khalifa sall ps
bamba dieye n'importe ou n'importe koi
al badara cisse n'importe kan
tous les petits marabouts politiciens (na seny way diour wakh ak gnom waye)
gadiop mpcl
amath dansokho plus pres de sa tombe que du peuple
YOUSSOU NDOUR SEYTANE MOKO NGEMB
ALIOUNE TINE SEYETANE MOKO NGEMB

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
la solution
NANOULEN BAYI AK YALLA

9.Posté par MAUDIT SOIT LE M23 le 19/02/2012 19:35 | Alerter
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MAUDIT SOIT LE M23 !!! TOUS CES IMBÉCILES QUI MANIFESTENT SONT LOIN DE LE FAIRE A CAUSE DE LA ZAWIYA ; MAIS C'EST LE M23 QUI JOUE LES RÉCUPÉRATEURS ! LES VRAIS TIJANES , UNIQUEMENT TIJANES , AUTHENTIQUEMENT TIJANES , ONT DEJA COMPRIS QUE C’ETAIT UNE BOURDE POLICIERE , INDEPENDANTE DES ORDRES RECUS . CEUX QUI CONTINUENT MALGRE LES APPELS AU CALME DU KHALIFE , SONT DE FAUX TIJANES : C’EST DES POLITICENS DU M23 TRANSFORMES EN TIJANES POUR LA CIRCONSTANCE . IL FAUT QUE LA POLICE SOIT AUTORISÉE A FRAPPER TRÈS FORT !!! LE MÉCONTENTEMENT DES TIJANES N'A RIEN A VOIR AVEC CE QUI SE PASSE ACTUELLEMENT ! ET C'EST JUSTEMENT PARCE QU'ILS SAVENT NE PAS ENCOURIR GROS , QU’ILS CONTINUENT ! IL FAUT QUE LA POLICE TIRE (SANS TUER) DANS LES MOLLETS , CUISSES ET FESSES !!!! ILS VONT TOUS ARRÊTER TOUT DE SUITE !!!! IL NE FAUT PLUS LES MENAGER , TIREZ (SANS TUER) DES BALLES RÉELLES DANS LEURS FESSES , CUISSES, ET MOLLETS ; CES IMBECILES QUI PENSENT POUVOIR PRENDRE LE PEUPLE EN OTAGE !!!!!!

10.Posté par révolution africaine le 19/02/2012 22:18 | Alerter
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Ce n'est pas la POLICE NATIONALE QUI tue la jeunesse, mais LES CALOTS BLEUS DU PDS.

Ousmane Ngom a recruté dans la police des calots bleus qui portent l'uniforme de la Police: quel crime!
Le monde entier doit comprendre que cette police n'est qu'une MILICE du PDS

11.Posté par KARAGNE le 19/02/2012 23:21 | Alerter
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Des militaires libérés recrutés par IDY pour 20000 francs par jour qui manifestent par points sporadiques en même temps ( demandez vous d'ou viennent tous ces pneus brûlés ) plus quelques jeunes payés 10000 francs par jour, voilà la raison des actes de vandalisme de ce week end. WALF et TFM ( organe de presse de youssou ndour un opposant ) renflouées par l'argent des lobbyistes maçonniques, c'est la raison pour laquelle ils incitent les jeunes à commettre des actes répréhensibles en disant " ...les jeunes de tel endroit sont entrain de manifester alors surement les jeunes des autres quartier ne tarderont pas à sévir..." ce ne sont plus des médias mais de "l'essence" pour raviver le feu.

12.Posté par patri le 19/02/2012 23:52 | Alerter
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Merci au moins tu as sauvé ton pays dans la démocratie, la vérité et non le mawahonne wahète.... Merci les jeunes que Dieu vous pays...
Ceux dont wade a payer non cas continuer a dire du n'importe quoi sur le net en défendant le mauvais président

13.Posté par CRV le 19/02/2012 23:54 | Alerter
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A qui profite le crime ?
Le peuple sénégalais subit, depuis quelques jours, des bourdonnements effroyables parfois proches, parfois lointains entrainant même des morts . La cabale est sournoise : le complot tourne à plein régime et les activistes recrutés par Idrissa Seck se réjouissent des belles provocations qui poussent partout dans leurs sanctuaires. Les auteurs, 200 anciens militaires recrutés par le maire de Thiès sont payés 20 000 f par jour. Ils montent des brigades dans les différents quartiers de Dakar et tentent de mettre le feu. Les jeunes manifestants organisés en brigade reçoivent 10 000 f par personne et par jour. Parmi eux le faux policier qui a balancé une grenade lacrymogène dans la Zawya. Chers concitoyens voilà le coup monté par Idrissa Seck . Sachant qu’il ne peut pas gagner par les urnes, IDY s’adosse sur de pauvres innocents pour faire basculer le pays dans le CHAOS . Restons vigilent.

14.Posté par Preuves: Fichier Electoral Truqué!!! le 20/02/2012 07:11 | Alerter
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--- Allez sur le site: www.elections2012.sn
---Cliquez sur le lien "Electeurs Residant au Senegal ou Electeurs a l'etranger (selon votre residence)
--- Entrez votre numéro de carte d'Identité et votre nom de famille
---Cliquez sur le bouton " Rechercer"

!!!!!!Coucou.... "Te Voila!!!!!!

Ensuite......

---Changez le premier chiffre de votre numero d'identité
--- Cliquez sur le bouton " Rechercer"


!!!!!!Coucou.... "Te Voila Encore !!!!!!

***Continnez a changer le premier numero de ta carte d'identité autant de fois possible...

***Essayez aussi a changer le dernier numero de ta carte d'identité autant de fois possible pour voir...

****Faites la meme procédure sur les deux residence pour mesurer l'ampleur de la no fiabilité du fichier et vous comprenez pourquoi Wax Waxet clame haut et fort qu'il va gagner les elections du 26 fevrier 2012...

Kathiapang..

15.Posté par Preuves: Fichier Electoral Truqué!!! le 20/02/2012 07:11 | Alerter
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Kathiapang..



16.Posté par orléans45 le 20/02/2012 08:50 | Alerter
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1
Manifeste de « Devoir de Résistance »
« Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko
Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.
Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?
Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.
Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.
2
Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.
Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.
Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.
La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.
3
1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.
La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.
2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au
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dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.
3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.
Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis
Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey
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Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,
Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger
Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger
Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger
Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger
Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger
Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Lina Husseini, Libraire, Dakar
Mamadou Sarr, Colonel à la retraite
Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Xavier Correa, Juriste, New-York
Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris
Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York

17.Posté par Patisco le 20/02/2012 09:43 | Alerter
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Les causes de la violence sont aussi nombreuses que diversifiées car celle-ci n'a pas de visage. Il y a des indices sur les causes possibles de cette problématique mais on ne peut rien confirmer. Il faudrait regarder chaque situation et chaque individu agresseur et agressé pour découvrir les causes spécifiques de chaque cas.

Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour

18.Posté par Mbour le 20/02/2012 09:48 | Alerter
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Par contre, selon l'ICREF (l'Institut de recherche sur les femmes) la socialisation des hommes pourrait être une cause des comportements violents. En effet, il y a beaucoup de modèles violents proposés aux garçons dès leur petite enfance soit dans le famille immédiate, via la télévision ou leur environnement. Ces modèles ont une influence négative sur le développement de certains d'entre eux qui grandissent en se disant qu'ils doivent être forts, virils et contrôlants face à leur entourage.

vive wade et ses alliés 75% au premier tour

19.Posté par Ndiaganiao le 20/02/2012 09:54 | Alerter
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Les conséquences de la violence

Manifestations, signes et symptômes...

... sur les victimes

Blessures : ecchymoses, coupures, brûlures, commotions, fractures, fausses couches, etc.
Problèmes de santé chroniques : troubles du sommeil, problèmes gastro-intestinaux, perte d'appétit, maux de tête, maux de dos, etc.
Mortalité.
Troubles psychologiques : perte de l'estime de soi, dépression, stress, anxiété, attaques de panique, désespoir, tentatives de suicide.
Symptômes du syndrome de stress post-traumatique : sentiment de peur ou d'impuissance, cauchemars, évitement des gens et endroits associés au traumatisme, irritabilité, hypervigilance, etc.
Fuite dans l'alcool, les drogues ou les médicaments.
Isolement social.

Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier

20.Posté par Sandiara le 20/02/2012 09:57 | Alerter
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Les conséquences de la violence

sur les enfants et adolescents exposés

Risque de blessures et d'agressions sexuelles.
Problèmes affectifs et comportementaux analogues à ceux des enfants victimes de mauvais traitements physiques.
Symptômes du syndrome de stress post-traumatique : crainte, irritabilité, cauchemars, explosions de colère, évitement des situations rappelant les actes de violence vécus, etc.
Agressivité, hyperactivité, difficultés à se concentrer.
Troubles d'apprentissage, décrochage scolaire.
Fugues, délinquance, grossesses à l'adolescence.
Isolement, dépression, idées suicidaires.
Risque de reproduire, à l'âge adulte, les comportements des victimes ou des agresseurs, selon le cas.

wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek



21.Posté par Ouza 2012 le 20/02/2012 09:59 | Alerter
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sur la société et l'économie

Absentéisme au travail, baisse de la productivité, congédiements.
Coûts associés à l'intervention policière, aux services juridiques et correctionnels, aux services de santé, aux services de consultation, aux maisons de transition, etc.

vive wade et ses alliés 75% au premier tour

22.Posté par Youssou 2012 le 20/02/2012 10:03 | Alerter
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Le phénomène de la violence est d’une grande complexité : un effort de réflexion est indispensable pour en comprendre les
multiples composantes. Lorsque cette violence prend forme dans un univers particulier, il faut comprendre le phénomène
de violence lui-même et aussi le milieu dans lequel il s’incarne, sans éviter d’en examiner les conséquences.
Identifiée comme un véritable fléau mondial, « un défi planétaire » selon les termes de l’Organisation Mondiale de
la Santé, la violence est maintenant considérée comme l’une des questions les plus essentielles de la santé publique
internationale.

wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek

23.Posté par joob gey le 20/02/2012 11:08 | Alerter
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INFORMATICIENS EXPLIQUEZ NOUS.

CE QUE DIT CE POST EST VÉRIFIABLE ET AVÉRÉ.

J'AI CHANGE LE PREMIER CHIFFRE DE MON NUMÉRO D'IDENTIFICATION NATIONAL DE O A 9 ET A CHAQUE C'EST MON NOM QUI APPARAÎT, DONC J'EN DÉDUIS QU'IL EXISTE EN DEHORS DE MA CARTE D’ÉLECTEUR, AU MOINS NEUF AUTRES CARTES A MON NOM.

Preuves: Fichier Electoral Truqué!!! le 20/02/2012 07:08

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http://www.elections2012.sn

LES AMIS DIFFUSER CE POST DANS TOUS LES SITES INTERNET ET QUE CEUX QUI SAVENT NOUS ECLAIRE.

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