Selon cette association, près de 3000 personnes de leur communauté sont portées disparues. Elle demande à la communauté internationale d’ouvrir une enquête sur les cas d’exécutions extra judiciaires au Burkina Faso.
« Il faut le dire haut et fort, il y a des ethnies qui sont persécutées, exécutées, arrêtées, expliqueAbdoulaye Sidibé, secrétaire général de l’association Jeunesse Tabital Pulakuu au micro de Yaya Boudani, notre correspondant à Ouagadougou. Ça n’est pas normal...
Les gens sont tout le temps arrêtés, exécutés… Nous avons aujourd’hui plus de 3 000 personnes qui ont disparu, toutes appartenant à la communauté peule et 10 000 personnes sont dans les prisons aujourd’hui.
Il y a eu des crimes commis contre la communauté peule et l'affaire doit être portée devant les juridictions internationales, explique encore Abdoulaye Sidibé
RFI
« Il faut le dire haut et fort, il y a des ethnies qui sont persécutées, exécutées, arrêtées, expliqueAbdoulaye Sidibé, secrétaire général de l’association Jeunesse Tabital Pulakuu au micro de Yaya Boudani, notre correspondant à Ouagadougou. Ça n’est pas normal...
Les gens sont tout le temps arrêtés, exécutés… Nous avons aujourd’hui plus de 3 000 personnes qui ont disparu, toutes appartenant à la communauté peule et 10 000 personnes sont dans les prisons aujourd’hui.
Il y a eu des crimes commis contre la communauté peule et l'affaire doit être portée devant les juridictions internationales, explique encore Abdoulaye Sidibé
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