Le Professeur et non moins député et 1er vice-président de l'Assemblée nationale a marqué un grand coup le week-end dernier. Iba Der Thiam était face à ses « frères libéraux », qui ont tenu à le féliciter, pour les propos qu'il a tenus, suite à la volonté, intéressée, du président Wade de voler au secours du peuple haïtien, meurtri par un tremblement de terre. En grand opportuniste, il a joué la carte de la modestie : champion dans l'utilisation des superlatifs, il a laissé entendre que seul Wade avait du mérite ; d'autant que si celui-ci a dix licences, lui n'en a qu'une. Heureusement pour les Sénégalais que le président n'ait pas eu le double de ses prétendus diplômes. Car, si c'était le cas, leurs ennuis actuels seraient multipliés par deux.
Wade est à l'image de ces chercheurs qui ne trouvent jamais et de ces ingénieurs incapables même de construire un kilomètre de route, à plus forte raison qu'un petit pont. Pour preuve, malgré la dizaine de licences que lui prête Iba Der, après neuf ans passés au pouvoir, l'économie du pays est en lambeaux : durant l'exercice 2009, pour des recettes budgétaires de 1100 milliards, 1500 milliards de francs Cfa ont été dépensés ; entraînant un déficit de 400 milliards ; soit plus d'un milliard par jour. Autrement, du fait de l'homme le plus diplômé du Maghreb au Cap, en passant par le Sahara, les Sénégalais perdent cinquante millions de francs par heure à cause du Démiurge de Iba Der, le laudateur.
L'année dernière encore, ses ministres, directeurs de sociétés et maires ont été épinglés par l'Armp, dévalisant les Sénégalais. En 2009, le grand licencié que chante Iba Der avait voulu corrompre un fonctionnaire international. L'an passé, Wade avait poussé à la faillite la plupart des entreprises du pays. Car, la dette intérieure de l'État du Sénégal est passée par là. C'est dire que la dizaine de licences de Wade, devant lesquels Iba Der est ému, ne servent, en fait, qu'à piller l'économie sénégalaise, à se jouer du pays, à protéger ses hordes de délinquants et de voleurs. Son fils Karim est leur chef, la Première Dame, Viviane Wade, leur marraine. Iba Der Thiam n'a pas à chanter leur Commandant. Car, il est incapable de hauts faits, encore moins d'actes désintéressés et patriotiques.
Iba Der qui le clouait au pilori, avant qu'il ne devienne chef de l'État, le sait plus que quiconque : il avait traité Wade de « diable ». Il a raison, de ce point de vue : il a mis le Sénégal sens dessous-dessus, en se servant des confréries, qui ont toujours pacifiquement cohabité.
La Redaction xibar
Wade est à l'image de ces chercheurs qui ne trouvent jamais et de ces ingénieurs incapables même de construire un kilomètre de route, à plus forte raison qu'un petit pont. Pour preuve, malgré la dizaine de licences que lui prête Iba Der, après neuf ans passés au pouvoir, l'économie du pays est en lambeaux : durant l'exercice 2009, pour des recettes budgétaires de 1100 milliards, 1500 milliards de francs Cfa ont été dépensés ; entraînant un déficit de 400 milliards ; soit plus d'un milliard par jour. Autrement, du fait de l'homme le plus diplômé du Maghreb au Cap, en passant par le Sahara, les Sénégalais perdent cinquante millions de francs par heure à cause du Démiurge de Iba Der, le laudateur.
L'année dernière encore, ses ministres, directeurs de sociétés et maires ont été épinglés par l'Armp, dévalisant les Sénégalais. En 2009, le grand licencié que chante Iba Der avait voulu corrompre un fonctionnaire international. L'an passé, Wade avait poussé à la faillite la plupart des entreprises du pays. Car, la dette intérieure de l'État du Sénégal est passée par là. C'est dire que la dizaine de licences de Wade, devant lesquels Iba Der est ému, ne servent, en fait, qu'à piller l'économie sénégalaise, à se jouer du pays, à protéger ses hordes de délinquants et de voleurs. Son fils Karim est leur chef, la Première Dame, Viviane Wade, leur marraine. Iba Der Thiam n'a pas à chanter leur Commandant. Car, il est incapable de hauts faits, encore moins d'actes désintéressés et patriotiques.
Iba Der qui le clouait au pilori, avant qu'il ne devienne chef de l'État, le sait plus que quiconque : il avait traité Wade de « diable ». Il a raison, de ce point de vue : il a mis le Sénégal sens dessous-dessus, en se servant des confréries, qui ont toujours pacifiquement cohabité.
La Redaction xibar