Selon une source proche de cette confrérie, ceuxi-ci auraient surtout pris l'engagement d'inscrire leurs attitudes et comportements dans des initiatives et actions de développement, notamment la sensibilisation contre les feux de brousse, l'abattage d'arbres et le braconnage, et entendent ainsi participer à la dynamique sociale en cours.
Quelque 100 chasseurs traditionnels dozos, regroupés au sein d'une organisation, baptisée "confrérie des dozos de Côte d'Ivoire(CODOCI)", auraient achever, depuis jeudi, dans la localité, un conclave destiné à aplanir les malentendus et autres divergences en leur sein, les réconcilier, reconstruire la cohésion dans leur milieu, et à les réconcilier avec les pouvoirs publics.
Leur leader, Moussa Touré y a notamment fait savoir que leur rencontre avait pour but essentiel de "recadrer la ligne de conduite sociale du dozo face aux impairs constatés par endroits envers les populations et les autorités", et réconcilier la confrérie avec l'ensemble des populations ivoiriennes, notamment celles du département de Zuénoula.
"Vous devez inscrire vos attitudes et comportements dans le civisme et être des vecteurs de quiétude sociale", a lancé M. Touré, à l'endroit de ses camarades, indiquant que "tous ceux qui se rendraient coupables d'actes répréhensibles contre d'éventuelles radiation et une poursuite devant les tribunaux". "Tous dozos qui se rendront coupables d’actes répréhensibles seront radiés de la corporation, avant d’être poursuivis devant les tribunaux compétents", a-t-il prévenu, mettant en garde contre toute propension de certains de leurs éléments à se comporter en forces de l'ordre légales ou en justiciers, contraires à leur formation atavique.
La confrérie des chasseurs dozos, généralement crainte et qui aurait la réputation de détenir des pouvoirs mystiques ou surnaturels lui permettant de vaincre de l'adversité et de mettre hors d'état de nuire tout esprit malfaisant, aurait pris une part active dans la guerre provoquée par la crise postélectorale.
Elle se serait même illustrée maladroitement dans des actions de police. Leur prise de position a souvent engendré des affrontements entre populations, la plupart du temps, ponctués par des dégâts collatéraux très importants, et souvent caratérisés par des pertes en vie humaine, de nombreux blessés ainsi qu'en destruction de biens.
SOURCE : AIP
Quelque 100 chasseurs traditionnels dozos, regroupés au sein d'une organisation, baptisée "confrérie des dozos de Côte d'Ivoire(CODOCI)", auraient achever, depuis jeudi, dans la localité, un conclave destiné à aplanir les malentendus et autres divergences en leur sein, les réconcilier, reconstruire la cohésion dans leur milieu, et à les réconcilier avec les pouvoirs publics.
Leur leader, Moussa Touré y a notamment fait savoir que leur rencontre avait pour but essentiel de "recadrer la ligne de conduite sociale du dozo face aux impairs constatés par endroits envers les populations et les autorités", et réconcilier la confrérie avec l'ensemble des populations ivoiriennes, notamment celles du département de Zuénoula.
"Vous devez inscrire vos attitudes et comportements dans le civisme et être des vecteurs de quiétude sociale", a lancé M. Touré, à l'endroit de ses camarades, indiquant que "tous ceux qui se rendraient coupables d'actes répréhensibles contre d'éventuelles radiation et une poursuite devant les tribunaux". "Tous dozos qui se rendront coupables d’actes répréhensibles seront radiés de la corporation, avant d’être poursuivis devant les tribunaux compétents", a-t-il prévenu, mettant en garde contre toute propension de certains de leurs éléments à se comporter en forces de l'ordre légales ou en justiciers, contraires à leur formation atavique.
La confrérie des chasseurs dozos, généralement crainte et qui aurait la réputation de détenir des pouvoirs mystiques ou surnaturels lui permettant de vaincre de l'adversité et de mettre hors d'état de nuire tout esprit malfaisant, aurait pris une part active dans la guerre provoquée par la crise postélectorale.
Elle se serait même illustrée maladroitement dans des actions de police. Leur prise de position a souvent engendré des affrontements entre populations, la plupart du temps, ponctués par des dégâts collatéraux très importants, et souvent caratérisés par des pertes en vie humaine, de nombreux blessés ainsi qu'en destruction de biens.
SOURCE : AIP