La dématérialisation et l'usage du guichet unique sont le vecteur le plus performant pour des procédures de commerces rapides et sécurisés, estiment ces experts à l'issue de la 2ème Conférence internationale sur les guichets uniques.
Ce procédé est aussi, soulignent ces experts à l'endroit des pays africains qui hésitent encore, le seul moyen de s'adapter au contexte mondial, caractérisé par la rapidité dans les transactions.
Selon Mouhamadou Mactar Cissé, directeur général des Douanes sénégalaises, le constat est que la mise sur pied d'un guichet unique permet une plus grande fiabilité et plus de rapidité dans le traitement des dossiers.
Même constat chez le ministre sénégalais du Commerce, Amadou Niang, qui invite à la reconversion des systèmes pour aller vers la dématérialisation des procédures et l'usage de guichet unique, vecteur « le plus performant pour des procédures fiables, rapides et sécurisées ».
La conférence de Dakar a donc prôné l'adoption des guichets uniques pour le commerce et la dématérialisation des formalités en Afrique.
Selon Ibrahima Nour Edine Diagne, président de l'Alliance africaine pour le commerce électronique (Aace), l'Afrique et l’Asie sont les continents les plus dynamiques en matière de mise en place des guichets uniques. Par exemple, le Sénégal a mis en place son guichet unique depuis 2004 et il s'est engagé vers une logique de dématérialisation dès 2008.
Il y a, selon les acteurs, d'autres initiatives intéressantes dans une dizaine de pays en Afrique notamment au Maroc, au Cameroun et au Ghana.
Toutefois, selon patron de la Douane sénégalaise, « la mise en place des guichets uniques dans nos pays ne doit pas seulement se limiter à la modernisation et à la sécurisation des procédures douanières. Elle devrait également intégrer les aspects d' interopérabilité de nos différents systèmes nationaux, pour faciliter la circulation des documents au-delà des frontières nationales ».
La mise en place d'une Alliance mondiale pour le commerce transfrontalier dématérialisé est au coeur des recommandations formulées par les participants à la fin de la Conférence.
Ce procédé est aussi, soulignent ces experts à l'endroit des pays africains qui hésitent encore, le seul moyen de s'adapter au contexte mondial, caractérisé par la rapidité dans les transactions.
Selon Mouhamadou Mactar Cissé, directeur général des Douanes sénégalaises, le constat est que la mise sur pied d'un guichet unique permet une plus grande fiabilité et plus de rapidité dans le traitement des dossiers.
Même constat chez le ministre sénégalais du Commerce, Amadou Niang, qui invite à la reconversion des systèmes pour aller vers la dématérialisation des procédures et l'usage de guichet unique, vecteur « le plus performant pour des procédures fiables, rapides et sécurisées ».
La conférence de Dakar a donc prôné l'adoption des guichets uniques pour le commerce et la dématérialisation des formalités en Afrique.
Selon Ibrahima Nour Edine Diagne, président de l'Alliance africaine pour le commerce électronique (Aace), l'Afrique et l’Asie sont les continents les plus dynamiques en matière de mise en place des guichets uniques. Par exemple, le Sénégal a mis en place son guichet unique depuis 2004 et il s'est engagé vers une logique de dématérialisation dès 2008.
Il y a, selon les acteurs, d'autres initiatives intéressantes dans une dizaine de pays en Afrique notamment au Maroc, au Cameroun et au Ghana.
Toutefois, selon patron de la Douane sénégalaise, « la mise en place des guichets uniques dans nos pays ne doit pas seulement se limiter à la modernisation et à la sécurisation des procédures douanières. Elle devrait également intégrer les aspects d' interopérabilité de nos différents systèmes nationaux, pour faciliter la circulation des documents au-delà des frontières nationales ».
La mise en place d'une Alliance mondiale pour le commerce transfrontalier dématérialisé est au coeur des recommandations formulées par les participants à la fin de la Conférence.