La rentrée scolaire 2008-2009 est déjà sous la menace de perturbations, liées à l’occupation de certains établissements par des sinistrés des inondations, mais également à la grogne des enseignants du Syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels) et ceux du Cadre unitaire des syndicats de l’enseignement moyen secondaire (Cusems).
Il va falloir trouver une solution rapide à l’occupation par des familles sinistrées des inondations de certains établissements scolaires de la banlieue. Les sapeurs-pompiers mobilisés dans le cadre du plan Orsec se plient en quatre pour actuellement vider les maisons des eaux qui les ont envahies. La tâche n’étant pas simple, nul ne peut présager de la fin de ces opérations de pompage conduites pas les soldats du feu. Par exemple, à Dalifort, quartier situé en bordure de l’autoroute, dans le département de Pikine, la seule école de la zone est présentement occupée par les familles qui ont dû abandonner leurs maisons à cause des inondations.
A côté de l’occupation de certains établissements scolaires par des sinistrés des inondations, une autre menace pèse sur un déroulement normal de la rentrée scolaire. Il s’agit de la grogne de certains syndicats d’enseignants contractuels qui courent derrière des arriérés de salaires. Après le Sels, c’est le Cusems qui se fait entendre. La raison est que la convention que l’Etat du Sénégal a signée avec Ecobank, pour un paiement plus rapide des bourses des étudiants et des salaires des enseignants contractuels, n’est pas encore mise en œuvre.
Il semble que c’est l’Etat du Sénégal qui n’a pas encore transmis à la banque la liste des étudiants et des enseignants dont les bourses et les émoluments seront transférés via cette institution financière. L’importance de la manne financière qui devra ainsi transiter par Ecobank ne fait toutefois pas que des heureux au niveau des Inspections d’Académie, où certaines personnes font de la résistance par rapport à ce projet du gouvernement, retardant volontairement l’exécution des opérations.
Il va falloir trouver une solution rapide à l’occupation par des familles sinistrées des inondations de certains établissements scolaires de la banlieue. Les sapeurs-pompiers mobilisés dans le cadre du plan Orsec se plient en quatre pour actuellement vider les maisons des eaux qui les ont envahies. La tâche n’étant pas simple, nul ne peut présager de la fin de ces opérations de pompage conduites pas les soldats du feu. Par exemple, à Dalifort, quartier situé en bordure de l’autoroute, dans le département de Pikine, la seule école de la zone est présentement occupée par les familles qui ont dû abandonner leurs maisons à cause des inondations.
A côté de l’occupation de certains établissements scolaires par des sinistrés des inondations, une autre menace pèse sur un déroulement normal de la rentrée scolaire. Il s’agit de la grogne de certains syndicats d’enseignants contractuels qui courent derrière des arriérés de salaires. Après le Sels, c’est le Cusems qui se fait entendre. La raison est que la convention que l’Etat du Sénégal a signée avec Ecobank, pour un paiement plus rapide des bourses des étudiants et des salaires des enseignants contractuels, n’est pas encore mise en œuvre.
Il semble que c’est l’Etat du Sénégal qui n’a pas encore transmis à la banque la liste des étudiants et des enseignants dont les bourses et les émoluments seront transférés via cette institution financière. L’importance de la manne financière qui devra ainsi transiter par Ecobank ne fait toutefois pas que des heureux au niveau des Inspections d’Académie, où certaines personnes font de la résistance par rapport à ce projet du gouvernement, retardant volontairement l’exécution des opérations.