«C’est juste un cri de cœur d’un Sénégalais qui croit en son pays, aux institutions de son pays», a lancé Sandé Néné Touré, frère du caporal Ibrahima Bâ tombé dans les affrontements, qui dit ne pas sentir le soutien, ne serait-ce que moral de l’Etat. «Je me demande s'il y a un ministre des forces armées et de défense au Sénégal".
"Dans des cas pareils, l’Etat doit être présent auprès des familles et doivent avoir des préoccupations d’ordre psychologiques. Parce que très dur et c’est extrêmement malheureux que 8 soldats tombent et que ça passe comme un fait divers», s’est emporté M. Touré sur les ondes de la Rfm.
«Doit-on continuer de parler de champ d’honneur ? On n’a pas senti l’Etat au sein de la famille. (…). Au-delà de lui, tous ses camarades d’armes qui sont tombés avec lui, personne n’a senti une autorité de l’état ; même pas un coup de téléphone pour compatir avec la famille», a expliqué le frère du corporal décédé sur le champ de bataille.
«Mon souci, c’est la prise en charge par l’Etat du Sénégal des cas de sinistre comme ceux-là», a laissé entendre M.Touré qui ajoute : «Vous savez, c’est très douloureux pour une famille de perdre un des leurs dans des circonstances pareilles. (…).
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
"Dans des cas pareils, l’Etat doit être présent auprès des familles et doivent avoir des préoccupations d’ordre psychologiques. Parce que très dur et c’est extrêmement malheureux que 8 soldats tombent et que ça passe comme un fait divers», s’est emporté M. Touré sur les ondes de la Rfm.
«Doit-on continuer de parler de champ d’honneur ? On n’a pas senti l’Etat au sein de la famille. (…). Au-delà de lui, tous ses camarades d’armes qui sont tombés avec lui, personne n’a senti une autorité de l’état ; même pas un coup de téléphone pour compatir avec la famille», a expliqué le frère du corporal décédé sur le champ de bataille.
«Mon souci, c’est la prise en charge par l’Etat du Sénégal des cas de sinistre comme ceux-là», a laissé entendre M.Touré qui ajoute : «Vous savez, c’est très douloureux pour une famille de perdre un des leurs dans des circonstances pareilles. (…).
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com