A les en croire : "Il y a eu plus de 80 autorités auditées, pourquoi Amadou Kane Diallo seulement ?" Et de poursuivre : "Pourquoi claironne-t-on sur les ondes des radios que Kane Diallo et Cie vont être les premiers prisonniers sous le règne de Macky Sall ? Y-a-til alors des dessous politiques comme nous le soupçonnons ? Kane Diallo serait-il l’empêcheur de gagner les Législatives en rond à Podor ?
Selon eux, "c’est une décision arbitraire. Sur plus de 80 autorités contractantes auditées, pourquoi accable-t-on seulement Amadou Kane Diallo ?
Et de porter la toge de l’avocat pour crier à haute voix que "le dossier est totalement vide. Certaines accusations relèvent de l’acharnement. Dans le marché des entrepôts par exemple, les auditeurs étaient allés vite en besogne. Mais finalement, ils se sont rendu compte que le marché a été attribué et exécuté. Dans un autre marché, le Cosec a suivi les recommandations de la Direction centrale des marchés publics « (Dcmp). Et pourtant l’Agence de régulation des marchés publics (Armp) a parlé de malversations », affirment des proches de Kane Diallo dans L’As du jour.
Et comble du malheur, on réclame à ses simples travailleurs du Cosec, une somme de 100 millions de francs à consigner pour recouvrer la liberté. Malheur à celui qui n’a pas gardé pareille somme...
SOURCE:Ferloo
Selon eux, "c’est une décision arbitraire. Sur plus de 80 autorités contractantes auditées, pourquoi accable-t-on seulement Amadou Kane Diallo ?
Et de porter la toge de l’avocat pour crier à haute voix que "le dossier est totalement vide. Certaines accusations relèvent de l’acharnement. Dans le marché des entrepôts par exemple, les auditeurs étaient allés vite en besogne. Mais finalement, ils se sont rendu compte que le marché a été attribué et exécuté. Dans un autre marché, le Cosec a suivi les recommandations de la Direction centrale des marchés publics « (Dcmp). Et pourtant l’Agence de régulation des marchés publics (Armp) a parlé de malversations », affirment des proches de Kane Diallo dans L’As du jour.
Et comble du malheur, on réclame à ses simples travailleurs du Cosec, une somme de 100 millions de francs à consigner pour recouvrer la liberté. Malheur à celui qui n’a pas gardé pareille somme...
SOURCE:Ferloo