Depuis plusieurs jours, plusieurs quartiers de Dakar, surtout sa banlieue, sont en crise de la liquide précieuse et vitale : l’eau.
Avec cette pandémie en pleine expansion dans la région de Dakar, devenue l’épicentre du Coronavirus, une maladie qui exige la propreté parmi les moyens de freiner son augmentation, mais aussi en cette période de chaleur débutante, le moment choisi par cette pénurie est plus qu’inopportun.
Dans ces localités touchées par ce qui semble panne assez large, ou du moins non encore solutionnée, un scénario presque rangé aux oubliettes revient au goût du jour. Aux Parcelles Assinies, des charretiers avec de grands bidons qui font des va-et-vient pour ravitailler les populations, (tout en se faisant du fric devenu rare avec le Coronavirus), des femmes et enfants avec des bidons de dix litres parcourent des kilomètres pour dénicher des points d’eau non sécurisés, ou pour les mieux nantis des bidons d’eau sont achetés dans les boutiques et grandes surfaces…Voilà le décor d’un calvaire où avec cette chaleur, seules les sociétés de fabrique du liquide précieux, en concurrence serrée comme annoncé par un confrère, y gagnent.
Pourtant ce problème devait être l’une des priorités du Président Macky Sall. Car tout le Sénégal se souvient que dès son premier mandat, il avait été accueilli par une coupure d’eau générale qui a failli pousser les populations à la révolte comme, ce fut le cas sous Wade avec l’électricité. Il fut même obligé de faire payer par l’Etat la facture bimestriel des populations touchées
Mais voilà : plus de douze ans après le problème demeure, même avec après un bras de fer avec la SDE pour transférer sa gestion à Sen’eau…
Avec cette pandémie en pleine expansion dans la région de Dakar, devenue l’épicentre du Coronavirus, une maladie qui exige la propreté parmi les moyens de freiner son augmentation, mais aussi en cette période de chaleur débutante, le moment choisi par cette pénurie est plus qu’inopportun.
Dans ces localités touchées par ce qui semble panne assez large, ou du moins non encore solutionnée, un scénario presque rangé aux oubliettes revient au goût du jour. Aux Parcelles Assinies, des charretiers avec de grands bidons qui font des va-et-vient pour ravitailler les populations, (tout en se faisant du fric devenu rare avec le Coronavirus), des femmes et enfants avec des bidons de dix litres parcourent des kilomètres pour dénicher des points d’eau non sécurisés, ou pour les mieux nantis des bidons d’eau sont achetés dans les boutiques et grandes surfaces…Voilà le décor d’un calvaire où avec cette chaleur, seules les sociétés de fabrique du liquide précieux, en concurrence serrée comme annoncé par un confrère, y gagnent.
Pourtant ce problème devait être l’une des priorités du Président Macky Sall. Car tout le Sénégal se souvient que dès son premier mandat, il avait été accueilli par une coupure d’eau générale qui a failli pousser les populations à la révolte comme, ce fut le cas sous Wade avec l’électricité. Il fut même obligé de faire payer par l’Etat la facture bimestriel des populations touchées
Mais voilà : plus de douze ans après le problème demeure, même avec après un bras de fer avec la SDE pour transférer sa gestion à Sen’eau…