Une tragédie qui a touché lâchement des séquestrés sahraouis des camps de la honte de Tindouf alors qu’ils tentaient désespérément de rejoindre leur pays qu’est le Maroc via la Mauritanie.
En effet, deux convois de sahraouis, embastillés dans ces fameux camps de Tindouf, avaient réussi à déjouer les mesures de sécurité draconniennes des services algériens et polisariens avant de se faire rejoindre par l’armée algérienne qui n’a pas hésité à perpétrer un massacre en tirant sur ces civils innocents et désarmés qui ne demandaient qu’à rejoindre leur Patrie.
Le bilan de ce carnage s’élève à deux morts, plus d’une dizaine de blessés grièvement et un chiffre indéterminé de disparus parmi ces innoncents Sahraouis qui tentaient de réintégrer le Maroc.
Une grave tragédie qui confirme que les ordres donnés, en novembre 2013, par le sanguinaire mercenaro-terroriste Ould Bouhali de tirer sur tous les Sahraouis qui tentent de fuir les camps de Tindouf seront appliqués dans sa brutalité la plus bestiale par l’armée algérienne.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que l’armée algérienne s’en prend à des civils désarmés ; c’est une tradition et une constante.
A défaut de se mesurer aux terroristes, aux bandes de criminels et de narco-trafiquants qui circulent librement sur son territoire, les soldats algériens préfèrent ouvrir le feu sur de jeunes bergers marocains qui font paître leurs troupeaux ou sont à la recherche de champignons et de truffes non loin de la frontière algéro-marocaine.
Cette nouvelle tentative de fuite des séquestrés sahraouis démontre bel et bien la situation d’impasse et de désespoir dans laquelle ils se trouvent et n’est pas sans rappeler l’exode des Allemands de l’Est vers l’Allemagne Fédérale durant l’été et le printemps 1989.
Cette tentative de fuite confirme également que la machine polisarienne est en totale décomposition et que les responsables sécuritaires algéro-polisariens tentent de sauvegarder un ordre apparent à coup de fusils et de surveillance étroite sur les camps de Tindouf afin de refroidir les sentiments pro-marocains qui se font jour.
Un massacre de l’armée algérienne qui a suscité indignation et révolte au sein des tribus sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf et qui confirme, ce que de nombreux analystes ont affirmé en alertant la communauté internationale, que Tindouf constitue une plaque tournante qui alimente la zone grise du Sahel en armes et en hommes.
Une vérité que les responsables sécuritaires algériens ne souhaitent voir éclater en plein jour en encerclant les camps des séquestrés sahraouis de Tindouf et en assassinant tout sahraoui qui tente de rejoindre le Maroc.
Au final l’armée algérienne, incapable de lutter contre le terrorisme qui sévit en Algérie et de mener une lutte implacable contre les réseaux de criminels, car complice, use d’une soit disant puissance militaire contre des civils désarmés, comme à son habitude.
Un nouveau crime qu’elle vient de perpétrer à l’encontre de civils dont elle devra un jour répondre devant le tribunal pénal international.
Farid Mnebhi.
En effet, deux convois de sahraouis, embastillés dans ces fameux camps de Tindouf, avaient réussi à déjouer les mesures de sécurité draconniennes des services algériens et polisariens avant de se faire rejoindre par l’armée algérienne qui n’a pas hésité à perpétrer un massacre en tirant sur ces civils innocents et désarmés qui ne demandaient qu’à rejoindre leur Patrie.
Le bilan de ce carnage s’élève à deux morts, plus d’une dizaine de blessés grièvement et un chiffre indéterminé de disparus parmi ces innoncents Sahraouis qui tentaient de réintégrer le Maroc.
Une grave tragédie qui confirme que les ordres donnés, en novembre 2013, par le sanguinaire mercenaro-terroriste Ould Bouhali de tirer sur tous les Sahraouis qui tentent de fuir les camps de Tindouf seront appliqués dans sa brutalité la plus bestiale par l’armée algérienne.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que l’armée algérienne s’en prend à des civils désarmés ; c’est une tradition et une constante.
A défaut de se mesurer aux terroristes, aux bandes de criminels et de narco-trafiquants qui circulent librement sur son territoire, les soldats algériens préfèrent ouvrir le feu sur de jeunes bergers marocains qui font paître leurs troupeaux ou sont à la recherche de champignons et de truffes non loin de la frontière algéro-marocaine.
Cette nouvelle tentative de fuite des séquestrés sahraouis démontre bel et bien la situation d’impasse et de désespoir dans laquelle ils se trouvent et n’est pas sans rappeler l’exode des Allemands de l’Est vers l’Allemagne Fédérale durant l’été et le printemps 1989.
Cette tentative de fuite confirme également que la machine polisarienne est en totale décomposition et que les responsables sécuritaires algéro-polisariens tentent de sauvegarder un ordre apparent à coup de fusils et de surveillance étroite sur les camps de Tindouf afin de refroidir les sentiments pro-marocains qui se font jour.
Un massacre de l’armée algérienne qui a suscité indignation et révolte au sein des tribus sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf et qui confirme, ce que de nombreux analystes ont affirmé en alertant la communauté internationale, que Tindouf constitue une plaque tournante qui alimente la zone grise du Sahel en armes et en hommes.
Une vérité que les responsables sécuritaires algériens ne souhaitent voir éclater en plein jour en encerclant les camps des séquestrés sahraouis de Tindouf et en assassinant tout sahraoui qui tente de rejoindre le Maroc.
Au final l’armée algérienne, incapable de lutter contre le terrorisme qui sévit en Algérie et de mener une lutte implacable contre les réseaux de criminels, car complice, use d’une soit disant puissance militaire contre des civils désarmés, comme à son habitude.
Un nouveau crime qu’elle vient de perpétrer à l’encontre de civils dont elle devra un jour répondre devant le tribunal pénal international.
Farid Mnebhi.