Selon Abdoulaye Diop qui portait leur parole, leur mouvement d'humeur s'explique par le fait qu'après avoir effectué une formation diplômante de 3 ans, ils ont tous obtenu leur diplôme avec mention.
À la suite de cela, poursuit-il, un avis de recrutement a été lancé. Lequel avis précisait qu'il y avait un besoin exprimé de 55 éléments, alors que les sortants étaient au nombre de 53 agents techniques. À l'issue des épreuves, 14 d'entre eux ont été laissés à quai. C'est que déplorent ces agents, fait savoir le porte-parole.
Il s'interroge : «Pourquoi, au moment où le service est en manque criard de personnel, se permet-on d'éliminer certains ?». Abdoulaye Diop fait savoir qu'ils ont tenté de rencontrer leur ministre de tutelle, Abdou Karim Sall, à travers une demande d'audience qu'ils ont introduite, mais à ce jour, il n’y a pas eu de retour, se désole le porte-parole.
Selon lui, le ministre de l'Environnement avait pris des engagements le 6 mai 2019. Parmi ces engagements, renseigne Abdoulaye Diop, «Abdou Karim Sall avait promis d'augmenter le quota. Chose faite. Parce que dans le passé, le nombre d'agents n'atteignait même pas 20, mais aujourd'hui, on a atteint la cinquantaine. Malgré tout, l'État peut recruter, parce qu'encore une fois, le besoin est là, parce qu'il y a un déficit de personnel».
«Nous sommes bien formés et nous exigeons notre recrutement, car nous ne souhaitons pas embarquer dans des pirogues de fortune pour émigrer. Maintenant, ce qui nous reste, c'est d'entamer la grève de la faim, car nous n'avons plus d'alternative. Ce que nous réclamons, c'est le recrutement de tous les 53 agents techniques sortants de la formation», laisse entendre le porte-parole.
Tribune
À la suite de cela, poursuit-il, un avis de recrutement a été lancé. Lequel avis précisait qu'il y avait un besoin exprimé de 55 éléments, alors que les sortants étaient au nombre de 53 agents techniques. À l'issue des épreuves, 14 d'entre eux ont été laissés à quai. C'est que déplorent ces agents, fait savoir le porte-parole.
Il s'interroge : «Pourquoi, au moment où le service est en manque criard de personnel, se permet-on d'éliminer certains ?». Abdoulaye Diop fait savoir qu'ils ont tenté de rencontrer leur ministre de tutelle, Abdou Karim Sall, à travers une demande d'audience qu'ils ont introduite, mais à ce jour, il n’y a pas eu de retour, se désole le porte-parole.
Selon lui, le ministre de l'Environnement avait pris des engagements le 6 mai 2019. Parmi ces engagements, renseigne Abdoulaye Diop, «Abdou Karim Sall avait promis d'augmenter le quota. Chose faite. Parce que dans le passé, le nombre d'agents n'atteignait même pas 20, mais aujourd'hui, on a atteint la cinquantaine. Malgré tout, l'État peut recruter, parce qu'encore une fois, le besoin est là, parce qu'il y a un déficit de personnel».
«Nous sommes bien formés et nous exigeons notre recrutement, car nous ne souhaitons pas embarquer dans des pirogues de fortune pour émigrer. Maintenant, ce qui nous reste, c'est d'entamer la grève de la faim, car nous n'avons plus d'alternative. Ce que nous réclamons, c'est le recrutement de tous les 53 agents techniques sortants de la formation», laisse entendre le porte-parole.
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