
Grande d’ailleurs a été la surprise des responsables du groupe de presse de voir les personnes commises à leur sécurité se faire embarquer par des éléments de la Sûreté urbaine (SU) de Dakar.
En réalité, les premiers suspects des faits incriminés dans l’enquête sont les individus mêmes recrutés par Futurs Médias au lendemain du saccage des sièges de L’As et de « 24 heures Chrono ». Rfm serait ainsi infiltrée. La direction de Futurs médias, qui compte dans ses locaux le journal L’Observateur et la Radio futurs médias (Rfm), a effectivement pu vérifier l’information. Patrons et journalistes n’en reviennent pas.
Un peu plus tôt, le procureur de la République révélait l’interpellation de suspects dans l’affaire, lors d’une conférence de presse lundi après-midi.
Selon des informations non confirmées par la Police, ces vigiles seraient proches du ministre et chargé de la Propagande du Parti démocratique sénégalais (Pds), Farba Senghor. Celui-ci avait quelques jours avant le forfait menacé par voie de communiqué public de s’en prendre physiquement à des organes et journalistes de la presse privée.
De sources policières, les mises en cause devraient être déférés au parquet, inculpés et placés sous mandat de dépôt.
la direction générale du groupe Futurs Médias a sorti un communiqué pour dégager ses responsabilités face à leurs agissements. (Lire le communiqué de la direction générale de Futurs médias en intégralité).
Dans l’après-midi d’hier, dans le cadre de l’enquête sur les agressions contre l’As et 24H Chrono, la Sûreté urbaine a cueilli devant les locaux du groupe Futurs Médias les préposés à la sécurité.
Pour rappel, face à l’urgence et les menaces qui pesaient sur son personnel, le groupe Futurs Médias avait fait appel à des vigiles pour renforcer sa sécurité. Il se trouve malheureusement que ceux-là même qui devaient assurer la sécurité du groupe Futurs Médias seraient impliqués dans les agressions contre L’As et 24H Chrono.
Naturellement, le groupe Futurs Médias décline toute responsabilité parce qu’il ignorait les moindres agissements des individus qu’il avait recrutés pour veiller sur ses biens et sur ses employés.
Le groupe Futurs Médias s’est rendu compte, d’ailleurs, qu’il était lui-même dans l’insécurité. La direction du groupe Futurs Médias compte tirer toutes les conséquences de cette affaire".
En réalité, les premiers suspects des faits incriminés dans l’enquête sont les individus mêmes recrutés par Futurs Médias au lendemain du saccage des sièges de L’As et de « 24 heures Chrono ». Rfm serait ainsi infiltrée. La direction de Futurs médias, qui compte dans ses locaux le journal L’Observateur et la Radio futurs médias (Rfm), a effectivement pu vérifier l’information. Patrons et journalistes n’en reviennent pas.
Un peu plus tôt, le procureur de la République révélait l’interpellation de suspects dans l’affaire, lors d’une conférence de presse lundi après-midi.
Selon des informations non confirmées par la Police, ces vigiles seraient proches du ministre et chargé de la Propagande du Parti démocratique sénégalais (Pds), Farba Senghor. Celui-ci avait quelques jours avant le forfait menacé par voie de communiqué public de s’en prendre physiquement à des organes et journalistes de la presse privée.
De sources policières, les mises en cause devraient être déférés au parquet, inculpés et placés sous mandat de dépôt.
la direction générale du groupe Futurs Médias a sorti un communiqué pour dégager ses responsabilités face à leurs agissements. (Lire le communiqué de la direction générale de Futurs médias en intégralité).
Dans l’après-midi d’hier, dans le cadre de l’enquête sur les agressions contre l’As et 24H Chrono, la Sûreté urbaine a cueilli devant les locaux du groupe Futurs Médias les préposés à la sécurité.
Pour rappel, face à l’urgence et les menaces qui pesaient sur son personnel, le groupe Futurs Médias avait fait appel à des vigiles pour renforcer sa sécurité. Il se trouve malheureusement que ceux-là même qui devaient assurer la sécurité du groupe Futurs Médias seraient impliqués dans les agressions contre L’As et 24H Chrono.
Naturellement, le groupe Futurs Médias décline toute responsabilité parce qu’il ignorait les moindres agissements des individus qu’il avait recrutés pour veiller sur ses biens et sur ses employés.
Le groupe Futurs Médias s’est rendu compte, d’ailleurs, qu’il était lui-même dans l’insécurité. La direction du groupe Futurs Médias compte tirer toutes les conséquences de cette affaire".