Interrogé sur ce sujet, Abdou, un piéton qui passait par là, déplore le manque de suivi des opérations. « La mairie de Keur Massar avait bien démarré mais malheureusement, les marchands ambulants commencent à revenir. Nous avons même des problèmes pour circuler normalement. Nous déplorons cela, les opérations doivent avoir un suivi », a-t-il souligné sur les ondes Rfm.
A quelques pas de lui se trouve Mor Talla, qui estime que ce sont les autorités qui ont reculé face à la révolte des marchands ambulants. « C’est parce que le discours du Premier ministre dimanche passé les a encouragés, lui qui disait qu’il n’était pas au courant. Mais de par ces souplesses-là, on laisse aller et on ne voit plus les gendarmes qui montaient en garde pour les déguerpir, donc ils vont revenir », regrette-t-il.
Pour régler le problème de l’occupation anarchique dans la ville de Keur Massar et dans toutes les autres localités, les populations estiment que les nouvelles autorités devraient d’abord mettre en place une politique pouvant créer de d’emplois au profit de la jeunesse.
« Souvent sans formation, la politique serait aussi de les former, avoir au moins un endroit où les mettre », précisent-elles au micro de nos confrères de Rfm Radio.
C’est dans ce sens que l’Etat est invité à appuyer les collectivités territoriales, dans les activités de désencombrement. Ainsi, selon les intervenants, il faut aussi des activités pour faciliter l’insertion et l’emploi aux jeunes du Sénégal. Les habitants de Keur Massar estiment que c’est l’une des meilleures stratégies de lutte contre l’occupation anarchique des voies publiques.
A quelques pas de lui se trouve Mor Talla, qui estime que ce sont les autorités qui ont reculé face à la révolte des marchands ambulants. « C’est parce que le discours du Premier ministre dimanche passé les a encouragés, lui qui disait qu’il n’était pas au courant. Mais de par ces souplesses-là, on laisse aller et on ne voit plus les gendarmes qui montaient en garde pour les déguerpir, donc ils vont revenir », regrette-t-il.
Pour régler le problème de l’occupation anarchique dans la ville de Keur Massar et dans toutes les autres localités, les populations estiment que les nouvelles autorités devraient d’abord mettre en place une politique pouvant créer de d’emplois au profit de la jeunesse.
« Souvent sans formation, la politique serait aussi de les former, avoir au moins un endroit où les mettre », précisent-elles au micro de nos confrères de Rfm Radio.
C’est dans ce sens que l’Etat est invité à appuyer les collectivités territoriales, dans les activités de désencombrement. Ainsi, selon les intervenants, il faut aussi des activités pour faciliter l’insertion et l’emploi aux jeunes du Sénégal. Les habitants de Keur Massar estiment que c’est l’une des meilleures stratégies de lutte contre l’occupation anarchique des voies publiques.