La sortie du rappeur Niagass dans laquelle il débitait des insanités à l’endroit de concitoyens et de surcroît autorités de ce pays, dépasse l’entendement humain et ne saurait me laisser indifférent. Au nom de quelle liberté d’expression a-t-il pu en arriver là ?
J’interpelle les autorités au plus haut sommet, le président de la République, le garde des Sceaux, les organisations de défense des droits de l’Homme tout comme les Sénégalais épris de paix et de justice afin que pareille énormité ne se reproduise guère dans notre pays.
Mon jeune garçon m’a interpellé pour me signifier sa répugnance par rapport au Hip Hop sénégalais dont il a juré de ne plus écouter, suite à cet acte d’une rare insolence du rappeur Niagass qui se croit être un empire dans un empire, en proférant des telles insanités. Pourtant, il était friand de ce type de musique dans laquelle excellent de grands noms ayant atteint une incroyable notoriété internationale comme Didier Awadi, Dug E Tee, Fada Freddy ou encore Ndongo D, Keur Gui et autres, et qui ne sont pas tombés dans ce genre de comportement ! Jamais dans l’histoire de notre jeune démocratie, un sénégalais, de quelque bord qu’il soit, n’a osé de cette manière franchir le Rubicon et se payer le luxe de proférer de telles grossièretés à l’endroit d’autorités publiques ou même de simples citoyens.
Il n’y a pas mille façons d’appeler un chat, Niagass est allé trop loin, il a tout simplement fait montre d’une impolitesse criarde qui ternit l’image des artistes que nous sommes et celle de notre pays.
Je voudrai interpeller le gardien de la constitution de notre pays, son Garde des Sceaux et l’ensemble des organisations de défense des droits de l’Homme pour que toutes les conséquences de droit sur cette affaire soient tirées. Nous avons des enfants qui adorent le Rap, nous devrons les protéger et éviter qu’ils ne s’identifient à de telles ordures qui n’ont leur place que dans un bagne, encore que leur produit ne fait point bouger les férus de musique Hip Hop.
Plus jamais ça !
Ousmane DIA
Gestionnaire et médiateur culturel
Artiste plasticien et enseignant d'arts-visuels à Genève
J’interpelle les autorités au plus haut sommet, le président de la République, le garde des Sceaux, les organisations de défense des droits de l’Homme tout comme les Sénégalais épris de paix et de justice afin que pareille énormité ne se reproduise guère dans notre pays.
Mon jeune garçon m’a interpellé pour me signifier sa répugnance par rapport au Hip Hop sénégalais dont il a juré de ne plus écouter, suite à cet acte d’une rare insolence du rappeur Niagass qui se croit être un empire dans un empire, en proférant des telles insanités. Pourtant, il était friand de ce type de musique dans laquelle excellent de grands noms ayant atteint une incroyable notoriété internationale comme Didier Awadi, Dug E Tee, Fada Freddy ou encore Ndongo D, Keur Gui et autres, et qui ne sont pas tombés dans ce genre de comportement ! Jamais dans l’histoire de notre jeune démocratie, un sénégalais, de quelque bord qu’il soit, n’a osé de cette manière franchir le Rubicon et se payer le luxe de proférer de telles grossièretés à l’endroit d’autorités publiques ou même de simples citoyens.
Il n’y a pas mille façons d’appeler un chat, Niagass est allé trop loin, il a tout simplement fait montre d’une impolitesse criarde qui ternit l’image des artistes que nous sommes et celle de notre pays.
Je voudrai interpeller le gardien de la constitution de notre pays, son Garde des Sceaux et l’ensemble des organisations de défense des droits de l’Homme pour que toutes les conséquences de droit sur cette affaire soient tirées. Nous avons des enfants qui adorent le Rap, nous devrons les protéger et éviter qu’ils ne s’identifient à de telles ordures qui n’ont leur place que dans un bagne, encore que leur produit ne fait point bouger les férus de musique Hip Hop.
Plus jamais ça !
Ousmane DIA
Gestionnaire et médiateur culturel
Artiste plasticien et enseignant d'arts-visuels à Genève