Il a affirmé que des groupuscules salafistes, installés dans la région du Haut Atlas, près de Marrakech sont à l’origine de la destruction des gravures rupestres du site archéologique de la plaine de Yakour datant de plus de 8 000 ans.
Suite à ces soit disant destruction, il aurait demandé aux responsables marocains d'intervenir pour protéger le reste des monuments historiques, notamment au Ministre de la Culture.
Une information aussi tôt relayée par le quotidien As-sabah et certaines agences de presse étrangère en mal de sensationnel et surtout prêts à dénigrer le Maroc, à porter atteinte à son image de marque et à tenter de faire fuir les touristes et les investisseurs qui se bousculent aujourd’hui aux portes du Royaume.
Toutefois, des investigations ont été menées par les services spécialisés du Ministère de la Culture, en collaboration avec les autorités locales et régionales et ont confirmé le caractère fallacieux et tendancieux de ces allégations.
Aussi, face à ce déni d’information, le Ministre marocain de la Culture, a opposé, le 18 octobre 2012, un démenti ferme à ces fausses allégations.
Il en ressort donc, que monsieur Aboubakr Anghir, qui a ameuté la presse nationale et étrangère, a totalement oublié que le Maroc, dans toutes ses composantes unies, ne permettra jamais que des bandes d’hors la loi puisse attenter au patrimoine national.
Ce qui s’est passé en Afghanistan, au Mali, en Tunisie ou ailleurs ne peut avoir lieu au Maroc. Le peuple marocain y fera front. Les salafistes n’ont pas droit, et n’auront jamais, droit de cité au Maroc. Que ce soit bien clair.
Quant ce monsieur Aboubakr Anghir, il doit être en quête d’une notoriété qu’il tente d’obtenir en mettant en face à face conflictuel les composantes de la société marocaine, à savoir berbère, arabe et juive et en jouant une partition qui lui a été dictée par les ennemis du Maroc.
Ce qui explique le titre de cet article, à savoir beaucoup de bruit pour rien.
Farid Mnebhi.
Suite à ces soit disant destruction, il aurait demandé aux responsables marocains d'intervenir pour protéger le reste des monuments historiques, notamment au Ministre de la Culture.
Une information aussi tôt relayée par le quotidien As-sabah et certaines agences de presse étrangère en mal de sensationnel et surtout prêts à dénigrer le Maroc, à porter atteinte à son image de marque et à tenter de faire fuir les touristes et les investisseurs qui se bousculent aujourd’hui aux portes du Royaume.
Toutefois, des investigations ont été menées par les services spécialisés du Ministère de la Culture, en collaboration avec les autorités locales et régionales et ont confirmé le caractère fallacieux et tendancieux de ces allégations.
Aussi, face à ce déni d’information, le Ministre marocain de la Culture, a opposé, le 18 octobre 2012, un démenti ferme à ces fausses allégations.
Il en ressort donc, que monsieur Aboubakr Anghir, qui a ameuté la presse nationale et étrangère, a totalement oublié que le Maroc, dans toutes ses composantes unies, ne permettra jamais que des bandes d’hors la loi puisse attenter au patrimoine national.
Ce qui s’est passé en Afghanistan, au Mali, en Tunisie ou ailleurs ne peut avoir lieu au Maroc. Le peuple marocain y fera front. Les salafistes n’ont pas droit, et n’auront jamais, droit de cité au Maroc. Que ce soit bien clair.
Quant ce monsieur Aboubakr Anghir, il doit être en quête d’une notoriété qu’il tente d’obtenir en mettant en face à face conflictuel les composantes de la société marocaine, à savoir berbère, arabe et juive et en jouant une partition qui lui a été dictée par les ennemis du Maroc.
Ce qui explique le titre de cet article, à savoir beaucoup de bruit pour rien.
Farid Mnebhi.