Jugé hier, le surveillant de prison M. Diouf, en service à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Ziguinchor, sera fixé sur son sort, le 20 février prochain, date du délibéré.
"Libération" rapporte qu’il risque deux ans de prison ferme. Une peine requise par le Procureur.
D'aprés "SudQuotidie.sn", le prévenu a été traîné en justice par un détenu pour actes de torture et de traitements inhumains. Le rapport du directeur de la MAC, a enfoncé l’agent incriminé.
Il ressort du dossier que le surveillant aurait extrait E. Mané de sa cellule, le 29 décembre dernier, sous prétexte que le détenu lui a jeté un regard méprisant, le sommant de se mettre à genoux de 18h 30 à 21h.
Le surveillant est accusé de l’avoir menotté puis introduit une barre de fer entre ses bras, pour l’empêcher de bouger, avant de lui verser de l’eau froide. Le détenu a ensuite été tabassé avec un tuyau.
L’affaire avait fait réagir la société civile, réclamant que lumière soit faite.
"Libération" rapporte qu’il risque deux ans de prison ferme. Une peine requise par le Procureur.
D'aprés "SudQuotidie.sn", le prévenu a été traîné en justice par un détenu pour actes de torture et de traitements inhumains. Le rapport du directeur de la MAC, a enfoncé l’agent incriminé.
Il ressort du dossier que le surveillant aurait extrait E. Mané de sa cellule, le 29 décembre dernier, sous prétexte que le détenu lui a jeté un regard méprisant, le sommant de se mettre à genoux de 18h 30 à 21h.
Le surveillant est accusé de l’avoir menotté puis introduit une barre de fer entre ses bras, pour l’empêcher de bouger, avant de lui verser de l’eau froide. Le détenu a ensuite été tabassé avec un tuyau.
L’affaire avait fait réagir la société civile, réclamant que lumière soit faite.
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