Le Président de la fédération internationale d’athlétisme amateur (IAF) estime que les dernières élections locales l’ont déjà démontré.
Pour preuves, explique Lamine Diack, «entre les élections locales, il y a eu les assises et une mobilisation des populations». Car «on disait que le fils devait être le maire de Dakar». C’est la raison pour laquelle, croit-il «vous avez vu ce qui s’est passé à Dakar et dans d’autres localités du pays».
Le natif de Reubeuss souligne que les assises ont permis cette introspection qui a permis un rééquilibrage des pouvoirs. «Les Locales ont permis de rééquilibrer les pouvoirs», note-t-il. Une aubaine pour camarades de Amath Dansokho. «Grâce aux élections locales, l’opposition a retrouvé le pouvoir local. Autrement, elle serait dans la rue», dit-il en réitérant mordicus que «l’opposition a tout pris grâce au travail des Assises, au travail très sérieux à la base».
Charles Thialice SENGHOR
Pressafrik.com
Dévolution du pouvoir au Sénégal : Lamine Diack doute de la faisabilité
Le débat de dévolution du pouvoir tant soulevé au Sénégal par les détracteurs du Président de la République, Me Abdoulaye Wade. Selon l’ancien maire de Dakar (78-80), Lamine Diack «il n’y a aucun cas de figure pour que cela se produise» même si le feu Président Léopold Sédar Senghor l’a réussi en préparant le prédécesseur de Me Abdoulaye Wade. « Houphouët Boigny l’a fait et cela a échoué, Léopold Sédar Senghor l’a réussi avec Abdou Diouf (…)», a indiqué Lamine Diack qui était ce dimanche l’invité de l’émission Grand Jury de la Rfm.
Le Président de la fédération internationale d’athlétisme amateur (IAF) estime que les dernières élections locales l’ont déjà démontré.
Pour preuves, explique Lamine Diack, «entre les élections locales, il y a eu les assises et une mobilisation des populations». Car «on disait que le fils devait être le maire de Dakar». C’est la raison pour laquelle, croit-il «vous avez vu ce qui s’est passé à Dakar et dans d’autres localités du pays».
Le natif de Reubeuss souligne que les assises ont permis cette introspection qui a permis un rééquilibrage des pouvoirs. «Les Locales ont permis de rééquilibrer les pouvoirs», note-t-il. Une aubaine pour camarades de Amath Dansokho. «Grâce aux élections locales, l’opposition a retrouvé le pouvoir local. Autrement, elle serait dans la rue», dit-il en réitérant mordicus que «l’opposition a tout pris grâce au travail des Assises, au travail très sérieux à la base».
Charles Thialice SENGHOR
Pour preuves, explique Lamine Diack, «entre les élections locales, il y a eu les assises et une mobilisation des populations». Car «on disait que le fils devait être le maire de Dakar». C’est la raison pour laquelle, croit-il «vous avez vu ce qui s’est passé à Dakar et dans d’autres localités du pays».
Le natif de Reubeuss souligne que les assises ont permis cette introspection qui a permis un rééquilibrage des pouvoirs. «Les Locales ont permis de rééquilibrer les pouvoirs», note-t-il. Une aubaine pour camarades de Amath Dansokho. «Grâce aux élections locales, l’opposition a retrouvé le pouvoir local. Autrement, elle serait dans la rue», dit-il en réitérant mordicus que «l’opposition a tout pris grâce au travail des Assises, au travail très sérieux à la base».
Charles Thialice SENGHOR
Pressafrik.com
Dévolution du pouvoir au Sénégal : Lamine Diack doute de la faisabilité
Le débat de dévolution du pouvoir tant soulevé au Sénégal par les détracteurs du Président de la République, Me Abdoulaye Wade. Selon l’ancien maire de Dakar (78-80), Lamine Diack «il n’y a aucun cas de figure pour que cela se produise» même si le feu Président Léopold Sédar Senghor l’a réussi en préparant le prédécesseur de Me Abdoulaye Wade. « Houphouët Boigny l’a fait et cela a échoué, Léopold Sédar Senghor l’a réussi avec Abdou Diouf (…)», a indiqué Lamine Diack qui était ce dimanche l’invité de l’émission Grand Jury de la Rfm.
Le Président de la fédération internationale d’athlétisme amateur (IAF) estime que les dernières élections locales l’ont déjà démontré.
Pour preuves, explique Lamine Diack, «entre les élections locales, il y a eu les assises et une mobilisation des populations». Car «on disait que le fils devait être le maire de Dakar». C’est la raison pour laquelle, croit-il «vous avez vu ce qui s’est passé à Dakar et dans d’autres localités du pays».
Le natif de Reubeuss souligne que les assises ont permis cette introspection qui a permis un rééquilibrage des pouvoirs. «Les Locales ont permis de rééquilibrer les pouvoirs», note-t-il. Une aubaine pour camarades de Amath Dansokho. «Grâce aux élections locales, l’opposition a retrouvé le pouvoir local. Autrement, elle serait dans la rue», dit-il en réitérant mordicus que «l’opposition a tout pris grâce au travail des Assises, au travail très sérieux à la base».
Charles Thialice SENGHOR
Lamine Diack s’oppose à un retour d’El Hadj Diouf dans la Tanière
Le Président de la Fédération internationale d’athlétisme amateur (IAF), Lamine Diack, s’est, catégoriquement, opposé à un retour en équipe nationale de football de l’international sénégalais , El Hadj Oussyenou Diouf (actuellement pensionnaire de Blackburn).
Invité à l’émission Grand Jury de la Rfm ce dimanche, Lamine Diack a déclaré : «Si le Sénégal a encore besoin d’El Hadj Diouf (en équipe nationale de football), c’est qu’il n’a pas de football».
Par ailleurs, il s’est insurgé contre le non paiement de salaires de l’encadrement de l’équipe nationale de football. «Quand on prend des étrangers qui coûtent dix à quinze fois plus cher, on arrive à les payer mais quand il s’agit des Sénégalais on leur dit de se débrouiller», a-t-il tempêté, alors que cela «devrait aller de soi». Pour lui, «on devrait mettre de l’argent à leur disposition ou aller ailleurs pour payer régulièrement les entraineurs».
Un constat amer alors que l’encadrement a de la volonté du fait que ces entraineurs continuent de travailler depuis dix mois alors qu'ils ne sont toujours pas payés. Une attitude d’autant plus incompréhensible pour Lamine Diack que le Sénégal possède un bon entraineur. «Nous avons un bon entraîneur qui a du caractère et qui connaît bien ses joueurs». C’est la raison pour laquelle il demande de leur offrir des conditions idéales. «Créons-lui les conditions pour qu’il travaille et la première chose c’est de lui payer», a-t-il suggéré.
Invité à l’émission Grand Jury de la Rfm ce dimanche, Lamine Diack a déclaré : «Si le Sénégal a encore besoin d’El Hadj Diouf (en équipe nationale de football), c’est qu’il n’a pas de football».
Par ailleurs, il s’est insurgé contre le non paiement de salaires de l’encadrement de l’équipe nationale de football. «Quand on prend des étrangers qui coûtent dix à quinze fois plus cher, on arrive à les payer mais quand il s’agit des Sénégalais on leur dit de se débrouiller», a-t-il tempêté, alors que cela «devrait aller de soi». Pour lui, «on devrait mettre de l’argent à leur disposition ou aller ailleurs pour payer régulièrement les entraineurs».
Un constat amer alors que l’encadrement a de la volonté du fait que ces entraineurs continuent de travailler depuis dix mois alors qu'ils ne sont toujours pas payés. Une attitude d’autant plus incompréhensible pour Lamine Diack que le Sénégal possède un bon entraineur. «Nous avons un bon entraîneur qui a du caractère et qui connaît bien ses joueurs». C’est la raison pour laquelle il demande de leur offrir des conditions idéales. «Créons-lui les conditions pour qu’il travaille et la première chose c’est de lui payer», a-t-il suggéré.