Dévolution monarchique du pouvoir: Pour Idy, Me Wade n’a pas renoncé à son projet

Idrissa SECK, le visionnaire au service de son pays
Sa brouille avec le Président Abdoulaye Wade est née de la volonté de ce dernier de mettre au devant son fils biologique, Karim Wade, au détriment de toutes les personnes qui ont donné de leur vie pour un idéal : le SOPI. Les chantiers de Thies et toutes les calomnies de ce pathétique épisode de l’histoire du Sénégal n’étaient qu’un mobile.

En 2004, Idrissa SECK le visionnaire attiré l’attention des uns et des autres, sur la nécessité de défendre la République qui « n’a ni ascendant ni descendant ». Le visionnaire nous prévenait sur la volonté du père, Abdoulaye Wade, de mettre au sommet le fils, Karim Wade. Ce dernier se mettra par suite « en route vers le sommet ». Des personnes ont douté de la pertinence des propos de Idrissa. Aujourd’hui tout le monde est convaincu de la volonté de plus en plus manifeste de Abdoulaye Wade de mettre en place des mécanismes qui permettront à son fils de lui succéder.

Seul devant tous, Idrissa, à bases d’arguments fournis par tous les constitutionnalistes de ce pays et d’ailleurs, avait déclaré devant le concerné, en plein comité directeur du PDS, que sa candidature est irrecevable. Aujourd’hui la candidature de Wade alimente les débats.

Ces deux exemples parmi tant d’autres montrent que le maire de Thies est un homme politique en avance sur son monde. Il a une grande capacité d’anticipation sur les événements. Son amour pour son pays qu’il considère comme « un bien commun » l’a amené contre l’avis de ses plus proches collaborateurs et une grande partie du pays à vouloir combattre le mal de l’intérieur.

Aujourd’hui s’il déclare que tant qu’il lui restera « une souffle de vie » et « un atome de pouvoir » Abdoulaye Wade n’abandonnera pas son projet de dévolution monarchique, il nous doit de le croire.

Beaucoup lui prête une volonté non prouvée de vouloir être le quatrième Président du SENEGAL par la ruse. Le concerné sans équivoque leur déclare que si c’est Wade qui doit lui donner le pouvoir il n’en veut pas. C’est le peuple qui choisit ses dirigeants et non de simples mandataires du peuple. Il ira encore plus loin en déclarant que « Wade est un danger pour le Sénégal » est qu’il doit partir. Sa récente sortie du 14 Juillet « est une hointé ». Aucun dialogue n’est a envisagé avec lui puisqu’il a discuté avec le Président « sous toutes les formes possibles ». Il s’est rendu compte de sa cécité et s’est résolument engagé à le faire partir.

Une partie de l’opposition regroupée au sein de Benno Siggil Senegal qui déclarait étudier la proposition de dialogue du groupe des six vient de rejeter cette proposition à la suite du rejet du clairvoyant Idrissa SECK. Cette partie de l’opposition reprend dans son combat, l’inconstitutionnalité de la candidature de Wade et la nécessité de s’engager pour son départ. Idrissa a, sans équivoque, inspiré cette opposition.

Aujourd’hui tout un chacun remarque la constance dans le combat d’Idy pour un Senegal de « stabilité, de prospérité et de tranquillité ».
Voilà pourquoi nous avons fait de ce visionnaire, notre choix pour 2012.
Sankar
sankraa@yahoo.fr

vous etes vraiment des imbéciles pour supporter idy qui est de la famille wade , assoifé de vengeance .il faut etre un voleur pour aimer cet homme á la mine patibulaire.