Dès avant 06h00, alors que la victoire de M. Obama n'était pas encore officielle mais commençait à se dessiner, le chef du gouvernement avait félicité M. Obama pour sa réélection, soulignant, dans un communiqué, qu'il s'agissait d'un "signal encourageant pour l'avenir des Etats-Unis" et du "monde".
M. Gutman, un avocat d'affaires qui avait activement soutenu M. Obama lors de la campagne électorale de 2008 qui l'a mené à la Maison Blanche, y voit une conséquence de la "reconstruction" des relations d'"amitié" entre Bruxelles et Washington menée par M. Obama après son élection - et la période de tensions sous la présidence du républicain George W. Bush. Une crise diplomatique sans précédent récent avait affecté ces relations lors de l'intervention américano-britannique en Irak en 2003, menée sans aval de l'ONU.
Il a également dressé plus généralement un bilan positif de l'action du président démocrate durant son premier mandat, lors de l'"Election Night" organisée par l'ambassade des Etats-Unis à l'Hôtel de ville de Bruxelles, en présence de plusieurs responsables politiques belges, dont les ministres des Affaires étrangères et de la Défense, Didier Reynders et Pieter De Crem, ainsi que du secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen.
M. Gutman, un avocat d'affaires qui avait activement soutenu M. Obama lors de la campagne électorale de 2008 qui l'a mené à la Maison Blanche, y voit une conséquence de la "reconstruction" des relations d'"amitié" entre Bruxelles et Washington menée par M. Obama après son élection - et la période de tensions sous la présidence du républicain George W. Bush. Une crise diplomatique sans précédent récent avait affecté ces relations lors de l'intervention américano-britannique en Irak en 2003, menée sans aval de l'ONU.
Il a également dressé plus généralement un bilan positif de l'action du président démocrate durant son premier mandat, lors de l'"Election Night" organisée par l'ambassade des Etats-Unis à l'Hôtel de ville de Bruxelles, en présence de plusieurs responsables politiques belges, dont les ministres des Affaires étrangères et de la Défense, Didier Reynders et Pieter De Crem, ainsi que du secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen.