L’activité physique joue un rôle important dans la gestion du diabète. Mais chacun doit trouver celle qui lui convient. Pour bouger en toute sécurité, régularité, contrôle de glycémie et modération sont les maîtres mots !
Une activité physique modérée, la plus régulière possible est plus bénéfique pour l’organisme. Mieux vaut marcher 30 à 45 minutes par jour, plutôt que de faire une randonnée de trois heures chaque dimanche. Les activités les plus conseillées en cas de diabète sont les activités dites douces, ou d’endurance :
-Natation
-Marche
-Vélo : le vélo d’appartement facilite la régularité
-Jogging
Gare à l’hypoglycémie…
La baisse de la glycémie pendant et après l’effort est fréquente: durant l’activité physique, l’organisme utilise davantage de glucose et sa sensibilité à l’action de l’insuline augmente. L’activité physique régulière permet donc de lutter contre la résistance à l’insuline, caractéristique du diabète de type 2.
Mais prévenir les hypoglycémies reste important, en diminuant les doses d’insuline qui couvrent les moments d’activité physique.
Les hypoglycémies peuvent aussi être différées, le mieux est alors de vérifier votre glycémie après l’activité et de diminuer, si nécessaire, les doses d’insuline qui suivent l’effort.
Des hypoglycémies peuvent également survenir lors de traitements par antidiabétiques oraux. C’est pourquoi il est fondamental, dans tous les cas, de garder avec soi de quoi se resucrer durant l’effort.
… et à l’hyperglycémie !
Les moments d’activité intense peuvent par contre faire grimper la glycémie.
Les hormones de stress, comme l’adrénaline, poussent l’organisme à produire plus de glucose qu’il n’en dépense, ce qui peut provoquer, paradoxalement, une hyperglycémie.
Les médecins conseillent d’ailleurs de ne pas commencer une activité physique intense, comme un match de foot, un sprint, etc. lorsque vous êtes en hyperglycémie.
Le risque ? Une décompensation sous forme d’acidocétose. C’est pourquoi mesurer sa glycémie avant et pendant une activité intense est plus que recommandé.
Préparation et écoute de soi
Malgré ces grands principes, chacun peut réagir différemment à une même activité physique. Il y a beaucoup de paramètres individuels à évaluer et à identifier avec votre médecin :
- La dose d’insuline,
- La durée de l’activité,
- La collation la plus adaptée à votre situation.
Quelques règles d’or pour vous aider :
-Contrôler sa glycémie : avant, pendant et après l’activité physique, et être capable d’adapter sa dose d’insuline
-Toujours avoir du sucre avec soi
-S’équiper de chaussures adaptées, et inspecter ses pieds avant et après chaque activité
-Connaître son niveau de forme physique : pour la même activité, une personne non entraînée consommera plus de glucose qu’une personne sportive.
dinnosante.fr
Une activité physique modérée, la plus régulière possible est plus bénéfique pour l’organisme. Mieux vaut marcher 30 à 45 minutes par jour, plutôt que de faire une randonnée de trois heures chaque dimanche. Les activités les plus conseillées en cas de diabète sont les activités dites douces, ou d’endurance :
-Natation
-Marche
-Vélo : le vélo d’appartement facilite la régularité
-Jogging
Gare à l’hypoglycémie…
La baisse de la glycémie pendant et après l’effort est fréquente: durant l’activité physique, l’organisme utilise davantage de glucose et sa sensibilité à l’action de l’insuline augmente. L’activité physique régulière permet donc de lutter contre la résistance à l’insuline, caractéristique du diabète de type 2.
Mais prévenir les hypoglycémies reste important, en diminuant les doses d’insuline qui couvrent les moments d’activité physique.
Les hypoglycémies peuvent aussi être différées, le mieux est alors de vérifier votre glycémie après l’activité et de diminuer, si nécessaire, les doses d’insuline qui suivent l’effort.
Des hypoglycémies peuvent également survenir lors de traitements par antidiabétiques oraux. C’est pourquoi il est fondamental, dans tous les cas, de garder avec soi de quoi se resucrer durant l’effort.
… et à l’hyperglycémie !
Les moments d’activité intense peuvent par contre faire grimper la glycémie.
Les hormones de stress, comme l’adrénaline, poussent l’organisme à produire plus de glucose qu’il n’en dépense, ce qui peut provoquer, paradoxalement, une hyperglycémie.
Les médecins conseillent d’ailleurs de ne pas commencer une activité physique intense, comme un match de foot, un sprint, etc. lorsque vous êtes en hyperglycémie.
Le risque ? Une décompensation sous forme d’acidocétose. C’est pourquoi mesurer sa glycémie avant et pendant une activité intense est plus que recommandé.
Préparation et écoute de soi
Malgré ces grands principes, chacun peut réagir différemment à une même activité physique. Il y a beaucoup de paramètres individuels à évaluer et à identifier avec votre médecin :
- La dose d’insuline,
- La durée de l’activité,
- La collation la plus adaptée à votre situation.
Quelques règles d’or pour vous aider :
-Contrôler sa glycémie : avant, pendant et après l’activité physique, et être capable d’adapter sa dose d’insuline
-Toujours avoir du sucre avec soi
-S’équiper de chaussures adaptées, et inspecter ses pieds avant et après chaque activité
-Connaître son niveau de forme physique : pour la même activité, une personne non entraînée consommera plus de glucose qu’une personne sportive.
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