« Nous voulons participer au dialogue, mais qui va modérer ce dialogue ? », s’est, en effet, interrogé Issa Sall. Qui poursuit, « l’administration ne doit pas modérer le dialogue, mais plutôt une personnalité neutre en qui tout le monde a confiance, entourée d’un staff, pour des discussions sans exclusive, pas seulement limitées à la politique ».
Le leader du PUR a souligné que « nous ne sommes pas là pour prendre des termes de référence, mais dire qu’il faut un superviseur neutre de ce dialogue ».
Le leader du PUR a souligné que « nous ne sommes pas là pour prendre des termes de référence, mais dire qu’il faut un superviseur neutre de ce dialogue ».