Le président de la République, Macky Sall, présidant la cérémonie d’ouverture, a indiqué qu’il lui serait plus facile de donner une date. Mais, il a choisi préalablement, des concertations, en priorisant les intérêts du pays. Il souligne qu’il faut voir les conditions d’une élection. « Ceux refusent de participer au dialogue et ceux qui ne veulent pas, c’est leur affaire. Après le dialogue, la décision sera prise. Et, ce n’est pas au président de décider. Quand on finit le dialogue, une synthèse sera faite. Je vais saisir le Conseil constitutionnel. Le pays et vous, êtes au-dessus la Constitution », a soutenu le Président Sall.
Ainsi, le pays est lourdement menacé par une insécurité. Conscient des enjeux, il recommande le dialogue pour aller vers de meilleurs lendemains. D’après le Président Sall, la vie de la Nation, transcende la vie politique. Il réaffirme qu’il n’a aucun agenda personnel. Et, le 02 avril prochain, marquera la fin de son mandat. « Nous sommes à la croisée des chemins. Mon souhait est d’aller vers une élection inclusive », dit-il.
Le président de la République annonce qu’il va saisir l’Assemblée nationale, pour une loi d’amnistie du 21 juin au 23 mars 2023. Cette loi vise la pacification politique et le maintien du rayonnement national du pays.
Dans le cadre de cette rencontre, le président de la République n’a enregistré que la présence de deux candidats sur les 19 candidats. Il s’agit de Boun Dionne et Amadou Bâ. Mais, certains des candidats recalés et ceux dits spoliés ont été présents dans cette rencontre. Le Président Sall reconnaît que toutes les démocraties ont leurs moments de fragilité. Mais, seul le dialogue permet de surmonter les difficultés et rester dans celles des grandes démocraties.
Sans revenir sur les péripéties du report, en prenant acte de la décision du Conseil constitutionnel, le Président dit avoir souhaité que ce scrutin soit tenu dans les meilleurs délais. En convoquant ce dialogue, c’est dans l’idéal que l’élection se tiendra dans les meilleures conditions. « Ma volonté est de faire tenir l’élection présidentielle dans les meilleurs délais. C’est-à-dire avant l’hivernage. Dialoguons pour un Sénégal de paix et de stabilité. Notre nation est symbolisée par une histoire. Nous devons travailler de facon pragmatique, pour y arriver. Nous sommes, parce que le Sénégal est », a conclu le Président Sall.
Ainsi, le pays est lourdement menacé par une insécurité. Conscient des enjeux, il recommande le dialogue pour aller vers de meilleurs lendemains. D’après le Président Sall, la vie de la Nation, transcende la vie politique. Il réaffirme qu’il n’a aucun agenda personnel. Et, le 02 avril prochain, marquera la fin de son mandat. « Nous sommes à la croisée des chemins. Mon souhait est d’aller vers une élection inclusive », dit-il.
Le président de la République annonce qu’il va saisir l’Assemblée nationale, pour une loi d’amnistie du 21 juin au 23 mars 2023. Cette loi vise la pacification politique et le maintien du rayonnement national du pays.
Dans le cadre de cette rencontre, le président de la République n’a enregistré que la présence de deux candidats sur les 19 candidats. Il s’agit de Boun Dionne et Amadou Bâ. Mais, certains des candidats recalés et ceux dits spoliés ont été présents dans cette rencontre. Le Président Sall reconnaît que toutes les démocraties ont leurs moments de fragilité. Mais, seul le dialogue permet de surmonter les difficultés et rester dans celles des grandes démocraties.
Sans revenir sur les péripéties du report, en prenant acte de la décision du Conseil constitutionnel, le Président dit avoir souhaité que ce scrutin soit tenu dans les meilleurs délais. En convoquant ce dialogue, c’est dans l’idéal que l’élection se tiendra dans les meilleures conditions. « Ma volonté est de faire tenir l’élection présidentielle dans les meilleurs délais. C’est-à-dire avant l’hivernage. Dialoguons pour un Sénégal de paix et de stabilité. Notre nation est symbolisée par une histoire. Nous devons travailler de facon pragmatique, pour y arriver. Nous sommes, parce que le Sénégal est », a conclu le Président Sall.