A la sortie de l’audience que leur a accordée le Cardinal Théodore Adrien Sarr, les membres du Ben du Synpics en ont fait le compte-rendu, par la voix de leur Secrétaire générale Mme Diatou Cissé Badiane. « Nous sommes des journalistes, nous ne sommes meilleurs que personne, mais également nous ne sommes pires que personne dans ce pays. Nous estimons que lorsqu’un journaliste est battu, humilié dans le cadre de son travail, il est de notre devoir de réclamer que justice lui soit rendue. Que ceux qui violent la loi soient réprimés, c’est ce que nous demandons, conformément aux droits élémentaires de l’Homme", fermement déclaré Diatou Cissé.
La Secrétaire générale du syndicat des journalistes de dire que "nous (les journalistes) ne sommes pas des rats que l’on désigne à la vindicte populaire dès qu’ils sortent de leur trou". Elle veut ainsi rappeler que "le gouvernement a ses devoirs vis-à-vis du peuple comme nous aussi journalistes avons des devoirs vis-à-vis de ce même peuple. Parce que nous avons choisi d’être des journalistes comme eux ont choisi d’être des politiciens et sont devenus à ce titre des ministres ou des députés".
Diatou Badiane estime que "chacun doit respecter l’autre afin que tout le monde puisse faire son travail correctement". Et si dans le cadre strictement professionnel, "il arrive que nous fassions des erreurs ou qu’ils ne soient pas d’accord avec nous dans le cadre de notre travail, la loi a établi des voies de recours contre les journalistes qui ne respectent pas la déontologie et nous leur concédons qu’ils puissent emprunter ces voies de recours", indique-t-elle.
Le Cardinal Théodore Adrien Sarr a également exprimé son désir ardent de ramener la paix entre la presse et le pouvoir. Le chef de l’Eglise du Sénégal a soutenu qu’il ferait tout ce qui est en son pouvoir afin d’arriver à cette fin. « Nous allons continuer à chercher les voies et moyens pour que ce problème soit réglé dans les plus brefs délais. Nous allons aussi voir comment arriver à ce que les journalistes, toute la presse puissent faire leur travail dans les meilleures conditions. Je crois que ce qui a été dit va dans ce sens et nous avons fait le tour des actions que nous devons entreprendre afin que la paix et la sérénité reviennent », a dit le Cardinal Adrien Sarr. Le choix de la violence et de l’injure est inaccepatable, dénonce-t-elle, car "au fond, ceux qui nous insultent, nous vilipendent et nous menacent ne sont par meilleurs que nous, sur tous les plans".
La Secrétaire générale du syndicat des journalistes de dire que "nous (les journalistes) ne sommes pas des rats que l’on désigne à la vindicte populaire dès qu’ils sortent de leur trou". Elle veut ainsi rappeler que "le gouvernement a ses devoirs vis-à-vis du peuple comme nous aussi journalistes avons des devoirs vis-à-vis de ce même peuple. Parce que nous avons choisi d’être des journalistes comme eux ont choisi d’être des politiciens et sont devenus à ce titre des ministres ou des députés".
Diatou Badiane estime que "chacun doit respecter l’autre afin que tout le monde puisse faire son travail correctement". Et si dans le cadre strictement professionnel, "il arrive que nous fassions des erreurs ou qu’ils ne soient pas d’accord avec nous dans le cadre de notre travail, la loi a établi des voies de recours contre les journalistes qui ne respectent pas la déontologie et nous leur concédons qu’ils puissent emprunter ces voies de recours", indique-t-elle.
Le Cardinal Théodore Adrien Sarr a également exprimé son désir ardent de ramener la paix entre la presse et le pouvoir. Le chef de l’Eglise du Sénégal a soutenu qu’il ferait tout ce qui est en son pouvoir afin d’arriver à cette fin. « Nous allons continuer à chercher les voies et moyens pour que ce problème soit réglé dans les plus brefs délais. Nous allons aussi voir comment arriver à ce que les journalistes, toute la presse puissent faire leur travail dans les meilleures conditions. Je crois que ce qui a été dit va dans ce sens et nous avons fait le tour des actions que nous devons entreprendre afin que la paix et la sérénité reviennent », a dit le Cardinal Adrien Sarr. Le choix de la violence et de l’injure est inaccepatable, dénonce-t-elle, car "au fond, ceux qui nous insultent, nous vilipendent et nous menacent ne sont par meilleurs que nous, sur tous les plans".