Il est vrai monsieur le groom wadien qu’en politique (les réalisations physiques) comme en football, seuls les buts marqués donnent la victoire ; à condition que ces mêmes buts ne soient pas comme ceux de Maradona ou d’Henry, certes victorieux mais qui apportent la honte et la désapprobation, soulèvent les railleries du prochain et révoltent les plus justes d’entre les hommes
L’histoire rattrape son homme : la médiocrité dont vous avez fait preuve durant toute votre vie de « dunguru* », a rejailli dans votre pamphlet publié dans le journal en ligne Léral. Et l’on me permettra de douter fort justement qu’il soit simplement de vous tant (le pays tout entier en est témoin) vous avez mis du temps pour le mûrir. Certains nostalgiques du Sénégal éloquent, intellectuellement bien assis (d’il y a peu de temps encore), pensent à juste raison que le Fils de Gnilane, le majestueux Senghor se retourne dans sa tombe chaque fois qu’un de vous (vous et vos semblables) prenne sa plume pour dégotter des âneries si abjectes. Interrogeons le droit à qui vous faîtes appel dans vos élucubrations, vos divagations et vos hallucinations d’esclaves au service de son maître, de serpent au ordre de son charmeur et d’apprenti sorcier longtemps sous l’aile d’un paranoïaque comme Wade ! Questionnons le droit et puis, vous verrez que chaque citoyen a la possibilité de dire ce qu’il pense de ce que l’on aura fait de son pays. Vous avez raison, je suis ni un politique, ni de la société civile organisée, encore moins un journaliste mais, cela me ferme t-il le droit de me prononcer dans le débat national ?
Monsieur Sahnoun, j’ai peur de la République virtuelle où malheureusement vous surfez sur des eaux troubles. Si je suis bien votre logique d’halluciné, seuls ceux qui ont un parti politique et leurs militants, seuls ceux qui ont été élus par le Peuple, seuls les journalistes - eux seuls - ont la droit et la légitimité de parler pour le Peuple et au nom du Peuple ? Curieuse manière de voir les choses, bon sang !
Monsieur Sahnoun Ndiaye, le Peuple Sénégalais a suffisamment bourlingué avec Wade (l’assoiffé de pouvoir et le boulimique en titres honorifiques) pour parer à touts éventualité venant de lui et de ses grooms comme vous, de vos compromis funestes et de vos trahisons répétées.
De quelles réalisations parlez-vous ? Celles de l’impunité qui permettaient à des guignols d’occuper l’espace national par des malversations inédites, celles qui tendaient la perche à des transhumants politiques qui ont vendu leurs âmes au diable pour des prébendes et des subsides, celles qui donnaient naissance et enracinaient des laudateurs professionnels qui lentement, ouvraient une aire au culte de la personnalité du leader imbu de lui-même ? Arrêtez vos élucubrations et vos délires satiriques pendant qu’il est encore temps. Je ne tomberai jamais dans votre piége : « boroom kuddu du lakk » ; mon engagement dépasse de loin vos atermoiements de bas étages par lesquels vous cherchez à faire retomber la hauteur et l’intensité du débat national. On en est plus aux querelles de personnes (je suis loin et même très loin de votre espèce, cette chienlit qui encense et squatte éhontément les hautes sphères de l’Etat pour une situation ou une station qu’elle ne mérite pas) mais à la recherche de solutions idoines aux multiples maux qui asphyxient notre Nation.
Une carrière socioprofessionnelle bien remplie dans ce Sénégal que nous chérissons tant, ne peut signifier uniquement une accession au pouvoir ou une proximité avec ce même pouvoir ; ce serait faire une insulte à l’œuvre grandiose d’un Gandhi. Une œuvre bien réussie (ma plume que j’ai mis gracieusement au service de mon Peuple, au service de l’éveil citoyen et républicain de mes compatriotes) au service de la République, de l’Etat et de la Nation ne se mesure pas à la construction de villas somptueux en bord de mer, à l’achat de bolides super luxueux, à la jouissance tape-à-l’œil des biens publics et à des comptes en banques faramineux issus de la corruption et des détournements de fonds publics ; ce serait manquer de respect aux bénis comme Mandéla, comme Rawlings.
Sachez que mes semblables et moi, sommes sortis de la belle école, celle qui est faite de bon sens, de patriotisme, d’honneur républicain. Nous sommes de ceux qui ont essayé de faire coïncider en eux la probité intellectuelle et la vie sociopolitique. Jamais il ne m’est venu l’idée de vendre mon âme à un fameux maître, à un magistral maître dans l’art d’arnaquer ses concitoyens, à un éternel théoricien des leurres sociétaux, à un intarissable jongleur avec la conscience populaire.
Se dédire, faire des compromis de bas étage, user des carnations et des nuances volatiles dans le verbe et dans le geste pour accéder au pouvoir et essayer de se maintenir à ce même pouvoir par tous les moyens, trahir cyniquement vos engagements et ensuite oser attaquer tous ceux qui vous apportent la réplique au nom du Peuple, je dis que le PDS et ses militants alimentaires poussent le bouchon trop loin.
Nous continuerons d’obstruer votre chemin, de menacer votre cynique dessein de gouverner encore une fois notre Sénégal par notre seule capacité à mettre en avant les seuls intérêts supérieurs de la Nation. Nous savons nous faire violence ; nous avons la capacité de renoncer à nos ambitions personnelles au profit de la cause nationale ; nous savons accepter volontiers le sacrifice de notre personne au service du collectif. Monsieur Sahnoun, puis –je dire la même chose de vous ?
Je vous connaissait vous au PDS comme histrions, bateleurs, fourbes et calculateurs, éternels et sournois idolâtres mais pas fumistes, pas fumiers. Vous n’arriverez jamais à vous immiscer entre le Peuple et ceux qui se battent pour lui. Nous sommes suffisamment avertis de vos magouilles et de vos aboiements intempestifs exclusivement orientés sur tous ceux qui menacent vos annuités boulimiques et insatiables. Entre le Peuple Sénégalais et moi (son fidèle défenseur, n’en déplaise à vous), il ne peut pas y avoir ni de l’animosité, ni de l’incompréhension. Si vous cherchez de la saleté, de la bave et du venin, lorgnez du côté de vos semblables dans le PDS et dans ses spoutniks. Alors, vous serez bien servis. C’est chez vous et dans votre clan, que les prébendes, les subsides, les avantages et les rangs liés à l’exercice du pouvoir, avaient poussé les uns et les autres au bord de la rupture sociale.
Oui, monsieur Sahnoun, je dois à ce beau Pays d’enseigner aux enfants d’abord : et je crois avoir fait mes preuves avec mes apprenants par ma compétence (pour laquelle vous semblez douté) et mon sens inné du devoir citoyen et républicain. La fixation éhontée sur des honneurs et sur des stations étatiques que WADE a inculquée en vous (ses zouaves, ses pitres et ses pantins) ont fini de vous embrumer les esprits. Ce qui vous pousse à assimuler chaque citoyen qui se prononce sur le débat national aux zombies de votre acabit qui avaient pris goût à se trémousser au moindre son de flûte événementiel pour plaire à la « seule constance du PDS ».
Monsieur Sahnoun Ndiaye avez-vous lu Poitrinal ? Au cas contraire je vous livre ici une de ces assertion ; et puis, j’ose espérer qu’elle vous servira de livre de chevet en ce qui concerne les enseignants que vous tenez autant en horreur : « votre premier souci est –il l’argent et votre règle le moindre effort ? Cherchez une autre profession ….
Mais avez- vous de l’amour pour des enfants et des études, votre opinion est – elle que le but essentiel de la vie n’est pas richesse et ses vanités et que le bonheur tient avant tout à des préoccupations qu’on aime, une œuvre qui prend tout entier et dont on sent la grandeur, n’hésitez pas, faîtes - vous instituteur (enseignant)… »
Je crois savoir lire et compter. Je sais aussi que mon noble métier ne s’arrête pas là ; il va au-delà. D’un mot, je sais faire une fortune, d’une situation problème infime comme un atome, je sais asseoir des compétences mesurables chez l’enfant à moi confié. N’est-ce pas là toute ma belle fortune. Apprenez à méditer, monsieur Ndiaye ; peut-être trouverez vous votre voix et votre salut !
Il est juste de dire que notre Nation coure un grave danger et pour l’en sortir, il faut corriger certaines erreurs du passé, rectifier le tir. Saviez-vous monsieur Sahnoun que votre maître avait snobé la compétence, le savoir et le mérite au profit du larbinisme et de la médiocrité lors de son obscur magistère de douze ans ? Mesurez-vous à sa juste valeur le désarroi de notre République que votre maître avait plié à sa seule volonté ? Comprenez-vous une fois pour toute que le Peuple excédé par vos errements vous abhorre et prie silencieusement pour votre retraite définitive de l’espace politico étatique ?
Amadou Fall Enseignant à GUINGUINEO
TEL : 775457544/766887279
Zemaria64@yahoo.fr/zemazia64@hotmail.fr
L’histoire rattrape son homme : la médiocrité dont vous avez fait preuve durant toute votre vie de « dunguru* », a rejailli dans votre pamphlet publié dans le journal en ligne Léral. Et l’on me permettra de douter fort justement qu’il soit simplement de vous tant (le pays tout entier en est témoin) vous avez mis du temps pour le mûrir. Certains nostalgiques du Sénégal éloquent, intellectuellement bien assis (d’il y a peu de temps encore), pensent à juste raison que le Fils de Gnilane, le majestueux Senghor se retourne dans sa tombe chaque fois qu’un de vous (vous et vos semblables) prenne sa plume pour dégotter des âneries si abjectes. Interrogeons le droit à qui vous faîtes appel dans vos élucubrations, vos divagations et vos hallucinations d’esclaves au service de son maître, de serpent au ordre de son charmeur et d’apprenti sorcier longtemps sous l’aile d’un paranoïaque comme Wade ! Questionnons le droit et puis, vous verrez que chaque citoyen a la possibilité de dire ce qu’il pense de ce que l’on aura fait de son pays. Vous avez raison, je suis ni un politique, ni de la société civile organisée, encore moins un journaliste mais, cela me ferme t-il le droit de me prononcer dans le débat national ?
Monsieur Sahnoun, j’ai peur de la République virtuelle où malheureusement vous surfez sur des eaux troubles. Si je suis bien votre logique d’halluciné, seuls ceux qui ont un parti politique et leurs militants, seuls ceux qui ont été élus par le Peuple, seuls les journalistes - eux seuls - ont la droit et la légitimité de parler pour le Peuple et au nom du Peuple ? Curieuse manière de voir les choses, bon sang !
Monsieur Sahnoun Ndiaye, le Peuple Sénégalais a suffisamment bourlingué avec Wade (l’assoiffé de pouvoir et le boulimique en titres honorifiques) pour parer à touts éventualité venant de lui et de ses grooms comme vous, de vos compromis funestes et de vos trahisons répétées.
De quelles réalisations parlez-vous ? Celles de l’impunité qui permettaient à des guignols d’occuper l’espace national par des malversations inédites, celles qui tendaient la perche à des transhumants politiques qui ont vendu leurs âmes au diable pour des prébendes et des subsides, celles qui donnaient naissance et enracinaient des laudateurs professionnels qui lentement, ouvraient une aire au culte de la personnalité du leader imbu de lui-même ? Arrêtez vos élucubrations et vos délires satiriques pendant qu’il est encore temps. Je ne tomberai jamais dans votre piége : « boroom kuddu du lakk » ; mon engagement dépasse de loin vos atermoiements de bas étages par lesquels vous cherchez à faire retomber la hauteur et l’intensité du débat national. On en est plus aux querelles de personnes (je suis loin et même très loin de votre espèce, cette chienlit qui encense et squatte éhontément les hautes sphères de l’Etat pour une situation ou une station qu’elle ne mérite pas) mais à la recherche de solutions idoines aux multiples maux qui asphyxient notre Nation.
Une carrière socioprofessionnelle bien remplie dans ce Sénégal que nous chérissons tant, ne peut signifier uniquement une accession au pouvoir ou une proximité avec ce même pouvoir ; ce serait faire une insulte à l’œuvre grandiose d’un Gandhi. Une œuvre bien réussie (ma plume que j’ai mis gracieusement au service de mon Peuple, au service de l’éveil citoyen et républicain de mes compatriotes) au service de la République, de l’Etat et de la Nation ne se mesure pas à la construction de villas somptueux en bord de mer, à l’achat de bolides super luxueux, à la jouissance tape-à-l’œil des biens publics et à des comptes en banques faramineux issus de la corruption et des détournements de fonds publics ; ce serait manquer de respect aux bénis comme Mandéla, comme Rawlings.
Sachez que mes semblables et moi, sommes sortis de la belle école, celle qui est faite de bon sens, de patriotisme, d’honneur républicain. Nous sommes de ceux qui ont essayé de faire coïncider en eux la probité intellectuelle et la vie sociopolitique. Jamais il ne m’est venu l’idée de vendre mon âme à un fameux maître, à un magistral maître dans l’art d’arnaquer ses concitoyens, à un éternel théoricien des leurres sociétaux, à un intarissable jongleur avec la conscience populaire.
Se dédire, faire des compromis de bas étage, user des carnations et des nuances volatiles dans le verbe et dans le geste pour accéder au pouvoir et essayer de se maintenir à ce même pouvoir par tous les moyens, trahir cyniquement vos engagements et ensuite oser attaquer tous ceux qui vous apportent la réplique au nom du Peuple, je dis que le PDS et ses militants alimentaires poussent le bouchon trop loin.
Nous continuerons d’obstruer votre chemin, de menacer votre cynique dessein de gouverner encore une fois notre Sénégal par notre seule capacité à mettre en avant les seuls intérêts supérieurs de la Nation. Nous savons nous faire violence ; nous avons la capacité de renoncer à nos ambitions personnelles au profit de la cause nationale ; nous savons accepter volontiers le sacrifice de notre personne au service du collectif. Monsieur Sahnoun, puis –je dire la même chose de vous ?
Je vous connaissait vous au PDS comme histrions, bateleurs, fourbes et calculateurs, éternels et sournois idolâtres mais pas fumistes, pas fumiers. Vous n’arriverez jamais à vous immiscer entre le Peuple et ceux qui se battent pour lui. Nous sommes suffisamment avertis de vos magouilles et de vos aboiements intempestifs exclusivement orientés sur tous ceux qui menacent vos annuités boulimiques et insatiables. Entre le Peuple Sénégalais et moi (son fidèle défenseur, n’en déplaise à vous), il ne peut pas y avoir ni de l’animosité, ni de l’incompréhension. Si vous cherchez de la saleté, de la bave et du venin, lorgnez du côté de vos semblables dans le PDS et dans ses spoutniks. Alors, vous serez bien servis. C’est chez vous et dans votre clan, que les prébendes, les subsides, les avantages et les rangs liés à l’exercice du pouvoir, avaient poussé les uns et les autres au bord de la rupture sociale.
Oui, monsieur Sahnoun, je dois à ce beau Pays d’enseigner aux enfants d’abord : et je crois avoir fait mes preuves avec mes apprenants par ma compétence (pour laquelle vous semblez douté) et mon sens inné du devoir citoyen et républicain. La fixation éhontée sur des honneurs et sur des stations étatiques que WADE a inculquée en vous (ses zouaves, ses pitres et ses pantins) ont fini de vous embrumer les esprits. Ce qui vous pousse à assimuler chaque citoyen qui se prononce sur le débat national aux zombies de votre acabit qui avaient pris goût à se trémousser au moindre son de flûte événementiel pour plaire à la « seule constance du PDS ».
Monsieur Sahnoun Ndiaye avez-vous lu Poitrinal ? Au cas contraire je vous livre ici une de ces assertion ; et puis, j’ose espérer qu’elle vous servira de livre de chevet en ce qui concerne les enseignants que vous tenez autant en horreur : « votre premier souci est –il l’argent et votre règle le moindre effort ? Cherchez une autre profession ….
Mais avez- vous de l’amour pour des enfants et des études, votre opinion est – elle que le but essentiel de la vie n’est pas richesse et ses vanités et que le bonheur tient avant tout à des préoccupations qu’on aime, une œuvre qui prend tout entier et dont on sent la grandeur, n’hésitez pas, faîtes - vous instituteur (enseignant)… »
Je crois savoir lire et compter. Je sais aussi que mon noble métier ne s’arrête pas là ; il va au-delà. D’un mot, je sais faire une fortune, d’une situation problème infime comme un atome, je sais asseoir des compétences mesurables chez l’enfant à moi confié. N’est-ce pas là toute ma belle fortune. Apprenez à méditer, monsieur Ndiaye ; peut-être trouverez vous votre voix et votre salut !
Il est juste de dire que notre Nation coure un grave danger et pour l’en sortir, il faut corriger certaines erreurs du passé, rectifier le tir. Saviez-vous monsieur Sahnoun que votre maître avait snobé la compétence, le savoir et le mérite au profit du larbinisme et de la médiocrité lors de son obscur magistère de douze ans ? Mesurez-vous à sa juste valeur le désarroi de notre République que votre maître avait plié à sa seule volonté ? Comprenez-vous une fois pour toute que le Peuple excédé par vos errements vous abhorre et prie silencieusement pour votre retraite définitive de l’espace politico étatique ?
Amadou Fall Enseignant à GUINGUINEO
TEL : 775457544/766887279
Zemaria64@yahoo.fr/zemazia64@hotmail.fr