Le professeur Diégane Diouf, nouveau recteur de l’université du Sine-Saloum El-Hadj-Ibrahima-Niasse (USSEIN), est auteur et coauteur d’une centaine de publications dans le domaine de la biologie végétale, en plus d’avoir exercé d’importantes administratives dans l’enseignement supérieur public au Sénégal.
Enseignant-chercheur, ses publications portent sur l’évaluation des effets des stress environnementaux (le sel, la sécheresse, etc.) sur l’écologie microbienne et les interactions entre les plantes et les micro-organismes.
Sur le plan administratif, Diégane Diouf a dirigé l’unité de formation et de recherche en sciences sociales et environnementales de l’USSEIN, jusqu’à sa nomination au poste de recteur de cette université.
Auparavant, il était chef de la division chargée de la valorisation des résultats de recherche et de l’appui aux projets, à la direction de la recherche et de l’innovation de l’université Cheikh-Anta-Diop (UCAD) de Dakar, d’octobre 2009 à février 2019. Cette division a pour mission d’assister le personnel de l’UCAD à protéger et à valoriser ses droits de propriété intellectuelle. Ces fonctions, en plus de ses activités de recherche, l’ont doté d’une solide expérience en matière de gestion des structures universitaires.
Diégane Diouf a rejoint l’USSEIN en décembre 2019, lorsque cette université à vocation agricole venait de démarrer ses enseignements. L’université qu’il est appelé à diriger enseigne les sciences agronomiques, l’élevage, la pêche, l’aquaculture et la nutrition, les sciences fondamentales et de l’ingénieur, les sciences sociales et environnementales, ainsi que les sciences juridiques et économiques.
Le nouveau recteur a été choisi à la suite d’un appel à candidatures ouvert en octobre dernier, après la démission de Ndèye Coumba Kane.
Il est chargé, en tant que recteur, d’assurer la direction de l’USSEIN, de définir sa ‘’stratégie globale’’, de mettre en œuvre les décisions du conseil d’administration et du conseil académique de cette université, dont les enseignements sont dispensés aussi bien à Fatick, qu’à Guinguinéo, Kaffrine et Kaolack.
M. Diouf remplace la professeure Ndèye Coumba Touré dans un contexte où l’USSEIN est confrontée, selon ses enseignants, à d’‘’énormes difficultés qui s’aggravent au fil des années en menaçant la stabilité sociale et le bon déroulement des enseignements’’. Ses enseignants déplorent ‘’le retard de la livraison [certaines] infrastructures’’, une partie des cours se tenant dans des locaux empruntés à des structures locales.
À Fatick, l’université du Sine-Saloum El-Hadj-Ibrahima-Niasse ne dispose que de trois salles de cours pour 1.490 étudiants. Le déficit d’infrastructures pédagogiques est également noté à Kaolack et à Kaffrine.
Les infrastructures doivent être construites et livrées de manière ‘’très urgente’’, a dit le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, El Hadji Abdourahmane Diouf, lors d’une visite à l’USSEIN.
Aps
Enseignant-chercheur, ses publications portent sur l’évaluation des effets des stress environnementaux (le sel, la sécheresse, etc.) sur l’écologie microbienne et les interactions entre les plantes et les micro-organismes.
Sur le plan administratif, Diégane Diouf a dirigé l’unité de formation et de recherche en sciences sociales et environnementales de l’USSEIN, jusqu’à sa nomination au poste de recteur de cette université.
Auparavant, il était chef de la division chargée de la valorisation des résultats de recherche et de l’appui aux projets, à la direction de la recherche et de l’innovation de l’université Cheikh-Anta-Diop (UCAD) de Dakar, d’octobre 2009 à février 2019. Cette division a pour mission d’assister le personnel de l’UCAD à protéger et à valoriser ses droits de propriété intellectuelle. Ces fonctions, en plus de ses activités de recherche, l’ont doté d’une solide expérience en matière de gestion des structures universitaires.
Diégane Diouf a rejoint l’USSEIN en décembre 2019, lorsque cette université à vocation agricole venait de démarrer ses enseignements. L’université qu’il est appelé à diriger enseigne les sciences agronomiques, l’élevage, la pêche, l’aquaculture et la nutrition, les sciences fondamentales et de l’ingénieur, les sciences sociales et environnementales, ainsi que les sciences juridiques et économiques.
Le nouveau recteur a été choisi à la suite d’un appel à candidatures ouvert en octobre dernier, après la démission de Ndèye Coumba Kane.
Il est chargé, en tant que recteur, d’assurer la direction de l’USSEIN, de définir sa ‘’stratégie globale’’, de mettre en œuvre les décisions du conseil d’administration et du conseil académique de cette université, dont les enseignements sont dispensés aussi bien à Fatick, qu’à Guinguinéo, Kaffrine et Kaolack.
M. Diouf remplace la professeure Ndèye Coumba Touré dans un contexte où l’USSEIN est confrontée, selon ses enseignants, à d’‘’énormes difficultés qui s’aggravent au fil des années en menaçant la stabilité sociale et le bon déroulement des enseignements’’. Ses enseignants déplorent ‘’le retard de la livraison [certaines] infrastructures’’, une partie des cours se tenant dans des locaux empruntés à des structures locales.
À Fatick, l’université du Sine-Saloum El-Hadj-Ibrahima-Niasse ne dispose que de trois salles de cours pour 1.490 étudiants. Le déficit d’infrastructures pédagogiques est également noté à Kaolack et à Kaffrine.
Les infrastructures doivent être construites et livrées de manière ‘’très urgente’’, a dit le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, El Hadji Abdourahmane Diouf, lors d’une visite à l’USSEIN.
Aps