« Je pense que ce colloque est très important pour notre pays, pour les pays africains, parce qu’il permettra d’avoir une référence intellectuelle dans le cadre même de la compétitivité que je vais développer demain qui est un catalyseur de la croissance. La mondialisation a introduit un profond changement dans les mécanismes de l’économie. Les flux de capitaux sont considérablement accrus, dans la mesure où ils ont été dématérialisés, les technologies de l’information ont permis une circulation instantanée de l’information sur l’ensemble de la planète », a fait savoir le directeur de l’Apix.
Sur un autre plan, d’avis que la généralisation de l’économie libérale a accentué la concurrence entre les entreprises, mais aussi, entre les pays, M. Sarr dira que les entreprises ont aussi adopté de nouvelles stratégies dans les domaines clé de l’investissement et de la formation. « Je veux dire que le Sénégal, dans un contexte difficile, a conçu un ambitieux programme d’amélioration de la compétitivité globale de son économie, en vue d’amplifier son volume d’investissement direct étranger. Ce programme s’inscrit dans les objectifs économiques tels que déclinés dans les objectifs macro-économiques que le gouvernement a mis en place. Dans le moyen terme, le Sénégal ambitionne de devenir un pays émergeant, d’ici à l’origine 2020. Pour y parvenir, il devrait porter durablement le taux de croissance en Pib à un niveau supérieur à 7%, afin de réduire la pauvreté », précisera-t-il.
Magnifiant la politique du gouvernement, en matière de réalisations, il louera la promptitude des choses améliorées, depuis leur arrivée, dans l’environnement des affaires au Sénégal, avec 19 mesures prioritaires à réaliser avant le 31 mai 2013 qui visent à améliorer la proportion du Sénégal dans les prochains classements internationaux à l’image de l’enquête 2019 de la banque mondiale qui influence aujourd’hui les perceptions et les décideurs. A titre d’exemples, selon M. Sarr ; la réforme foncière et celle de la douane bientôt finalisées, dans le domaine de la justice, après la mise en place des chambres commerciales, la réforme du code de procédure civile, pour une meilleure exécution des contrats et de protections des investisseurs. « Je vous rappelle que plus de vingt contrats de protections réciproques des investisseurs ont été rédigés. Il faut dire que la compétitivité, c’est aussi la bonne gouvernance. Des textes sont élaborés pour assainir les finances publiques, mais aussi, pour la promotion de la bonne gouvernance. Parmi eux, le code de transparence des finances publiques qui vise une gestion rationnelle des deniers publics. Dans ce sens, le gouvernement élabore un texte instituant l’office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac). L’accès au financement constitue aussi un élément déterminant dans la compétitivité. Le Président a aussi créé le Fongip qui sera inscrit dans le budget 2013, en plus du Fonsis », ajoutera-t-il.
La mise à niveau des entreprises étant fondamentale et l’environnement des affaires, étant l’automatisation du transfert de propriété, « nous avons 59 taxes au Sénégal, alors que la moyenne est de 35. Donc, nous allons faire des efforts allant dans ce sens. Le Sénégal a l’ambition d’être parmi le top ten, par rapport au classement de la Banque mondiale », a-t-il conclu.
REWMI QUOTIDIEN
Sur un autre plan, d’avis que la généralisation de l’économie libérale a accentué la concurrence entre les entreprises, mais aussi, entre les pays, M. Sarr dira que les entreprises ont aussi adopté de nouvelles stratégies dans les domaines clé de l’investissement et de la formation. « Je veux dire que le Sénégal, dans un contexte difficile, a conçu un ambitieux programme d’amélioration de la compétitivité globale de son économie, en vue d’amplifier son volume d’investissement direct étranger. Ce programme s’inscrit dans les objectifs économiques tels que déclinés dans les objectifs macro-économiques que le gouvernement a mis en place. Dans le moyen terme, le Sénégal ambitionne de devenir un pays émergeant, d’ici à l’origine 2020. Pour y parvenir, il devrait porter durablement le taux de croissance en Pib à un niveau supérieur à 7%, afin de réduire la pauvreté », précisera-t-il.
Magnifiant la politique du gouvernement, en matière de réalisations, il louera la promptitude des choses améliorées, depuis leur arrivée, dans l’environnement des affaires au Sénégal, avec 19 mesures prioritaires à réaliser avant le 31 mai 2013 qui visent à améliorer la proportion du Sénégal dans les prochains classements internationaux à l’image de l’enquête 2019 de la banque mondiale qui influence aujourd’hui les perceptions et les décideurs. A titre d’exemples, selon M. Sarr ; la réforme foncière et celle de la douane bientôt finalisées, dans le domaine de la justice, après la mise en place des chambres commerciales, la réforme du code de procédure civile, pour une meilleure exécution des contrats et de protections des investisseurs. « Je vous rappelle que plus de vingt contrats de protections réciproques des investisseurs ont été rédigés. Il faut dire que la compétitivité, c’est aussi la bonne gouvernance. Des textes sont élaborés pour assainir les finances publiques, mais aussi, pour la promotion de la bonne gouvernance. Parmi eux, le code de transparence des finances publiques qui vise une gestion rationnelle des deniers publics. Dans ce sens, le gouvernement élabore un texte instituant l’office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac). L’accès au financement constitue aussi un élément déterminant dans la compétitivité. Le Président a aussi créé le Fongip qui sera inscrit dans le budget 2013, en plus du Fonsis », ajoutera-t-il.
La mise à niveau des entreprises étant fondamentale et l’environnement des affaires, étant l’automatisation du transfert de propriété, « nous avons 59 taxes au Sénégal, alors que la moyenne est de 35. Donc, nous allons faire des efforts allant dans ce sens. Le Sénégal a l’ambition d’être parmi le top ten, par rapport au classement de la Banque mondiale », a-t-il conclu.
REWMI QUOTIDIEN