Il existe plusieurs classifications des difficultés sexuelles. Les deux principales étant celle de l’Organisation mondiale de la santé (ICD-10) et celle de l’Association psychiatrique américaine (le DSM-IV-TR qui sera bientôt remplacée par le DSM-V).Dans les grandes enquêtes sur la sexualité, chaque pays choisit en outre son propre système de questions sur la sexualité.
Pour les femmes, de façon générale, un consensus existe pour considérer surtout les problèmes suivants :
- les douleurs lors du rapport sexuel
- Les difficultés à atteindre l’orgasme (= dysorgasmie) ou l’absence d’orgasme (= anorgasmie)
- le manque ou l’absence de désir sexuel
Certaines grandes enquêtes recensent cependant d’autres difficultés : l’absence de plaisir sexuel lors du rapport, l’orgasme survient trop rapidement, anxiété à propos de la performance, crainte de ne pas être physiquement attractive lors du rapport sexuel, sécheresse vaginale (exemples tirés des enquêtes nationales américaine et australiennes).
Enfin, les sexologues sont encore plus larges puisqu’ils prennent en charge toutes les difficultés liées à la sexualité, à partir du moment où une souffrance s’exprime : addiction sexuelle, perversion sexuelle (= paraphilie), identité sexuelle, troubles de l’image du corps, etc.
Les difficultés sexuelles sont relativement fréquentes. Dans la dernière grande enquête nationale sur la sexualité des français, 11,7% des femmes déclarent être « souvent » confrontés à au moins l’une des difficultés sexuelles suivantes au cours des 12 mois écoulés : rapports douloureux (2%), difficulté d’orgasme (7,3%), absence ou insuffisance de désir (6,8%). Elles sont encore plus nombreuses à l’être « parfois » : rapports douloureux (14,3%), difficulté d’orgasme (28,9%), absence ou insuffisance de désir (29%).
Pour les femmes, de façon générale, un consensus existe pour considérer surtout les problèmes suivants :
- les douleurs lors du rapport sexuel
- Les difficultés à atteindre l’orgasme (= dysorgasmie) ou l’absence d’orgasme (= anorgasmie)
- le manque ou l’absence de désir sexuel
Certaines grandes enquêtes recensent cependant d’autres difficultés : l’absence de plaisir sexuel lors du rapport, l’orgasme survient trop rapidement, anxiété à propos de la performance, crainte de ne pas être physiquement attractive lors du rapport sexuel, sécheresse vaginale (exemples tirés des enquêtes nationales américaine et australiennes).
Enfin, les sexologues sont encore plus larges puisqu’ils prennent en charge toutes les difficultés liées à la sexualité, à partir du moment où une souffrance s’exprime : addiction sexuelle, perversion sexuelle (= paraphilie), identité sexuelle, troubles de l’image du corps, etc.
Les difficultés sexuelles sont relativement fréquentes. Dans la dernière grande enquête nationale sur la sexualité des français, 11,7% des femmes déclarent être « souvent » confrontés à au moins l’une des difficultés sexuelles suivantes au cours des 12 mois écoulés : rapports douloureux (2%), difficulté d’orgasme (7,3%), absence ou insuffisance de désir (6,8%). Elles sont encore plus nombreuses à l’être « parfois » : rapports douloureux (14,3%), difficulté d’orgasme (28,9%), absence ou insuffisance de désir (29%).