Le Sénégal, dont le secteur agricole connaît une transformation, est un hub commercial très stable. Il suffit juste, dit-il, d’une technologie. Le Directeur général de STECIA international, M. Gaddas a misé sur les ‘’excellentes’’ relations diplomatiques, les liens historiques et commerciaux ‘’très forts’’, ainsi que les échanges entre les deux Etats dans plusieurs secteurs pour démarrer le projet à Dakar. ‘’C’est plus facile de commencer par le Sénégal et aller vers d’autres zones. Nous connaissons l’importance de la place du Sénégal dans l’économie en Afrique de l’Ouest’’, a-t-il insisté.
D’après lui, la position stratégique du secteur agricole sénégalais, résistant au contexte marqué par la pandémie de COVID-19, est en train de connaître un essor. ‘’Le Sénégal est un pays stable. Des liens historiques très forts unissent nos deux Etats et nous avons des vols directs entre Dakar et Tunis’’, a-t-il témoigné.
Sous ce registre, il a annoncé une sélection de 40 entreprises et annonce une rencontre B to B, le 22 mars 2022 à Dakar, entre des start-ups tunisiennes et des entreprises sénégalaises. Cette rencontre B to B vise à créer une dynamique de coopération entre les secteurs privés des deux pays, tout en mettant en relation les entreprises des deux pays en vue d’un partenariat.
M. Gaddas explique que l’ambition avec ses partenaires, est de faire en sorte que les pays africains atteignent l’autosuffisance alimentaire. Et, le projet “Agri-tech Tunisia” est conçu par la société tunisienne STECIA International, appuyée par des partenaires, est financé par l’Union européenne. Mis en œuvre par Expertise France, il vise à soutenir le renforcement, la structuration et la valorisation de l’écosystème de l’innovation et de l’entrepreneuriat.
“Agri-tech Tunisia” a pour ambition de développer la coopération Sud-Sud dans le secteur des technologies digitales pour l’agriculture, entre la Tunisie et les pays de l’Afrique de l’Ouest, avec le Sénégal comme première étape.
Elle ajoute que le projet permettra d’initier un partenariat gagnant-gagnant, dans lequel le secteur agricole sénégalais pourra avoir accès aux dernières technologies disruptives et au savoir-faire des startups tunisiennes, pour améliorer sa durabilité et sa compétitivité sur le marché local, régional et international.
Le secteur de l’agri-tech tunisien pourra de son côté, diversifier ses marchés et élargir sa présence en Afrique sub-saharienne, qualifiée par les spécialistes, de “nouvelle frontière”.
D’après lui, la position stratégique du secteur agricole sénégalais, résistant au contexte marqué par la pandémie de COVID-19, est en train de connaître un essor. ‘’Le Sénégal est un pays stable. Des liens historiques très forts unissent nos deux Etats et nous avons des vols directs entre Dakar et Tunis’’, a-t-il témoigné.
Sous ce registre, il a annoncé une sélection de 40 entreprises et annonce une rencontre B to B, le 22 mars 2022 à Dakar, entre des start-ups tunisiennes et des entreprises sénégalaises. Cette rencontre B to B vise à créer une dynamique de coopération entre les secteurs privés des deux pays, tout en mettant en relation les entreprises des deux pays en vue d’un partenariat.
M. Gaddas explique que l’ambition avec ses partenaires, est de faire en sorte que les pays africains atteignent l’autosuffisance alimentaire. Et, le projet “Agri-tech Tunisia” est conçu par la société tunisienne STECIA International, appuyée par des partenaires, est financé par l’Union européenne. Mis en œuvre par Expertise France, il vise à soutenir le renforcement, la structuration et la valorisation de l’écosystème de l’innovation et de l’entrepreneuriat.
“Agri-tech Tunisia” a pour ambition de développer la coopération Sud-Sud dans le secteur des technologies digitales pour l’agriculture, entre la Tunisie et les pays de l’Afrique de l’Ouest, avec le Sénégal comme première étape.
Elle ajoute que le projet permettra d’initier un partenariat gagnant-gagnant, dans lequel le secteur agricole sénégalais pourra avoir accès aux dernières technologies disruptives et au savoir-faire des startups tunisiennes, pour améliorer sa durabilité et sa compétitivité sur le marché local, régional et international.
Le secteur de l’agri-tech tunisien pourra de son côté, diversifier ses marchés et élargir sa présence en Afrique sub-saharienne, qualifiée par les spécialistes, de “nouvelle frontière”.