Face à ses détracteurs qui affirment qu’elle a bénéficié d’un passeport diplomatique du fait de sa proximité avec l’actuel pouvoir, la célèbre couturière, par ailleurs ambassadrice de la beauté sénégalaise, rétablit la vérité. Pour avoir ouvert son atelier en 1981, Diouma Dieng affirme détenir depuis le temps de Senghor, soit deux ans avant son départ, du sésame. Un simple document officiel qui ne lui donne aucun privilège, mais qui explique en partie sa dimension dans le pays et dans la marche du pouvoir.