Après seulement 5 mois à la tête du Commissariat urbain de Diourbel, il s’en va. Le commissaire divisionnaire Alassane Niane a passé le témoin au commissaire de police Mor Ngom, sous les yeux du directeur de la Sécurité publique Modou Diagne, qui a reconnu qu’il n’a pas duré à Diourbel, mais a estimé que son bilan est très riche.
«Je pense qu’il a fait des résultats satisfaisants. Partout où il est passé, il a bien travaillé. C’est la raison pour laquelle quand l’autorité a décidé qu’il fallait mettre un adjoint au niveau de la direction de la Sécurité publique, elle a pensé à lui. Et je pense que c’est tout à son honneur et c’est un poste qu’il mérite. Il n’a pas duré à Diourbel, mais il a fait du bon travail», a-t-il souligné.
Sur le plan sécuritaire, il a posé des actes qui ont permis de sécuriser la ville. Mor Ngom, qui a pris les rênes de ce commissariat stratégique, semble avoir le profil de l’emploi.
«C’est un commissaire de police qui a commencé à marquer son empreinte au sein de la Police nationale par ses capacités intellectuelles, son expertise, sa disponibilité, son engagement et sa loyauté. Je suis persuadé qu’il fera du bon travail», rassure-t-il.
Par ailleurs, il a invité les populations à plus de collaboration envers la Police nationale. En même temps, a-t-il précisé, il appartient aux agents de la police de bien les accueillir dans les commissariats.
«Je demanderais juste aux populations de Diourbel de collaborer avec la police. Si la police est là, c’est parce que la population de Diourbel existe. Nous allons juste appeler la population à plus de collaboration envers la Police nationale. Il appartient aussi aux agents de police de bien accueillir les populations. Il faut les écouter, les orienter afin de pouvoir régler leurs problèmes, parce que nous sommes là pour cela.»
Evidemment, le directeur de la Sécurité publique mesure les relations parfois conflictuelles entre les usagers et les éléments de la police. Il a ainsi invité les agents de police à plus de courtoisie, de largesse pour pouvoir cultiver cet esprit de collaboration.
En écho, le Commissaire divisionnaire Alassane Niane a insisté sur l’importance de la collaboration entre police et population ou entre police et médias.
«C’est d’une importance indiscutable et nous ne pouvons pas réussir notre mission sans une collaboration. La police, quels que soient son efficacité et son effectif, a besoin que des populations lui apportent des informations et de la solidarité, pour qu’elle puisse réussir les missions qui lui sont confiées. La police, c’est comme l’hôpital, personne ne veut venir à la police. Si quelqu’un quitte chez lui pour venir à la police, c’est parce qu’il a des problèmes. Donc l’accueil est très important.
Veillez à ce que les personnes qui viennent ici ,aient le maximum de satisfaction ! Faites preuve de disponibilité, d’attention et de courtoisie ! C’est pour cela que vous avez l’obligation d’apprendre les textes au jour le jour. Celui le moins gradé qui est au poste de police, doit se donner comme sacerdoce d’apprendre et de savoir comment orienter les populations. Il y a encore plus d’efforts à faire», dit le commissaire
Niane.
Aujourd’hui, il a une responsabilité d’assurer la sécurité de Diourbel qui dispose d’un groupement opérationnel. «En plus de ça, on va bientôt ouvrir un commissariat de police au quartier Madinatoul. On est dans cette dynamique qui est très positive. L’objectif de la Police nationale, c’est de pouvoir faire le maillage du territoire, en mettant pratiquement dans toutes les localités, un ou plusieurs commissariats de police, mais aussi un Groupement mobile d’intervention. Cette initiative est une politique du ministère de l’Intérieur et du Directeur général de la Police nationale. Je pense qu’on est en train de poser des jalons», dit le directeur de la Sécurité publique.
Le Quotidien
«Je pense qu’il a fait des résultats satisfaisants. Partout où il est passé, il a bien travaillé. C’est la raison pour laquelle quand l’autorité a décidé qu’il fallait mettre un adjoint au niveau de la direction de la Sécurité publique, elle a pensé à lui. Et je pense que c’est tout à son honneur et c’est un poste qu’il mérite. Il n’a pas duré à Diourbel, mais il a fait du bon travail», a-t-il souligné.
Sur le plan sécuritaire, il a posé des actes qui ont permis de sécuriser la ville. Mor Ngom, qui a pris les rênes de ce commissariat stratégique, semble avoir le profil de l’emploi.
«C’est un commissaire de police qui a commencé à marquer son empreinte au sein de la Police nationale par ses capacités intellectuelles, son expertise, sa disponibilité, son engagement et sa loyauté. Je suis persuadé qu’il fera du bon travail», rassure-t-il.
Par ailleurs, il a invité les populations à plus de collaboration envers la Police nationale. En même temps, a-t-il précisé, il appartient aux agents de la police de bien les accueillir dans les commissariats.
«Je demanderais juste aux populations de Diourbel de collaborer avec la police. Si la police est là, c’est parce que la population de Diourbel existe. Nous allons juste appeler la population à plus de collaboration envers la Police nationale. Il appartient aussi aux agents de police de bien accueillir les populations. Il faut les écouter, les orienter afin de pouvoir régler leurs problèmes, parce que nous sommes là pour cela.»
Evidemment, le directeur de la Sécurité publique mesure les relations parfois conflictuelles entre les usagers et les éléments de la police. Il a ainsi invité les agents de police à plus de courtoisie, de largesse pour pouvoir cultiver cet esprit de collaboration.
En écho, le Commissaire divisionnaire Alassane Niane a insisté sur l’importance de la collaboration entre police et population ou entre police et médias.
«C’est d’une importance indiscutable et nous ne pouvons pas réussir notre mission sans une collaboration. La police, quels que soient son efficacité et son effectif, a besoin que des populations lui apportent des informations et de la solidarité, pour qu’elle puisse réussir les missions qui lui sont confiées. La police, c’est comme l’hôpital, personne ne veut venir à la police. Si quelqu’un quitte chez lui pour venir à la police, c’est parce qu’il a des problèmes. Donc l’accueil est très important.
Veillez à ce que les personnes qui viennent ici ,aient le maximum de satisfaction ! Faites preuve de disponibilité, d’attention et de courtoisie ! C’est pour cela que vous avez l’obligation d’apprendre les textes au jour le jour. Celui le moins gradé qui est au poste de police, doit se donner comme sacerdoce d’apprendre et de savoir comment orienter les populations. Il y a encore plus d’efforts à faire», dit le commissaire
Niane.
Aujourd’hui, il a une responsabilité d’assurer la sécurité de Diourbel qui dispose d’un groupement opérationnel. «En plus de ça, on va bientôt ouvrir un commissariat de police au quartier Madinatoul. On est dans cette dynamique qui est très positive. L’objectif de la Police nationale, c’est de pouvoir faire le maillage du territoire, en mettant pratiquement dans toutes les localités, un ou plusieurs commissariats de police, mais aussi un Groupement mobile d’intervention. Cette initiative est une politique du ministère de l’Intérieur et du Directeur général de la Police nationale. Je pense qu’on est en train de poser des jalons», dit le directeur de la Sécurité publique.
Le Quotidien