La Chambre criminelle du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Diourbel (Centre), a condamné ce lundi Moustapha Diop à vingt ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Bassirou Diop et la détention d’une arme sans autorisation. L’accusé a également été condamné à payer 20 millions de francs Cfa aux héritiers de la victime représentée par sa veuve, Ndèye Astou Diallo, en guise de dommages et intérêts.
Le procureur de la République près la Chambre criminelle du TGI de Diourbel, Aly Ciré Ndiaye, a requis une peine de six mois de prison ferme pour le délit de détention illégale d’arme blanche et la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre de Bassirou Diop. Mais le président de la Chambre criminelle, Mohamed Diop, a requis, pour sa part, une peine de réclusion criminelle de vingt ans.
Dans la nuit du 21 octobre 2020, raconte le journal "24 Heures", la brigade mixte de gendarmerie de Mbacké a été informée par Cheikh Abdou Fall, un guide religieux, d’un homicide commis par l’un de ses disciples, Moustapha Diop, sur la personne de Bassirou Diop. Arrivés sur le lieu du drame en compagnie du médecin-chef du district sanitaire de Mbacké et des sapeurs-pompiers, les gendarmes découvrent un corps sans vie gisant dans une mare de sang. Avec une blessure apparente sur la clavicule droite.
Selon les témoignages recueillis par les enquêteurs, le drame a eu lieu à la suite d’une bagarre entre les deux disciples de Cheikh Abdou Fall. Bassirou Diop, après avoir passé la journée à Touba, a constaté, à son retour, qu’on n’avait pas donné à boire aux poussins qu’il élevait à la maison. Il s’en est plaint et s’est querellé avec Moustapha Diop, qui lui assène mortellement un coup de couteau. Devant la Chambre criminelle, M. Diop a nié les faits qui lui sont reprochés. Selon lui, Bassirou Diop s’est blessé en se jetant sur le couteau, une version balayée d’un revers de la main par les témoins Talla Thiaw et Touba Ndour.
Le procureur de la République près la Chambre criminelle du TGI de Diourbel, Aly Ciré Ndiaye, a requis une peine de six mois de prison ferme pour le délit de détention illégale d’arme blanche et la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre de Bassirou Diop. Mais le président de la Chambre criminelle, Mohamed Diop, a requis, pour sa part, une peine de réclusion criminelle de vingt ans.
Dans la nuit du 21 octobre 2020, raconte le journal "24 Heures", la brigade mixte de gendarmerie de Mbacké a été informée par Cheikh Abdou Fall, un guide religieux, d’un homicide commis par l’un de ses disciples, Moustapha Diop, sur la personne de Bassirou Diop. Arrivés sur le lieu du drame en compagnie du médecin-chef du district sanitaire de Mbacké et des sapeurs-pompiers, les gendarmes découvrent un corps sans vie gisant dans une mare de sang. Avec une blessure apparente sur la clavicule droite.
Selon les témoignages recueillis par les enquêteurs, le drame a eu lieu à la suite d’une bagarre entre les deux disciples de Cheikh Abdou Fall. Bassirou Diop, après avoir passé la journée à Touba, a constaté, à son retour, qu’on n’avait pas donné à boire aux poussins qu’il élevait à la maison. Il s’en est plaint et s’est querellé avec Moustapha Diop, qui lui assène mortellement un coup de couteau. Devant la Chambre criminelle, M. Diop a nié les faits qui lui sont reprochés. Selon lui, Bassirou Diop s’est blessé en se jetant sur le couteau, une version balayée d’un revers de la main par les témoins Talla Thiaw et Touba Ndour.