En cette veille de célébration de la fête de la Tabaski, les prix des moutons sont jugés exorbitants pour ne pas dire très chers dans les différents points de vente à Touba et Mbacké. Nombreux sont les clients qui préfèrent attendre les ultimes instants pour espérer se procurer un bélier. C’est le cas de Modou Diop trouvé dans un point de vente de la cité religieuse.
« L’année dernière, à pareille heure, j’avais déjà acheté mon mouton car les prix étaient très abordables. Mais pour ce présent évènement, on a constaté une grande majoration sur les prix. Avec la somme dont je dispose, je préfère attendre d’ici à la veille pour voir s’il y aura des améliorations ou pas », a-t-il lancé.
Au foirail de Mbacké, les clients n’ont pas encore affiché le sourire à cause de la cherté des prix des moutons. Toute de même, Ousmane Ndiaye que nous avons aperçu avec son tout nouveau bélier, a laissé entendre : « les moutons sont vraiment très chers et nous sommes à deux jours de la Tabaski. Comme tôt ou tard, on doit acheter le mouton, mieux vaut le faire tout de suite et passer à autre chose ».
De leur côté, les vendeurs de moutons ne se frottent pas encore les mains du fait qu’ils n’ont pas encore vendu grand-chose. « Les clients viennent massivement mais pratiquement, n’achètent pas. Ce qui dit que nous n’avons pas encore vendu grand-chose », fulmine Demba Sow, un vendeur.
Interrogé sur la cherté des prix, ce dernier de marteler : « cette année, les choses sont un peu compliquées avec l’herbe qui est introuvable à cause de la rareté des pluies, faisant que la nourriture du bétail est très chère et cela va se répercuter impérativement sur le prix du mouton ».
Libération
« L’année dernière, à pareille heure, j’avais déjà acheté mon mouton car les prix étaient très abordables. Mais pour ce présent évènement, on a constaté une grande majoration sur les prix. Avec la somme dont je dispose, je préfère attendre d’ici à la veille pour voir s’il y aura des améliorations ou pas », a-t-il lancé.
Au foirail de Mbacké, les clients n’ont pas encore affiché le sourire à cause de la cherté des prix des moutons. Toute de même, Ousmane Ndiaye que nous avons aperçu avec son tout nouveau bélier, a laissé entendre : « les moutons sont vraiment très chers et nous sommes à deux jours de la Tabaski. Comme tôt ou tard, on doit acheter le mouton, mieux vaut le faire tout de suite et passer à autre chose ».
De leur côté, les vendeurs de moutons ne se frottent pas encore les mains du fait qu’ils n’ont pas encore vendu grand-chose. « Les clients viennent massivement mais pratiquement, n’achètent pas. Ce qui dit que nous n’avons pas encore vendu grand-chose », fulmine Demba Sow, un vendeur.
Interrogé sur la cherté des prix, ce dernier de marteler : « cette année, les choses sont un peu compliquées avec l’herbe qui est introuvable à cause de la rareté des pluies, faisant que la nourriture du bétail est très chère et cela va se répercuter impérativement sur le prix du mouton ».
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