Au nom de "je ne comprends rien" (pour ne pas dire je ne sais quoi), des gens se disant honnêtes citoyens et humanistes, ou même profondément ancré sur la religion, plaident sur leurs murs, sur la place publique, à travers des contributions, pour ces grands voleurs, ces grands délinquants financiers. Que vont-ils faire alors pour les gens qui ont été accusés de vol des canettes de coca-cola, des moutons de tabaski, des chaussures Timberland, ces filles qui ont volé des cheveux naturels, ou qui ont opéré à des petits vols de quelques centaines de mille francs Cfa, pour se payer leurs « lace wig » de Korité, ou de Tabaski, ou de fin d'années (et bien d’autres inventeurs de modes opératoires) ? Que vont-ils dire de ces voleurs de dépenses quotidiennes qui croient en permanence garder une fausse dignité? Quelles actions ont-ils prévu, pour ces petits voleurs nocturnes, qui agressent, qui blessent, parfois des honnêtes sénégalais? Ces faux-avocats sénégalais, ont-ils choisi de plaider pour les plus grands assassins financiers, les plus grands casseurs du trésor public, pour oublier les petits voleurs, qui opèrent par pure stratégie de survie?
Ces Sénégalais - en plaidant non coupable, pour un Karim, sans nous fournir des preuves de sa non culpabilité, un Baldé, un Madické, un Samuel, une Aida Ndiongue (peut-être une Carmen Isabella Sandiégo pour qui connait son histoire), Un Macky , un Idrissa , une Khady Diop, une protégée Aminata Niane, un Tahibou Ndiaye hors pair, une probable échappée Awa koudou Ndiaye, un, pour le moment échappé Jules Ndéné, un mystificateur Farba Senghor, toute une bande qui court encore (avec peut-être des non coupables) - veulent-ils abandonner les milliers de sénégalais qui sont dans nos prisons et qui pour une grosse moitié sont totalement innocents, ou purgent des peines trop lourdes, trop sévères ?
Certains Sénégalais, qui veulent être des analystes ou chroniqueurs de la vie socio-politique du pays (formels ou informels), ont-ils préféré de se ranger du côté de ceux qui entretiennent et arrosent des parcelles de corruption?
Que veulent-ils nous servir, à travers leurs philosophies religieuses ou confrériques (ces faux-avocats), à l'endroit de ces gens, grand ou petit voleur? On pardonne tout le monde, ou on corrige tout le monde, et essayant du coup, de mettre fin à la souffrance qui règne au niveau des prisons sénégalaise? Justice sociale, ou injustice sociale ?
Leur présumé vol a été opérationnalisé par leur conduite politique, à ce que je sache. Donc, pourquoi vouloir leur éviter des poursuites politisées ?
Notre seul combat doit être de surveiller ces magistrats, faire, une pression sur ces magistrats, pour que la politique ne l'emporte pas sur le juridiquement correcte, et que Macky Sall aussi, à la fin de son mandat de transition, ne nous échappe pas, ne bouge pas d'un iota, sans justifier sa colossale fortune. Soyons justes et objectifs, chers amis, chers frères, chers condisciples, chers compatriotes, on ne peut pas plaider pour un présumé grand voleur, et piétiner un présumé petit voleur. Le vol c'est le vol, quelle que soit notre affection envers le présumé voleur, le déterminé accusateur. L'essentiel que l'accusé montre des preuves, et l'accusateur fournisse des éléments incriminants.
Justice, Justice...rien que la justice, et point d'analyse ou de publication non objectives.
Gorgui Diop
Paris
Ces Sénégalais - en plaidant non coupable, pour un Karim, sans nous fournir des preuves de sa non culpabilité, un Baldé, un Madické, un Samuel, une Aida Ndiongue (peut-être une Carmen Isabella Sandiégo pour qui connait son histoire), Un Macky , un Idrissa , une Khady Diop, une protégée Aminata Niane, un Tahibou Ndiaye hors pair, une probable échappée Awa koudou Ndiaye, un, pour le moment échappé Jules Ndéné, un mystificateur Farba Senghor, toute une bande qui court encore (avec peut-être des non coupables) - veulent-ils abandonner les milliers de sénégalais qui sont dans nos prisons et qui pour une grosse moitié sont totalement innocents, ou purgent des peines trop lourdes, trop sévères ?
Certains Sénégalais, qui veulent être des analystes ou chroniqueurs de la vie socio-politique du pays (formels ou informels), ont-ils préféré de se ranger du côté de ceux qui entretiennent et arrosent des parcelles de corruption?
Que veulent-ils nous servir, à travers leurs philosophies religieuses ou confrériques (ces faux-avocats), à l'endroit de ces gens, grand ou petit voleur? On pardonne tout le monde, ou on corrige tout le monde, et essayant du coup, de mettre fin à la souffrance qui règne au niveau des prisons sénégalaise? Justice sociale, ou injustice sociale ?
Leur présumé vol a été opérationnalisé par leur conduite politique, à ce que je sache. Donc, pourquoi vouloir leur éviter des poursuites politisées ?
Notre seul combat doit être de surveiller ces magistrats, faire, une pression sur ces magistrats, pour que la politique ne l'emporte pas sur le juridiquement correcte, et que Macky Sall aussi, à la fin de son mandat de transition, ne nous échappe pas, ne bouge pas d'un iota, sans justifier sa colossale fortune. Soyons justes et objectifs, chers amis, chers frères, chers condisciples, chers compatriotes, on ne peut pas plaider pour un présumé grand voleur, et piétiner un présumé petit voleur. Le vol c'est le vol, quelle que soit notre affection envers le présumé voleur, le déterminé accusateur. L'essentiel que l'accusé montre des preuves, et l'accusateur fournisse des éléments incriminants.
Justice, Justice...rien que la justice, et point d'analyse ou de publication non objectives.
Gorgui Diop
Paris