Si les sources consultées par notre rédaction ne donnent pas une géolocalisation précise de l’endroit où pourrait, actuellement, être Diary Sow, elles sont, par contre, unanimes à dire “qu’elle a décidé volontairement de rompre avec son passé.”
Si on en est arrivé à cette extrémité qui met en péril ses études, des sources policières françaises -de haut rang- ont affirmé que “c’est pour fuir d’énormes pressions sociales qu’elle a décidé de tout larguer.” Pour comprendre ce que peuvent cacher ces pressions sociales, Babacar Touré, le directeur de publications de Kewoulo, s’est rendu, hier, dans la famille de Diary Sow à Malicounda, dans le département de Mbour.
Là, un oncle de l’étudiante comme sa tante maternelle, Collé Sow, ont fait savoir que la famille avait décidé de ne plus parler aux journalistes. La raison: “ils nous ont porté énormément de préjudices, en racontant du n’importe quoi“. Toutefois, Mamadou Sow comme Collé Sow sont formels: “ici, personne ne met de pressions sociales sur Diary.
D’ailleurs, nous ne l’appelons presque pas. Parce-que, on imagine qu’elle doit être hyper chargée avec ses études. C’est sa mère qui lui a parlé en dernier ce 3 janvier“. Interrogée sur la possibilité que “ces pressions sociales” soient une volonté de ses parents de la donner en “mariage arrangé”, comme cela se fait souvent au Sénégal, sa tante est formelle. “Nous ne faisons pas cela”.
Pour notre part, à Kewoulo nous avons appris que la dernière vidéo vue de Diary Sow date du 4 janvier dernier. Elle a été aperçue, sortant de la cour de la résidence Lourcine de Paris, un sac en main. Aussi, des auditions effectuées par la BRDP, Kewoulo a appris qu’un des amis de l’étudiante sénégalaise du Lycée Louis Le Grand de Paris aurait déclaré que “Diary Sow lui avait fait part de sa volonté de ne pas reprendre ses études à la rentrée de janvier.”
Cette déclaration ne peut augmenter que du flou à cette situation déjà très loufoque. A Malicounda, la famille de Diary Sow a confié que “la jeune fille n’avait pas de fréquentations; ni féminine ni masculine dans la commune.” Toutefois, les sources françaises de Kewoulo ont laissé entendre que “elle a bel et bien une vie sociale en France avec des amis. Mais aussi une association dénommée “l’Elite sénégalaise.” Aussi, contrairement à ce que croient de nombreuses personnes, Diary Sow a un oncle qui vit avec sa famille à Paris. Et ce dernier, aussi, n’a plus de contact avec l’étudiante en 2ème année de cours préparatoires.
Si du coté de sa famille personne ne sait rien d’elle et que, depuis le 3 janvier, Diary n’a pas échangé avec sa mère, sa connexion internet, elle, a beaucoup parlé. C’est ainsi que les enquêteurs, qui se sont penchés sur l’historique de ses connexions internet, ont appris qu’elle a longtemps cherché à savoir ce que la législation française prévoyait si une personne décidait de disparaître volontairement.
Voila autant d’indices qui ont poussé les autorités françaises à croire que “Diary Sow a volontairement organisé sa disparition” et décidé de ne plus considérer son absence comme inquiétante.
Si on en est arrivé à cette extrémité qui met en péril ses études, des sources policières françaises -de haut rang- ont affirmé que “c’est pour fuir d’énormes pressions sociales qu’elle a décidé de tout larguer.” Pour comprendre ce que peuvent cacher ces pressions sociales, Babacar Touré, le directeur de publications de Kewoulo, s’est rendu, hier, dans la famille de Diary Sow à Malicounda, dans le département de Mbour.
Là, un oncle de l’étudiante comme sa tante maternelle, Collé Sow, ont fait savoir que la famille avait décidé de ne plus parler aux journalistes. La raison: “ils nous ont porté énormément de préjudices, en racontant du n’importe quoi“. Toutefois, Mamadou Sow comme Collé Sow sont formels: “ici, personne ne met de pressions sociales sur Diary.
D’ailleurs, nous ne l’appelons presque pas. Parce-que, on imagine qu’elle doit être hyper chargée avec ses études. C’est sa mère qui lui a parlé en dernier ce 3 janvier“. Interrogée sur la possibilité que “ces pressions sociales” soient une volonté de ses parents de la donner en “mariage arrangé”, comme cela se fait souvent au Sénégal, sa tante est formelle. “Nous ne faisons pas cela”.
Pour notre part, à Kewoulo nous avons appris que la dernière vidéo vue de Diary Sow date du 4 janvier dernier. Elle a été aperçue, sortant de la cour de la résidence Lourcine de Paris, un sac en main. Aussi, des auditions effectuées par la BRDP, Kewoulo a appris qu’un des amis de l’étudiante sénégalaise du Lycée Louis Le Grand de Paris aurait déclaré que “Diary Sow lui avait fait part de sa volonté de ne pas reprendre ses études à la rentrée de janvier.”
Cette déclaration ne peut augmenter que du flou à cette situation déjà très loufoque. A Malicounda, la famille de Diary Sow a confié que “la jeune fille n’avait pas de fréquentations; ni féminine ni masculine dans la commune.” Toutefois, les sources françaises de Kewoulo ont laissé entendre que “elle a bel et bien une vie sociale en France avec des amis. Mais aussi une association dénommée “l’Elite sénégalaise.” Aussi, contrairement à ce que croient de nombreuses personnes, Diary Sow a un oncle qui vit avec sa famille à Paris. Et ce dernier, aussi, n’a plus de contact avec l’étudiante en 2ème année de cours préparatoires.
Si du coté de sa famille personne ne sait rien d’elle et que, depuis le 3 janvier, Diary n’a pas échangé avec sa mère, sa connexion internet, elle, a beaucoup parlé. C’est ainsi que les enquêteurs, qui se sont penchés sur l’historique de ses connexions internet, ont appris qu’elle a longtemps cherché à savoir ce que la législation française prévoyait si une personne décidait de disparaître volontairement.
Voila autant d’indices qui ont poussé les autorités françaises à croire que “Diary Sow a volontairement organisé sa disparition” et décidé de ne plus considérer son absence comme inquiétante.