La haine viscérale, la violence, la méchanceté gratuite et le profond dépit envers sa propre nation, sont autant de fléaux à combattre pour un citoyen du monde.
L'adresse à la nation du Président de la République, Macky Sall, en ce jour du 3 juillet 2023, contribue à hisser davantage le Sénégal dans le concert des nations les plus démocratiques, les plus paisibles à vivre.
A travers son discours, Macky Sall a démontré aux Sénégalais qu'il n'est pas novice en politique, car ayant un parcours exceptionnel sous l'aile protectrice d'un certain Me Abdoulaye Wade, reconnu comme le plus rusé, le plus fin d'entre eux, dixit Léopold Sédar Senghor.
A ceux qui prônaient la violence pour déloger l'actuel locataire du Palais présidentiel, et d'inciter la jeunesse à descendre sur le terrain pour se faire massacrer, allez voir ailleurs, car les Sénégalais sont matures et responsables au premier chef le gardien de la Constitution. Le Chef de l'Etat l'a rappelé dans son discours que la loi lui permet de se présenter en 2024 et le référendum de 2016, qui a été voté par une écrasante majorité le confirme.
Nous voyons d'ici le prochain leitmotiv de certains adversaires politiques de Macky Sall. Ils diront qu'il va emprisonner un tel ou fera invalider la candidature d'un autre. Et là justice dans tout cela ?
Laissons le pouvoir judiciaire exercer pleinement son rôle et vider en âme et conscience, toutes les affaires relatives aux futurs candidats de 2024.
Le dialogue national était nécessaire pour apaiser le champ politique et les absents ont toujours tort. Vous pouvez ne pas être d'accord sur des points mais la table, elle est là, ouverte à chacun.
Macky Sall, est le maître du jeu, d'ailleurs depuis 2012, il l'a toujours été. Il a son calendrier et sait où il va, même si tout n'est pas bon, il faut lui reconnaître sa connaissance et sa maîtrise de l'appareil étatique.
En renonçant à briguer un troisième mandat ou deuxième quinquennat, c'est selon, Macky Sall montre à ses collègues politiciens de l'opposition comme de la majorité présidentielle, que personne ne peut l'enfermer dans un carcan ou l'embrigader dans des visions suicidaires, contraires à l'intérêt supérieur de la Nation.
La politique politicienne, faite sous nos cieux est malsaine, ingrate et faite d'opportunisme. Peut-être, c'est ce qui fait son charme. En analysant le champ politique actuel, quatre (4) noms ressortent pour le futur Président du Sénégal en 2024 : Ousmane Sonko, Karim Wade, Khalifa Sall et Idrissa Seck. Bougane Guèye, quant à lui, est loin derrière en terme de massification des masses, de bases politiques et d'alliances.
Du point de vue de notre humble analyse, Ousmane Sonko a de fortes chances de voir sa candidature invalidée du faut de sa condamnation à une prison ferme. Quant à Karim Wade, il hérite d'un parti divisé, en lambeaux, ressemblant à une armée mexicaine. Idrissa Seck, n'est plus crédible aux yeux de pas mal de Sénégalais, depuis qu'il s'est allié avec Macky Sall et son principal bastion, Thiès, a été récupéré par l'opposition.
Il reste Khalifa Sall. C'est une personnalité charismatique ayant un parcours d'homme d'Etat. Après ses déboires comme Maire de Dakar, il a participé au dialogue national, toujours en tant qu'opposant de Macky Sall. Ceci lui a valu des tirs fratricides de ses compagnons de Yewi Askan Wi.
Aujourd'hui, il demeure l'opposant le plus proche de Macky Sall mais en même temps, le plus crédible et le plus outillé pour devenir le cinquième président de la République du Sénégal.
Cette analyse, aussi objective soit-elle, tient en compte que de l'autre côté de la mouvance présidentielle, nous sommes quasi certains que ce sera l'implosion totale. Ni Amadou Bâ, ni Aissata Tall Sall, encore moins d'autres grands leaders, n'accepteront de se ranger derrière un candidat désigné par le président du parti.
Macky Sall a délivré le Sénégal d'un futur sans lendemain. A nous d'en tirer les leçons.
Diéry Coly
L'adresse à la nation du Président de la République, Macky Sall, en ce jour du 3 juillet 2023, contribue à hisser davantage le Sénégal dans le concert des nations les plus démocratiques, les plus paisibles à vivre.
A travers son discours, Macky Sall a démontré aux Sénégalais qu'il n'est pas novice en politique, car ayant un parcours exceptionnel sous l'aile protectrice d'un certain Me Abdoulaye Wade, reconnu comme le plus rusé, le plus fin d'entre eux, dixit Léopold Sédar Senghor.
A ceux qui prônaient la violence pour déloger l'actuel locataire du Palais présidentiel, et d'inciter la jeunesse à descendre sur le terrain pour se faire massacrer, allez voir ailleurs, car les Sénégalais sont matures et responsables au premier chef le gardien de la Constitution. Le Chef de l'Etat l'a rappelé dans son discours que la loi lui permet de se présenter en 2024 et le référendum de 2016, qui a été voté par une écrasante majorité le confirme.
Nous voyons d'ici le prochain leitmotiv de certains adversaires politiques de Macky Sall. Ils diront qu'il va emprisonner un tel ou fera invalider la candidature d'un autre. Et là justice dans tout cela ?
Laissons le pouvoir judiciaire exercer pleinement son rôle et vider en âme et conscience, toutes les affaires relatives aux futurs candidats de 2024.
Le dialogue national était nécessaire pour apaiser le champ politique et les absents ont toujours tort. Vous pouvez ne pas être d'accord sur des points mais la table, elle est là, ouverte à chacun.
Macky Sall, est le maître du jeu, d'ailleurs depuis 2012, il l'a toujours été. Il a son calendrier et sait où il va, même si tout n'est pas bon, il faut lui reconnaître sa connaissance et sa maîtrise de l'appareil étatique.
En renonçant à briguer un troisième mandat ou deuxième quinquennat, c'est selon, Macky Sall montre à ses collègues politiciens de l'opposition comme de la majorité présidentielle, que personne ne peut l'enfermer dans un carcan ou l'embrigader dans des visions suicidaires, contraires à l'intérêt supérieur de la Nation.
La politique politicienne, faite sous nos cieux est malsaine, ingrate et faite d'opportunisme. Peut-être, c'est ce qui fait son charme. En analysant le champ politique actuel, quatre (4) noms ressortent pour le futur Président du Sénégal en 2024 : Ousmane Sonko, Karim Wade, Khalifa Sall et Idrissa Seck. Bougane Guèye, quant à lui, est loin derrière en terme de massification des masses, de bases politiques et d'alliances.
Du point de vue de notre humble analyse, Ousmane Sonko a de fortes chances de voir sa candidature invalidée du faut de sa condamnation à une prison ferme. Quant à Karim Wade, il hérite d'un parti divisé, en lambeaux, ressemblant à une armée mexicaine. Idrissa Seck, n'est plus crédible aux yeux de pas mal de Sénégalais, depuis qu'il s'est allié avec Macky Sall et son principal bastion, Thiès, a été récupéré par l'opposition.
Il reste Khalifa Sall. C'est une personnalité charismatique ayant un parcours d'homme d'Etat. Après ses déboires comme Maire de Dakar, il a participé au dialogue national, toujours en tant qu'opposant de Macky Sall. Ceci lui a valu des tirs fratricides de ses compagnons de Yewi Askan Wi.
Aujourd'hui, il demeure l'opposant le plus proche de Macky Sall mais en même temps, le plus crédible et le plus outillé pour devenir le cinquième président de la République du Sénégal.
Cette analyse, aussi objective soit-elle, tient en compte que de l'autre côté de la mouvance présidentielle, nous sommes quasi certains que ce sera l'implosion totale. Ni Amadou Bâ, ni Aissata Tall Sall, encore moins d'autres grands leaders, n'accepteront de se ranger derrière un candidat désigné par le président du parti.
Macky Sall a délivré le Sénégal d'un futur sans lendemain. A nous d'en tirer les leçons.
Diéry Coly