« Il faut qu’on soit vigilants et se demander pourquoi, tous ces barbus sont derrière cet homme », dit Me El hadji Diouf, lors du 4e Congrès du Parti de l’espoir et du progrès (PEP).
D’après l’avocat, des politiques ont pris en otage tout un peuple. Ils ont brûlé le pays et sont en train de s’entraîner. « La première vague était l’échauffement et ils nous ont promis une deuxième vague plus dévastatrice. Vous avez vu quelqu’un, dont l’audience a été renvoyée vers le tribunal, il voulait troubler la quiétude des populations. Il faut que l’Etat soit ferme et aucune faiblesse de sa part ne sera tolérée », exige-t-il.
Le phénomène qui gangrène l’essentiel des Etats sous-développés et pauvres au sud du Sahel, relève-t-il, demande un travail de veille. « Le Mali est infesté de djihadistes de tous bords. La Guinée passe des moments assez tumultueux. Les djihadistes sont entrés chez nous.
Heureusement jusque-là, l’État arrive à contenir ces velléités de par ses services de renseignements et de sécurité. Ces derniers se mobilisent et barrent la route à ces djihadistes établis au sud du Sahel depuis la disparition de Khadafi».
L’avocat estime qu’ils cherchent de par des moyens différents et les contextes favorables, à affaiblir tous les pays. « Au Sénégal, il y a des gens qui ont été arrêtés, certains ont été condamnés et d’autres relaxés », liste-t-il.
D’après l’avocat, des politiques ont pris en otage tout un peuple. Ils ont brûlé le pays et sont en train de s’entraîner. « La première vague était l’échauffement et ils nous ont promis une deuxième vague plus dévastatrice. Vous avez vu quelqu’un, dont l’audience a été renvoyée vers le tribunal, il voulait troubler la quiétude des populations. Il faut que l’Etat soit ferme et aucune faiblesse de sa part ne sera tolérée », exige-t-il.
Le phénomène qui gangrène l’essentiel des Etats sous-développés et pauvres au sud du Sahel, relève-t-il, demande un travail de veille. « Le Mali est infesté de djihadistes de tous bords. La Guinée passe des moments assez tumultueux. Les djihadistes sont entrés chez nous.
Heureusement jusque-là, l’État arrive à contenir ces velléités de par ses services de renseignements et de sécurité. Ces derniers se mobilisent et barrent la route à ces djihadistes établis au sud du Sahel depuis la disparition de Khadafi».
L’avocat estime qu’ils cherchent de par des moyens différents et les contextes favorables, à affaiblir tous les pays. « Au Sénégal, il y a des gens qui ont été arrêtés, certains ont été condamnés et d’autres relaxés », liste-t-il.