Les dockers et pointeurs du Port Autonome de Dakar ont profité de leur 9ᵉ congrès ordinaire, tenu ce samedi, pour exprimer leur profond mécontentement quant à la détérioration de leurs conditions de travail. Depuis l’arrivée de Wally Diouf Bodian à la tête du port, ils dénoncent une situation de plus en plus précaire et interpellent les autorités sur la nécessité d’une réforme urgente.
Des conditions de travail de plus en plus difficiles
Les travailleurs portuaires font face à des défis majeurs qui, selon eux, nuisent à leur bien-être et à leur efficacité. Manque de protection sociale, absence de contrats stables et conditions de travail éprouvantes sont autant de problèmes soulevés. « Nous sommes au cœur de l’activité portuaire, mais nous sommes traités comme des laissés-pour-compte », déplore un représentant des dockers.
Un dialogue au point mort
Malgré plusieurs tentatives de discussions avec la direction du port, les revendications des dockers restent lettre morte. Ils dénoncent un manque d’écoute de la part des autorités portuaires et du gouvernement, ce qui les pousse aujourd’hui à hausser le ton. "Nous avons frappé à toutes les portes, mais aucune réponse concrète ne nous a été donnée", regrette un syndicaliste.
Un appel pressant au gouvernement
Face à cette situation, les dockers et pointeurs lancent un appel urgent au gouvernement pour une prise en charge immédiate de leurs doléances. Ils exigent une amélioration des conditions de travail, une revalorisation salariale et une meilleure protection sociale. Sans réponses satisfaisantes, ils n’excluent pas de durcir leur mouvement dans les prochains jours.
Ce congrès ordinaire aura donc été l’occasion pour eux de rappeler leur rôle essentiel dans l’économie portuaire sénégalaise et de réclamer une reconnaissance et des actions concrètes pour améliorer leur quotidien.
Des conditions de travail de plus en plus difficiles
Les travailleurs portuaires font face à des défis majeurs qui, selon eux, nuisent à leur bien-être et à leur efficacité. Manque de protection sociale, absence de contrats stables et conditions de travail éprouvantes sont autant de problèmes soulevés. « Nous sommes au cœur de l’activité portuaire, mais nous sommes traités comme des laissés-pour-compte », déplore un représentant des dockers.
Un dialogue au point mort
Malgré plusieurs tentatives de discussions avec la direction du port, les revendications des dockers restent lettre morte. Ils dénoncent un manque d’écoute de la part des autorités portuaires et du gouvernement, ce qui les pousse aujourd’hui à hausser le ton. "Nous avons frappé à toutes les portes, mais aucune réponse concrète ne nous a été donnée", regrette un syndicaliste.
Un appel pressant au gouvernement
Face à cette situation, les dockers et pointeurs lancent un appel urgent au gouvernement pour une prise en charge immédiate de leurs doléances. Ils exigent une amélioration des conditions de travail, une revalorisation salariale et une meilleure protection sociale. Sans réponses satisfaisantes, ils n’excluent pas de durcir leur mouvement dans les prochains jours.
Ce congrès ordinaire aura donc été l’occasion pour eux de rappeler leur rôle essentiel dans l’économie portuaire sénégalaise et de réclamer une reconnaissance et des actions concrètes pour améliorer leur quotidien.