Le Dr Malick Ndiaye a indiqué que des cas de méningite, survenus au niveau de certains districts bien identifiés très tôt, ont été enregistrés le mois dernier. Cette identification a pu s’opérer, a soutenu le médecin chef régional, grâce à une surveillance épidémiologique. Il ajoute : « c’est, d’ailleurs, dans ce cadre que nous avons très tôt commencé le traitement et guéri, pratiquement, tous les malades, sauf deux enfants que nous avons reçus trop tard du fait qu’ils ont été référés, dans un premier temps, chez les tradipraticiens ».
A l’en croire, pour parler d’épidémie, dans le cadre de la méningite, il faut 80 cas par semaine, ceci, pendant trois semaines successives. « Tel n’est pas le cas à Kaolack qui enregistre, aujourd’hui, une dizaine de cas par semaine. D’ailleurs, la tendance est à la baisse », a-t-il précisé. Les deux pluies de contre saison enregistrées la semaine dernière en sont peut-être pour quelque chose, a estimé Malick Ndiaye.
Il a ajouté que la chaleur et le vent poussiéreux favorisent la circulation du germe et la transmission. A son avis, d’ici la fin du mois d’avril, la maladie pourrait s’estomper. « De 40 cas dans la région, on est tombé à 32, puis à 20, et cette semaine, à moins de 10 », a fait remarquer le Dr Malick Ndiaye. Selon lui, « la sensibilisation faite au niveau des médecins chefs d’équipe et les mesures idoines prises, notamment la mise en place de médicaments et de matériels de prélèvement, ont été « salutaires ».
Le Soleil
A l’en croire, pour parler d’épidémie, dans le cadre de la méningite, il faut 80 cas par semaine, ceci, pendant trois semaines successives. « Tel n’est pas le cas à Kaolack qui enregistre, aujourd’hui, une dizaine de cas par semaine. D’ailleurs, la tendance est à la baisse », a-t-il précisé. Les deux pluies de contre saison enregistrées la semaine dernière en sont peut-être pour quelque chose, a estimé Malick Ndiaye.
Il a ajouté que la chaleur et le vent poussiéreux favorisent la circulation du germe et la transmission. A son avis, d’ici la fin du mois d’avril, la maladie pourrait s’estomper. « De 40 cas dans la région, on est tombé à 32, puis à 20, et cette semaine, à moins de 10 », a fait remarquer le Dr Malick Ndiaye. Selon lui, « la sensibilisation faite au niveau des médecins chefs d’équipe et les mesures idoines prises, notamment la mise en place de médicaments et de matériels de prélèvement, ont été « salutaires ».
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