Elle poursuit : « il faut que l’Etat nous aide. Pourquoi attendre que l’on soit malade pour subventionner des médicaments. Les bilans coûtent très cher à celles qui vont en visite, il faut que l’Etat pense à nous aussi. Le président de la république, Macky Sall doit subventionner nos bilans de santé. Car, nous sommes dans ce métier par contrainte. » Avant de lancer avec regret qu’il y en a qui pratique le métier pour d’autres raisons.
Aussi notre interlocutrice ajoute que « L’actuel gouvernement de Macky doit changer les choses et lutter contre la pauvreté et la cherté de la vie ». C’est la solution, d’après elle, pour sortir « les jeunes filles qui sont dans ce métier parce qu’elles n’ont pas eu de soutien à un moment de leur vie et des hommes en ont profité ». Dans la foulée, M. D se désole de constater que la fête du 1er mai soit réservée à une catégorie de travailleur ». « La fête du travail doit être élargie à tous les travailleurs », dira-t-elle.
La clandestinité constitue, par ailleurs, un réel problème, selon cette veuve qui se prostitue pour nourrir sa progéniture. « Depuis la mort de mon mari en 2003, je fais clandestinement ce que d’autres appellent prostitution. Mais moi, je ne pense pas que je me prostitue. J’ai des enfants à nourrir, la famille de mon mari ne me soutient pas. Et petit à petit j’ai commencé à recevoir des hommes d’abord ici. Ensuite, après deux ans, les enfants ont grandi et j’ai été obligé de sortir la nuit pour racoler. La journée aussi je sors et souvent je rencontre des hommes généreux qui m’invitent quelques part », renseigne-t-elle.
Aussi notre interlocutrice ajoute que « L’actuel gouvernement de Macky doit changer les choses et lutter contre la pauvreté et la cherté de la vie ». C’est la solution, d’après elle, pour sortir « les jeunes filles qui sont dans ce métier parce qu’elles n’ont pas eu de soutien à un moment de leur vie et des hommes en ont profité ». Dans la foulée, M. D se désole de constater que la fête du 1er mai soit réservée à une catégorie de travailleur ». « La fête du travail doit être élargie à tous les travailleurs », dira-t-elle.
La clandestinité constitue, par ailleurs, un réel problème, selon cette veuve qui se prostitue pour nourrir sa progéniture. « Depuis la mort de mon mari en 2003, je fais clandestinement ce que d’autres appellent prostitution. Mais moi, je ne pense pas que je me prostitue. J’ai des enfants à nourrir, la famille de mon mari ne me soutient pas. Et petit à petit j’ai commencé à recevoir des hommes d’abord ici. Ensuite, après deux ans, les enfants ont grandi et j’ai été obligé de sortir la nuit pour racoler. La journée aussi je sors et souvent je rencontre des hommes généreux qui m’invitent quelques part », renseigne-t-elle.