Mme Awa Ndiaye est déterminée à bloquer Senxxx…, le site pornographique qui fait des ravages sur la toile. Après avoir saisi le Premier ministre, lequel a donné son feu vert, la présidente du Cdp compte saisir les fournisseurs d’accès à Internet au Sénégal. «Nous sommes en train de travailler sur le cas du site Snxxxx…. J’avais saisi la dernière fois le Premier ministre et je m’en félicite de sa prompte réaction. Il m’a demandé de voir l’Artp pour qu’elle saisisse les fournisseurs d’accès à Internet. Nous voulons savoir qui se cache derrière l’adresse Ip de ce site et qui lui donne l’accès à Internet au Sénégal. A partir de là, nous interviendrons en lui demandant de se conformer avec la loi » confie-t-elle.
Mme Awa Ndiaye s’exprimait ce jour, en marge d’une session de formation organisée par sa structure pour outiller les magistrats, informe la RFM. Le président de la Cour d’appel de Dakar, le juge Demba Kandji qui participait à la rencontre, a salué cette initiative non sans décliner son importance. « Toutes les juridictions qui compose le ressort de Dakar sont représentées à cette formation. J’en remercie Mme Awa Ndiaye qui a bien voulu nous gratifier avec son équipe, de cette journée de formation. Nous ne pouvons pas en tant que magistrats avoir la légitimité de juger les autres, si nous ne comprenons pas. Et c’est ce besoin de comprendre les données personnelles qui visent nos libertés, la protection de nos libertés et notre vie privée qui nous ont amené à faire cette quête », a-t-il dit.
Mme Awa Ndiaye s’exprimait ce jour, en marge d’une session de formation organisée par sa structure pour outiller les magistrats, informe la RFM. Le président de la Cour d’appel de Dakar, le juge Demba Kandji qui participait à la rencontre, a salué cette initiative non sans décliner son importance. « Toutes les juridictions qui compose le ressort de Dakar sont représentées à cette formation. J’en remercie Mme Awa Ndiaye qui a bien voulu nous gratifier avec son équipe, de cette journée de formation. Nous ne pouvons pas en tant que magistrats avoir la légitimité de juger les autres, si nous ne comprenons pas. Et c’est ce besoin de comprendre les données personnelles qui visent nos libertés, la protection de nos libertés et notre vie privée qui nous ont amené à faire cette quête », a-t-il dit.