Le site du Technopole semble être un coin très prisé par les adeptes de la chair. Après le célèbre lutteur qui avait été surpris avec une fille dans son véhicule, c'est au tour de deux jeunes hommes d'être interpellés sur le même site. Ces derniers qui se sont, en effet, relayés sur une déficiente mentale ont soulevé l'hilarité à la barre, avec leurs sorties intempestives, hier. En réalité, la nuit des faits, la jeune femme, âgée d'une trentaine d'années, a été entraînée sur le site du Technopole par Habibou Sy qui, apparemment, n'en était pas à sa première expérience.
La preuve, lorsqu'à la barre il a voulu nier les faits, la jeune fille lui a tout de suite coupé la parole en lui lançant : "Ya meuna fene, c'est la quatrième fois qu'on est allé là-bas. A chaque fois tu me donnais 500 francs, après avoir entretenu des rapports sexuels avec moi. Mais l'autre jour, puisque tu n'avais pas de l'argent, tu m'as dit qu'on allait se partager un sachet de Vitalait". La suite de l'histoire est aussi renversante. Car, en réalité, lorsque le mis en cause satisfaisait sa libido, la femme qui criait a alerté un vigile qui passait dans les environs. Ce dernier, qui est venu aux nouvelles, et qui a trouvé la fille et son bourreau tout nu, a ainsi vu qu'il s'agissait d'un cas de viol.
Ayant surpris un homme sur F. Sylla, le vigile le ligote pour abuser à son tour de la fille
Tout de suite, le vigile s'est dirigé vers le bourreau de la fille pour le ligoter. La déficiente mentale, qui pensait ainsi qu'elle venait d'être sauvée, a eu la surprise de sa vie, lorsque "son sauveur" a voulu lui aussi prendre sa part. Joignant l'acte à la parole, ce dernier a abusé d'elle à son tour, sans aucune vergogne. En effet, c'est au moment où il venait juste de finir sa sale besogne, qu'un policier, qui passait dans les parages et qui avait entendu les cris de détresse de la fille, a rappliqué sur les lieux.
Les dénégations des deux violeurs n'y ont rien fait, puisqu'ils ont tous les deux été embarqués. Jugés hier devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, Habibou Sy et Mohamed Ngom ont persisté dans leurs dénégations à la barre. Ils sont même allés jusqu'à se renvoyer la balle.
Assisté par son grand-frère à la barre, la déficiente mentale s'est empressée de demander la modique somme de 25 000 francs Cfa à titre de réparation. Ce, au grand dam de son frère.
Le ministère public, qui a retenu la constance des faits, a requis une peine ferme de 10 ans à l'encontre des deux prévenus. Finalement, après délibéré, le tribunal a confirmé la demande du parquet avant d'allouer à la jeune fille la somme qu'elle a réclamée. A savoir 25 000 francs Cfa.
Le Populaire
La preuve, lorsqu'à la barre il a voulu nier les faits, la jeune fille lui a tout de suite coupé la parole en lui lançant : "Ya meuna fene, c'est la quatrième fois qu'on est allé là-bas. A chaque fois tu me donnais 500 francs, après avoir entretenu des rapports sexuels avec moi. Mais l'autre jour, puisque tu n'avais pas de l'argent, tu m'as dit qu'on allait se partager un sachet de Vitalait". La suite de l'histoire est aussi renversante. Car, en réalité, lorsque le mis en cause satisfaisait sa libido, la femme qui criait a alerté un vigile qui passait dans les environs. Ce dernier, qui est venu aux nouvelles, et qui a trouvé la fille et son bourreau tout nu, a ainsi vu qu'il s'agissait d'un cas de viol.
Ayant surpris un homme sur F. Sylla, le vigile le ligote pour abuser à son tour de la fille
Tout de suite, le vigile s'est dirigé vers le bourreau de la fille pour le ligoter. La déficiente mentale, qui pensait ainsi qu'elle venait d'être sauvée, a eu la surprise de sa vie, lorsque "son sauveur" a voulu lui aussi prendre sa part. Joignant l'acte à la parole, ce dernier a abusé d'elle à son tour, sans aucune vergogne. En effet, c'est au moment où il venait juste de finir sa sale besogne, qu'un policier, qui passait dans les parages et qui avait entendu les cris de détresse de la fille, a rappliqué sur les lieux.
Les dénégations des deux violeurs n'y ont rien fait, puisqu'ils ont tous les deux été embarqués. Jugés hier devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, Habibou Sy et Mohamed Ngom ont persisté dans leurs dénégations à la barre. Ils sont même allés jusqu'à se renvoyer la balle.
Assisté par son grand-frère à la barre, la déficiente mentale s'est empressée de demander la modique somme de 25 000 francs Cfa à titre de réparation. Ce, au grand dam de son frère.
Le ministère public, qui a retenu la constance des faits, a requis une peine ferme de 10 ans à l'encontre des deux prévenus. Finalement, après délibéré, le tribunal a confirmé la demande du parquet avant d'allouer à la jeune fille la somme qu'elle a réclamée. A savoir 25 000 francs Cfa.
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