Doudou Ndiaye Coumba Rose a remercié Dieu à sa manière. En tout cas, il a manifesté sa reconnaissance à Dieu par une œuvre artistique. Le grand tambour major sénégalais qui a assisté aux deux festivals mondiaux des arts nègres de l’histoire du Sénégal, ceux de 1966 et de 2010. Il s’est illustré par le spectacle « Sant Yalla » (Rendre grâce à Dieu) à l’occasion de la cérémonie d’ouverture du 3e festival mondial des arts nègres. « J’ai assisté au festival de 1966 et à celui-ci. C’est un privilège. C’est pour cette raison que j’ai voulu remercier Dieu en jouant Sant Yalla. Le premier Festival mondial a eu lieu en 1966 avec le premier président de la République du Sénégal. C’était le premier rendez-vous du monde noir. Léopold Sédar Senghor était un homme de culture, il voulait que les nègres comprennent l’importance de leur culture », a-t-il déclaré.
« A cette époque il avait invité tous les hommes de culture dont Aimé Césaire, André Malraux, entre autres. Le pluralisme médiatique n’existait pas. Il n’y avait qu’une seule radio et tout le monde était au courant à la criée. En 1977, c’était au tour du Nigeria d’assurer la continuité de Léopold Sédar Senghor », poursuit-il. Et de relever la particularité de la 3ème édition du Festival mondial des arts nègres. « La particularité de cette édition coïncide avec la libéralisation des médias. Il y a plus de chaines de télévisions, de radios et de journalistes. La diaspora est venue massivement. La Martinique, Haïti, les pays du Caraïbe, le Brésil sont présents à Dakar », a souligné le tambour major international.
sud quotidien par Awa Diouf
« A cette époque il avait invité tous les hommes de culture dont Aimé Césaire, André Malraux, entre autres. Le pluralisme médiatique n’existait pas. Il n’y avait qu’une seule radio et tout le monde était au courant à la criée. En 1977, c’était au tour du Nigeria d’assurer la continuité de Léopold Sédar Senghor », poursuit-il. Et de relever la particularité de la 3ème édition du Festival mondial des arts nègres. « La particularité de cette édition coïncide avec la libéralisation des médias. Il y a plus de chaines de télévisions, de radios et de journalistes. La diaspora est venue massivement. La Martinique, Haïti, les pays du Caraïbe, le Brésil sont présents à Dakar », a souligné le tambour major international.
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