Doudou Wade relève une difficulté, voire une impossibilité pour l’ancien ministre d’Etat en charge des Infrastructures, de la coopération internationale et de l’aménagement du territoire de diriger le parti fondé par son père, l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, tout en vivant à l’étranger. L’ancien patron des députés de la Coalition Sopi d’alors estime, en effet, que ce rôle demande une présence physique à Dakar.
Réagissant à propos de l’avenir politique du fils de l’ancien Président Wade, Doudou Wade évoque des doutes quant à la possibilité que Karim Wade devienne le candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour l’élection présidentielle de 2029. Estimant du coup qu’il est peu probable que Karim Wade soit investi sur les listes des élections législatives, bien qu’un retour au pays pour diriger la liste départementale de Dakar reste envisageable.
Invité à cette occasion et cité par Senego, Doudou Wade a laissé entendre que si Karim Wade n’est pas encore revenu au Sénégal, cela pourrait être lié à un «problème personnel».
Selon le journal, en exil au Qatar depuis 2016 après sa libération de prison pour avoir bénéficié d’une grâce présidentielle dans l’affaire «d’enrichissement illicite» pour laquelle il avait été condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), Karim Wade avait vu sa candidature à la dernière élection présidentielle «invalidée» par le Conseil constitutionnel.
Réagissant à propos de l’avenir politique du fils de l’ancien Président Wade, Doudou Wade évoque des doutes quant à la possibilité que Karim Wade devienne le candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour l’élection présidentielle de 2029. Estimant du coup qu’il est peu probable que Karim Wade soit investi sur les listes des élections législatives, bien qu’un retour au pays pour diriger la liste départementale de Dakar reste envisageable.
Invité à cette occasion et cité par Senego, Doudou Wade a laissé entendre que si Karim Wade n’est pas encore revenu au Sénégal, cela pourrait être lié à un «problème personnel».
Selon le journal, en exil au Qatar depuis 2016 après sa libération de prison pour avoir bénéficié d’une grâce présidentielle dans l’affaire «d’enrichissement illicite» pour laquelle il avait été condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), Karim Wade avait vu sa candidature à la dernière élection présidentielle «invalidée» par le Conseil constitutionnel.