“Les vaccins ne sont pas toujours la bonne solution. Trouver un vaccin pour une maladie qui n’est pas immunisante… c’est même un défi idiot”, a confié le Pr. Didier Raoult à "Paris Match", lors d’un entretien exclusif.
Le magazine "Paris Match" est allé à Marseille à la rencontre du “scientifique préféré des Français”. Le spécialiste controversé, connu pour ses positions tranchées, a notamment livré son opinion sur la recherche et sa quête effrénée d’un vaccin, sur la gestion de la crise sanitaire dans son pays et sur sa méthode de traitement privilégiée dont la désormais célèbre hydroxychloroquine.
Vaccin: “Un défi idiot”
Selon le Pr. Raoult, l’élaboration d’un vaccin ne résoudra pas le problème: “Trouver un vaccin pour une maladie qui n’est pas immunisante… c’est même un défi idiot. Près de 30 milliards de dollars ont été dépensés pour celui contre le VIH, voyez le résultat !”, dénonce-t-il. “Quand on ne sait pas gérer une maladie infectieuse, on nous sort le coup du vaccin! Il est déjà difficile de vacciner correctement contre la grippe, alors contre un nouveau virus...”, ajoute-t-il. Selon lui, la probabilité que le vaccin soit efficace est “proche de zéro”.
Hydroxychloroquine
Au sujet de l’hydroxychloroquine, le Pr. Raoult persiste et signe. Il rappelle que le médicament est le “traitement de référence” des infections du système respiratoire. Quant à l’azithromycine, il s’agit du “médicament le plus prescrit au monde après l’aspirine”, martèle-t-il: “Ce traitement est bête comme chou, c’est pour ça qu’il irrite”, confie-t-il à "Paris Match". “Nos tests révèlent leur efficacité sur le virus lorsqu’ils sont combinés”, insiste Didier Raoult.
“Le consensus, c’est Pétain”
Après avoir rejoint le Conseil scientifique, comité d’experts créé par le gouvernement, Didier Raoult a rapidement claqué la porte. Il explique les raisons de son départ: “On ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels. Le consensus, c’est Pétain. Insupportable. On ne peut pas décider de cette manière”, fustige l’infectiologue marseillais.
Le magazine "Paris Match" est allé à Marseille à la rencontre du “scientifique préféré des Français”. Le spécialiste controversé, connu pour ses positions tranchées, a notamment livré son opinion sur la recherche et sa quête effrénée d’un vaccin, sur la gestion de la crise sanitaire dans son pays et sur sa méthode de traitement privilégiée dont la désormais célèbre hydroxychloroquine.
Vaccin: “Un défi idiot”
Selon le Pr. Raoult, l’élaboration d’un vaccin ne résoudra pas le problème: “Trouver un vaccin pour une maladie qui n’est pas immunisante… c’est même un défi idiot. Près de 30 milliards de dollars ont été dépensés pour celui contre le VIH, voyez le résultat !”, dénonce-t-il. “Quand on ne sait pas gérer une maladie infectieuse, on nous sort le coup du vaccin! Il est déjà difficile de vacciner correctement contre la grippe, alors contre un nouveau virus...”, ajoute-t-il. Selon lui, la probabilité que le vaccin soit efficace est “proche de zéro”.
Hydroxychloroquine
Au sujet de l’hydroxychloroquine, le Pr. Raoult persiste et signe. Il rappelle que le médicament est le “traitement de référence” des infections du système respiratoire. Quant à l’azithromycine, il s’agit du “médicament le plus prescrit au monde après l’aspirine”, martèle-t-il: “Ce traitement est bête comme chou, c’est pour ça qu’il irrite”, confie-t-il à "Paris Match". “Nos tests révèlent leur efficacité sur le virus lorsqu’ils sont combinés”, insiste Didier Raoult.
“Le consensus, c’est Pétain”
Après avoir rejoint le Conseil scientifique, comité d’experts créé par le gouvernement, Didier Raoult a rapidement claqué la porte. Il explique les raisons de son départ: “On ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels. Le consensus, c’est Pétain. Insupportable. On ne peut pas décider de cette manière”, fustige l’infectiologue marseillais.