Les éléments de la police des Parcelles Assainies ont été joints au téléphone par le délégué de quartier de la cité Mixta, qui les a informés de la chute d’une jeune femme du 3e étage d’un immeuble.
Une fois sur les lieux, les policiers ont constaté que la victime du nom d’Ami Ndiaye avait été déjà évacuée par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Idrissa pouye de Grand-Yoff. Elle avait eu une violente altercation avec son copain Oriabue Evidence, qui occupe un appartement dans cet immeuble de la cité Mixta.
Les policiers ont ainsi conduit le mis en cause au poste avant de se transporter à l’hôpital Idrissa Pouye ex-Cto (centre de traumatologie et d’orthopédie), pour interroger la victime.
D’après cette dernière, alors qu’elle recevait chez elle, aux HLM Grand-Yoff, Oriabue Evidence, celui-ci, après une petite dispute, avait confisqué son téléphone portable, avant de la sommer de le suivre dans son appartement sis à la cité Mixta. Une fois dans l’appartement, le mis en cause l’a enfermée et l’a obligée à entretenir des rapports sexuels non protégés.
Malgré son refus, il a voulu coûte que coûte passer à l’acte. Il s’en est suivi une bagarre durant laquelle le jeune homme a sévèrement corrigé sa copine. Alerté par les cris de détresse de la fille, un des amis du mis en cause qui se trouvait au salon de l’appartement, est venu le calmer.
Une intervention qui lui a valu un violent coup de poing qui lui a ensanglanté le visage. Paniquée par tant de violence et craignant pour sa vie, Ami Ndiaye a sauté sans réfléchir du 3ème étage. Alertés, les sapeurs-pompiers ont évacué la victime à l’hôpital Idrissa Pouye.
Interpellés par la police, le mis en cause et son ami ont été interrogés. Le témoin oculaire a confirmé le témoignage de la fille qui a été entendue sur son lit d’hôpital.
Quant au mis en cause, s’il a soutenu avoir giflé sa copine, il nie la conjonction sexuelle forcée.
« On entretenait une relation amoureuse depuis fort longtemps. Et elle m’a déclaré qu’elle était avec un autre. Cela m’a énervé car je suis très jaloux. Je reconnais l’avoir frappée. Quelques minutes plus tard, j’ai constaté qu’elle n’était pas dans l’appartement et je suis descendu pour la chercher. C’est alors que j’ai constaté qu’elle était par terre avec ses blessures », s’est défendu le sieur Oriabue Evidence, qui a été déféré au parquet.
Le Témoin
Une fois sur les lieux, les policiers ont constaté que la victime du nom d’Ami Ndiaye avait été déjà évacuée par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Idrissa pouye de Grand-Yoff. Elle avait eu une violente altercation avec son copain Oriabue Evidence, qui occupe un appartement dans cet immeuble de la cité Mixta.
Les policiers ont ainsi conduit le mis en cause au poste avant de se transporter à l’hôpital Idrissa Pouye ex-Cto (centre de traumatologie et d’orthopédie), pour interroger la victime.
D’après cette dernière, alors qu’elle recevait chez elle, aux HLM Grand-Yoff, Oriabue Evidence, celui-ci, après une petite dispute, avait confisqué son téléphone portable, avant de la sommer de le suivre dans son appartement sis à la cité Mixta. Une fois dans l’appartement, le mis en cause l’a enfermée et l’a obligée à entretenir des rapports sexuels non protégés.
Malgré son refus, il a voulu coûte que coûte passer à l’acte. Il s’en est suivi une bagarre durant laquelle le jeune homme a sévèrement corrigé sa copine. Alerté par les cris de détresse de la fille, un des amis du mis en cause qui se trouvait au salon de l’appartement, est venu le calmer.
Une intervention qui lui a valu un violent coup de poing qui lui a ensanglanté le visage. Paniquée par tant de violence et craignant pour sa vie, Ami Ndiaye a sauté sans réfléchir du 3ème étage. Alertés, les sapeurs-pompiers ont évacué la victime à l’hôpital Idrissa Pouye.
Interpellés par la police, le mis en cause et son ami ont été interrogés. Le témoin oculaire a confirmé le témoignage de la fille qui a été entendue sur son lit d’hôpital.
Quant au mis en cause, s’il a soutenu avoir giflé sa copine, il nie la conjonction sexuelle forcée.
« On entretenait une relation amoureuse depuis fort longtemps. Et elle m’a déclaré qu’elle était avec un autre. Cela m’a énervé car je suis très jaloux. Je reconnais l’avoir frappée. Quelques minutes plus tard, j’ai constaté qu’elle n’était pas dans l’appartement et je suis descendu pour la chercher. C’est alors que j’ai constaté qu’elle était par terre avec ses blessures », s’est défendu le sieur Oriabue Evidence, qui a été déféré au parquet.
Le Témoin