Ces chiffres sont révélés par le directeur de l’Action pour les droits humains et l’amitié (Adha). «S’y ajoute la noyade, en fin de semaine, d’au moins 17 migrants subsahariens au large de la Tunisie et 60 morts dans les côtes espagnoles», annonce-t-on.
Cette situation, d’après Adha, prouve qu’il n’y a pas de politique migratoire efficace en Afrique. Or, ajoute la note, malgré les accords européens destinés à dissuader de telles traversées, le rythme des départs des migrants s’est accéléré. «Cela doit inciter l’UE à revoir ses stratégies d’intervention, avec un respect et une application véritables des textes fondamentaux des droits humains», préconisent Adama Mbengue et Cie.
Selon l’Adha, «il est impératif et crucial de poursuivre la réflexion et de mettre en place de nouveaux mécanismes de sortie de crise plus soucieux de la prise en charge des fléaux de la jeunesse africaine, parmi lesquels le chômage et le sous-emploi».
Il s’agit, dit-il, «d’y impliquer totalement les jeunes qui définiront eux-mêmes leur propre politique, telle qu’établie par la Charte africaine de la jeunesse».
Il s’agit là, par la même occasion, «de pousser les jeunes africains à prendre leur propre responsabilité et leur destin en main et à ne plus se fier entièrement à des politiques concoctées par des adultes, pire, des vieux, totalement en déphasage avec la réalité qu’ils vivent».
Cette situation, d’après Adha, prouve qu’il n’y a pas de politique migratoire efficace en Afrique. Or, ajoute la note, malgré les accords européens destinés à dissuader de telles traversées, le rythme des départs des migrants s’est accéléré. «Cela doit inciter l’UE à revoir ses stratégies d’intervention, avec un respect et une application véritables des textes fondamentaux des droits humains», préconisent Adama Mbengue et Cie.
Selon l’Adha, «il est impératif et crucial de poursuivre la réflexion et de mettre en place de nouveaux mécanismes de sortie de crise plus soucieux de la prise en charge des fléaux de la jeunesse africaine, parmi lesquels le chômage et le sous-emploi».
Il s’agit, dit-il, «d’y impliquer totalement les jeunes qui définiront eux-mêmes leur propre politique, telle qu’établie par la Charte africaine de la jeunesse».
Il s’agit là, par la même occasion, «de pousser les jeunes africains à prendre leur propre responsabilité et leur destin en main et à ne plus se fier entièrement à des politiques concoctées par des adultes, pire, des vieux, totalement en déphasage avec la réalité qu’ils vivent».