Des démarches restées sans suite
Les jeunes concernés ont multiplié les actions pour obtenir gain de cause, notamment une demande d’audience adressée au Premier ministre, le 9 décembre 2024. Cependant, aucune réponse n’a été apportée à leur requête, laissant planer un sentiment d’abandon chez ces travailleurs.
Une violation des droits fondamentaux
Selon l’ADHA, cette situation constitue une infraction aux textes nationaux et internationaux garantissant les droits des travailleurs :
• Article 25 de la Constitution sénégalaise : qui assure à tout travailleur une rémunération équitable et régulière.
• Article L.105 du Code du travail sénégalais : qui impose le paiement des salaires à échéance convenue.
• Convention n°95 de l’OIT : ratifiée par le Sénégal, protégeant les travailleurs contre les retards de paiement.
L’organisation estime que le non-paiement des salaires porte atteinte à la dignité des travailleurs et mine la crédibilité de l’État en tant qu’employeur.
Appel aux autorités
Face à cette situation, l’ADHA lance un appel pressant aux autorités sénégalaises, en particulier au président de la République, pour :
1. Régler dans les plus brefs délais, les arriérés de salaires des agents concernés.
2. Mettre en place des mécanismes de suivi et de contrôle, pour garantir le respect des droits des travailleurs recrutés par l’État.
Un impact sur l’avenir des jeunes
L’ADHA souligne que ce manquement compromet l’image du programme Xéyu Ndaw Yi, qui se veut un pilier dans la lutte contre le chômage et la migration irrégulière. Pour l’organisation, respecter les droits des travailleurs, est essentiel pour restaurer la confiance des jeunes envers l’administration publique et bâtir une société équitable.
Dans ce contexte, l’ADHA appelle à des actions concrètes pour résoudre cette crise et prévenir des situations similaires à l’avenir.
Les jeunes concernés ont multiplié les actions pour obtenir gain de cause, notamment une demande d’audience adressée au Premier ministre, le 9 décembre 2024. Cependant, aucune réponse n’a été apportée à leur requête, laissant planer un sentiment d’abandon chez ces travailleurs.
Une violation des droits fondamentaux
Selon l’ADHA, cette situation constitue une infraction aux textes nationaux et internationaux garantissant les droits des travailleurs :
• Article 25 de la Constitution sénégalaise : qui assure à tout travailleur une rémunération équitable et régulière.
• Article L.105 du Code du travail sénégalais : qui impose le paiement des salaires à échéance convenue.
• Convention n°95 de l’OIT : ratifiée par le Sénégal, protégeant les travailleurs contre les retards de paiement.
L’organisation estime que le non-paiement des salaires porte atteinte à la dignité des travailleurs et mine la crédibilité de l’État en tant qu’employeur.
Appel aux autorités
Face à cette situation, l’ADHA lance un appel pressant aux autorités sénégalaises, en particulier au président de la République, pour :
1. Régler dans les plus brefs délais, les arriérés de salaires des agents concernés.
2. Mettre en place des mécanismes de suivi et de contrôle, pour garantir le respect des droits des travailleurs recrutés par l’État.
Un impact sur l’avenir des jeunes
L’ADHA souligne que ce manquement compromet l’image du programme Xéyu Ndaw Yi, qui se veut un pilier dans la lutte contre le chômage et la migration irrégulière. Pour l’organisation, respecter les droits des travailleurs, est essentiel pour restaurer la confiance des jeunes envers l’administration publique et bâtir une société équitable.
Dans ce contexte, l’ADHA appelle à des actions concrètes pour résoudre cette crise et prévenir des situations similaires à l’avenir.